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A vrai dire... RCF - page 3

présentée par Alain Charlier, Béatrice Ducellier, Thierry Grenet, P. Vincent de Labarthe, Anne-Cécile Suzanne, Marc Tesniere, Lecointre Vianney

Edito du jour : toute l'actualité est sujette à réflexion, nos éditorialistes partagent la leur

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  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    3 février 2023

    Il faut, bien sûr, sauver les églises

    2 min
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    Vianney Lecointre, diacre du diocèse de Séez dans l'Orne, revient sur l'avenir incertain de nos clochers:
    "Il y a quelques jours, l’ancienne ministre de la culture, Roselyne Bachelot, créait la polémique au cours d’une émission de télé en déclarant qu’il fal-lait arrêter de sauver les petites églises sans intérêt, notamment celles du XIXème siècle, malgré la connotation affective qu’elles pouvaient avoir.
    Elle a certainement tort de l’exprimer de cette manière. Les églises, même modestes à tout point de vue, sont souvent le seul patrimoine re-marquable des communes et sont constitutives de leur identité. Il est donc essentiel de les préserver. Notre époque ne peut quand même pas ne lé-guer à ses successeurs que des ronds-points. Et d’ailleurs sauver une église, c’est utile : cela permet de créer du lien social, de fédérer la popula-tion (alors que démolir divise), de soutenir l’économie locale et des savoir-faire précieux, d’œuvrer pour le développement rural, pour la qualité de l’environnement et des paysages, de favoriser l’intégration de nouvelles populations en leur permettant de mieux appréhender la culture du pays dans lequel elles arrivent . C’est si vrai que la plupart des communes res-tent bien conscientes de l’enjeu et qu’en fait l’essentiel des églises restent bien entretenues. Elles sont en définitive très peu nombreuses à avoir été détruites ou à être menacées à brève échéance.
    Mais là où Mme Bachelot a un peu raison, c’est quand elle dit aussi que les citoyens qui veulent sauver leur église doivent se prendre par la main ! La première chose à faire est déjà de se servir des églises en question, en commençant par les ouvrir. Malgré les vols et les dégradations toujours possibles, ce qui nécessite bien sûr d’être vigilant et de s’en occuper, une église ouverte est bien moins menacée qu’une église perpétuellement fer-mée qui risque d’être délaissée, oubliée et en définitive abandonnée. Nos églises doivent être des lieux ouverts à tous, sans demander de carte d’identité, sans faire payer, rien de moins banal aujourd’hui ! L’église doit être ce lieu rare où l’hospitalité est inconditionnelle où chacun, quel qu’il soit, doit se sentir le bienvenu. C’est une maison commune qu’il fait bon habiter et il est souhaitable de créer les conditions pour que la population ou les visiteurs occasionnels puissent en quelque sorte se l’approprier, y compris pour différentes activités culturelles respectant la spécificité du lieu et son affectation.
    Mais j’aimerais revenir une prochaine fois aussi sur le rôle que les églises peuvent encore jouer à mon avis dans la Pastorale, même quand elles ne sont plus à proprement parler siège d’une paroisse. A bientôt !"
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  • © RCF Normandie
    29 septembre 2025

    La violence

    3 min
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  • ©Marie-Thérèse Pernod
    23 septembre 2025

    Sous la peau des pêches, par Marie-Thérèse Pernod

    3 min
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    À travers mes pêches imparfaites, je vous invite à découvrir comment l’imperfection cache toujours un souffle de vie et d’espoir.

  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    19 septembre 2025

    Quand l’ONU appelle la France à la prudence

    2 min
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    En cette rentrée qui est aussi parlementaire et alors que les sénateurs vont à leur tour discuter du texte sur « l’aide à mourir », autrement dit l’euthanasie, on peut espérer que seront prises au sérieux les recommandations du Comité des droits des personnes handicapées de l’ONU.

    A tous ceux, notamment parmi nos députés, qui ont fait mine de croire que cette loi en projet offrait les garde-fous suffisants, alors qu’il pourrait mettre en danger les personnes qui peinent à avoir accès au soin, tout cela pour donner l’illusion à quelques uns de choisir leur mort, ce Comité de l’ONU adresse un message clair : il pointe « l’orientation eugénique claire reflétant un validisme profondément ancré dans l’État » et il demande à la France de vérifier son adéquation avec la Convention des droits des personnes handicapées.
    Dans le même ordre d’idée, l’ancien premier ministre Gabriel Attal mériterait de se faire taper sur les doigts. Il n’a rien trouvé de plus urgent, pour sa rentrée politique, que d’annoncer vouloir briser un tabou, un de plus, en demandant à ce que soit engagée une réflexion sur la légalisation de la gestation pour autrui, la GPA, qui pourrait être soi-disant altruiste ou éthique. Exactement au même moment, l’ONU publie un rapport qui assimile la GPA à, je cite, une « forme d’esclavage moderne ». La rapporteure spéciale sur les violences faites aux femmes condamne la pratique de la gestation pour autrui « sous toutes ses formes » au nom de la défense des droits des femmes et des enfants et appelle à son éradication totale.
    Voilà ! En somme, même l’ONU semble devoir nous considérer comme mauvais élève pour ce qui concerne le respect et le soin des plus fragiles. On pourrait s’attendre à mieux de la part de notre pays qui se flatte d’être celui des Droits de l’Homme. Au moins dans ce domaine, ressaisissons-nous ! Cela ne tient qu’à vous, Messieurs et Mesdames les Députés et les Sénateurs. Il vous suffit de rejeter des projets de loi qui vont dans le mauvais sens. C’est quand même beaucoup plus simple que de réduire la dette de l’Etat ou de savoir comment combattre Poutine.
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    18 septembre 2025

    L'école instrumentalisée

    2 min
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    Chers auditeurs,
    À l’heure où l’école cherche à protéger les enfants, le nouveau « programme d’éducation à la vie affective et relationnelle » dès la maternelle interroge. Le texte affirme trois séances « obligatoires »
    par an, en complément du rôle des parents. Autrement dit : l’État s’invite, d’office, dans l’intime éducatif des familles. Ce renversement du principe de subsidiarité est problématique : les parents demeurent-ils les premiers éducateurs de leurs enfants ?
    Le programme EVARS revendique la lutte contre les discriminations liées au sexe, à l’identité de genre et à l’orientation sexuelle. Si l’intention peut sembler louable, on ignore les présupposés
    anthropologiques du législateur. A quel âge et avec quels mots nomme-t-on ces réalités sans imposer une vision idéologique ?
    Dès avant 4 ans, on demande à l’enfant « d’exprimer son accord ou son refus », d’appréhender l’égalité filles-garçons et « la liberté d’être soi-même ». À partir de 4 ans, on « découvre les différentes structures familiales ». Ces attendus précoces peuvent déborder la maturité réelle des petits et brouiller les repères qu’ils reçoivent à la maison, voire en imposer d’autres qui échappent à la famille.
    Autre sujet de vigilance : l’appel à des « associations agréées » pour intervenir en classe. Même si les enseignants sont présents, qui garantit la neutralité des contenus ? Quelle information préalable aux parents ? Quelle possibilité de choix ? Quelle transparence sur les supports ? Aucune si l’on s’en tient au texte.
    Il est légitime de plaider pour une éducation à la pudeur, au respect du corps et au vrai consentement, adaptée à l’âge, pour une éducation enracinée dans une vision intégrale de la personne, articulée à la liberté éducative des familles. Oui, l’école doit prévenir les violences et le
    harcèlement ; mais elle ne peut s’ériger en pédagogie de l’intime sans co-construction réelle avec les parents, sans clarté sur les contenus, et sans respect de leur primauté. Éduquer, ce n’est pas tout dire trop tôt ; c’est dire vrai, au bon moment, dans la juste alliance entre l’école et la famille.
  • ©RCF Manche
    16 septembre 2025

    Pour une croix glorieuse, par Gérard Coulon

    2 min
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    Dimanche dernier, nous fêtions la croix glorieuse. Comment parler de croix glorieuse aujourd'hui ?

  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    12 septembre 2025

    Sommes-nous des citoyens à la hauteur des défis ? Par Guy Fournier.

    3 min
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    Citoyens français, quel est notre état d'esprit ? La réalité, c'est que l'on n'a plus une croissance à 2 chiffres comme avant, soyons réalistes. Aurons nous la stabilité par le blocage et le jusqu'au boutisme ? Voici la réflexion de Guy Fournier.
  • © RCF Normandie
    10 septembre 2025

    Une crise de confiance

    3 min
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    Le temps de la rentrée est classiquement un temps de renouveau avec son lot de bonnes résolutions et d'envies programmées... Mais notre éditorialiste Thierry Grenet s'inquiète de la crise de confiance qui nous guette !
  • ©Marie-Thérèse Pernod
    9 septembre 2025

    "Je vais t'aider mon Dieu", par Marie-Thérèse Pernod

    2 min
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    Et si la foi consistait non pas à attendre de Dieu, mais à l’aider à rester vivant en nous ? Une méditation pour bien commencer la rentrée à partir des mots d’Etty Hillesum.
  • © Beatrice Ducellier
    8 septembre 2025

    Encyclique

    2 min
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  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    5 septembre 2025

    Ne profanez pas la France car c'est une terre sainte !

    2 min
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    Bonjour et bonne rentrée à tous les auditeurs de RCF !
    L’actualité de l’été n’a pas été particulièrement réjouissante et la complexité des enjeux nationaux ou internationaux peut décourager les commentateurs. J’ai choisi de revenir sur l’homélie qu’a donnée le Cardinal Robert Sarah le 26 juillet dernier à l’occasion du Grand Pardon de Sainte-Anne-d’Auray pour lequel il était l’envoyé extraordinaire de Léon XIV.


    J’ai bien conscience que les paroles fortes et intransigeantes qu’il a prononcées n’ont pas plu à tout le monde et que certains y voient avant tout un discours antimoderniste et d’une morale insupportable. Je vois bien aussi ce qui peut être récupéré par des chrétiens dits « identitaires », c’est-à-dire plus attachés à la défense de l’idée qu’ils se font de la civilisation occidentale qu’au message d’amour du Christ, et je ne m’en réjouis pas. Je pense cependant qu’il faut bien considérer que, même s’il est à Rome depuis longtemps, le Cardinal Sarah vient d’un pays, la Guinée, où les musulmans sont la grande majorité et où il est difficile d’être catholique. Comme d’autres Africains, il considère que la France est une terre bénie de Dieu, qui a d’ailleurs évangélisé de larges parties du monde, et n’est pas suffisamment fidèle à sa vocation. Ainsi nous dit-il : « Ne profanez pas la France avec vos lois barbares et inhumaines qui prônent la mort alors que Dieu veut la vie. Ne profanez pas la France car c'est une terre sainte, une terre réservée à Dieu. (…) Dieu doit y avoir la première place. Et notre première activité est d'adorer, de glorifier Dieu. » Oui, il nous parle avec des accents auxquels nous ne sommes pas habitués, sauf parfois dans les homélies de certains prêtres africains… mais qui peuvent être bons à entendre si nous acceptons de nous laisser secouer, d’autant que le Cardinal Sarah a quand même démontré son amour de la France et que l’on peut considérer qu’il pratique à notre égard une forme de correction fraternelle.
    D’ailleurs, il ne s’agit pas que de la France. On peut comprendre dans le message du Cardinal que la Création n’a pas été voulue par Dieu comme un ensemble de ressources à exploiter pour le profit, dans une logique consumériste au service des désirs individuels, mais que, au contraire la Terre, chaque Terre, est sacrée, tout comme le cœur de chacun, et que tous les peuples, comme tous les croyants, ont une vocation spirituelle à accomplir pour la Gloire de Dieu et le Salut du Monde. Mais j’ai bien peur que ce ne soit pas la préoccupation de ceux qui ont donné le ton de l’actualité de cet été sur cette planète.
  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    3 septembre 2025

    Accueillons aujourd'hui !

    2 min
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    L'édito de rentrée du Père Vincent de Labarthe, vicaire à Eu.
  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    3 septembre 2025

    Accueillons aujourd'hui !

    2 min
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    L'édito de rentrée du Père Vincent de Labarthe, vicaire à Eu.
  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    2 septembre 2025

    Une rentrée chaude

    3 min
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    En ce temps de rentrée, Gérard Coulon s'interroge sur les enjeux brûlants de cette rentrée.
  • © RCF Normandie
    1 septembre 2025

    Une belle ambition de rentrée

    2 min
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  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    4 juillet 2025

    Francophonie

    2 min
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    Il y a quelques jours, Jean-Luc Mélenchon a réussi à provoquer une petite polémique en proposant de rebaptiser la langue française au prétexte qu’elle ne serait pas seulement parlée en France. A mon avis, elle n’en est pas moins française.


    Néanmoins, cette affaire a le mérite de pointer du doigt une réalité qui est trop souvent ignorée de nos concitoyens : les locuteurs du français sont bien plus nombreux hors de France qu’en France. Nous sommes plus de 300 millions dans le monde, où le français est 5ème langue la plus parlée après le mandarin, l'anglais, l'espagnol et l'arabe. Et ce chiffre pourrait doubler d’ici 2050, grâce au dynamisme démographique de l’Afrique francophone. D’ores et déjà, la plus grande ville francophone du monde n’est plus Paris, ni même Montréal, mais bien la capitale du Congo, Kinshasa dont la plupart des 17 millions d’habitants parlent le français.
    Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais il me semble que chaque homme peut avoir plusieurs patries. Pour ma part, je me sens certes avant tout français, mais aussi un peu Ornais et Normand (même si je ne suis pas natif de la Normandie). Dans le sens d’un élargissement, je me sens aussi européen. Et puis, notre langue est aussi une patrie. Même si je ne souhaite pas de mal aux langues locales ou ethniques, je me réjouis que nous ayons en partage ce patrimoine culturel avec de si nombreux autres êtres humains dans différentes parties du monde, de nos voisins belges ou suisses à nos cousins québécois en passant par nos amis ivoiriens ou malgaches, par exemple.
    Alors, il est vrai que la langue française n’est plus l’apanage de la France. Je me souviens qu’il y a quelques années encore, le gouvernement français prétendait réformer l’orthographe : je ne pense pas qu’il en ait la légitimité, ne représentant désormais qu’une minorité de francophones. En revanche, l’Académie Française, elle, peut faire référence. Il n’est d’ailleurs nul besoin d’être de citoyenneté française pour y être élu et elle peut donc prendre en compte des évolutions de la langue qui apparaissent dans tous les pays du monde.
    La Francophonie ne doit pas et ne peut pas être un outil de puissance pour la France mais un ensemble de pays du monde où, grâce à cet héritage commun qu’est la langue, peuvent se développer des amitiés particulières, où l’on reconnaîtrait que des liens nous unissent, avec des échanges facilités par exemple. On ne pourrait que faire le vœu que cela soit un espace de collaboration et de paix dans un monde par ailleurs si chaotique.
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    3 juillet 2025

    SNCF, encore!

    2 min
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    Chers auditeurs,
    Je reprenais avant-hier le train de Paris pour notre belle Normandie. En entrant à Saint Lazare je fus saisi dès ces premiers mots : « En raison d’une panne électrique sur la gare Saint Lazare, … ». Quelle délicate manière de dire sans le dire, que le plan de soirée ne va pas du tout se passer comme prévu.
    Quelle douce préparation mentale ! Et de poursuivre : « …Le train 3125 à destination du Havre, INITIALEMENT PRÉVU à 17h40… ». Oh ! Initialement prévu ! Quel génie littéraire … « aura un retard d’environ 1h20 ». Waouh ! 1h20 !! En même temps une panne électrique sur toute une gare, ça doit demander du temps pour réparer. Admettons !
    Une bière au bar d’à côté et retour à 18h50 pour le nouveau départ à 19h00. A l’affichage, pas de quai en face de mon train. Les minutes s’égrènent, plus lentes que d’habitude.
    18h59. Le retard passe d’1h20 à 1h50. Grrr. C’est parti pour 30 minutes de plus.
    19h30 ! Toujours pas de quai.
    19h40 ! Rien au micro mais à l’affichage : « TRAIN SUPPRIMÉ ». Non ! Impossible, voyons ! J’ai un billet pour ce train ! Vous devez vous tromper !! Annonce au micro : « Les voyageurs pour le train 3125 … » (Ah ! Pitié !8) « … sont priés de se reporter sur les trains suivants ». Mais… le train suivant, c’est le 18h40 et il est déjà 19h45 !! Oui mais il est annoncé avec 1h30 de retard,
    Et au bout d’1h30… il est annoncé avec 2h de retard.
    Et au bout de 2h… il est annoncé avec 2h30 de retard.
    Exténué, debout pendant plus de 2h devant un panneau d’affichage froid, je quitte Saint Lazare avec un train qui a 3h30 de retard.
    Alors Amis de la SNCF, vous êtes vraiment les champions du monde du suspens. Et je ne peux pas imaginer un seul instant que vous ayez cru vous-mêmes à la réparation en 1h20 d’une panne électrique générale qui a nécessité plus de 3 heures.
    Aussi je déclare tout haut : Mieux qu’en train, la SNCF peut vous mener en bateau !
  • © RCF Normandie
    2 juillet 2025

    Jubilez !

    2 min
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    Par le Père Vincent de Labarthe, vicaire dans la paroisse de Eu en Seine-Maritime.
  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    1 juillet 2025

    Pendant les vacances, rêvons !

    3 min
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    Par Gérard Coulon
  • © Beatrice Ducellier
    30 juin 2025

    Légion d'honneur retirée à Nicolas Sarkozy

    2 min
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  • ©Gerd Altmann de Pixabay
    27 juin 2025

    Choisir son camp sans tomber dans le simplisme

    2 min
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