Halte spirituelle RCF - page 16

À Pâques, que les catholiques et protestants viennent de fêter et que les orthodoxes fêteront en mai, les chrétiens célèbrent la Résurrection : le signe ultime que Jésus est bien le Messie, le fils de Dieu lui-même. "Celui qui m’a vu a vu le Père", dit Jésus (Jn 14, 9). Mais que Jésus révèle-t-il de Dieu ? Pour le Père Michel Quesnel, prêtre de l'Oratoire, exégète et fin connaisseur du Nouveau Testament, c’est à travers les rencontres que Jésus a faites que l’on peut voir les visages de Dieu. Il publie "Connaître Dieu à travers Jésus - Une initiation au christianisme" (éd. Desclée de Brouwer, 2024).

La doctrine sociale de l’Eglise oriente t’elle le chrétien vers des consignes de vote ? S’engager en politique peut-il se faire sans compromettre sa foi ? Avec le frère Jacques-Benoit Rauscher, auteur de "découvrez la doctrine sociale de l'Eglise avant d'aller voter".

La question de l’accueil des migrants provoque une forte division entre chrétiens. Les uns lisent dans la Bible que l’Etranger doit être accueilli sans condition, les autres voient la prudence à tenir pour garder son identité. Mais quelle reflexion porte la doctrine sociale de l’Eglise sur ce sujet ? La reponse avec le frère dominicain Jacques-Benoit Rauscher

Le rapport à l'argent est-il différent pour un chrétien ? Les discours des papes sur ce sujet figurent dans la doctrine sociale de l'Eglise : l'argent n'est pas condamné, mais son usage, et notre goût pour l'accumulation y sont questionnés.

Un chrétien peut-il faire la guerre ? Dans la doctrine sociale de l’Eglise, il est question du caractère sacré de la vie. Nous découvrons cet aspect à travers un thème : y a-t-il de bonnes raisons de faire la guerre ? Autrement dit , qu'est-ce qu’une guerre juste ? Nous verrons que le Pape François a clos le sujet...

Qu'est-ce que la doctrine sociale de l'Eglise ? Un document difficile d'accès et déjà daté ? Le frère Jacques Benoit RAUSCHER nous éclaire quelques passages des discours prononcés par les Papes face à un monde qui change. Et l’engagement politique n’y échappe pas.

Pendant environ une centaine d’années, les empereurs byzantins iconoclastes interdisent le culte des icônes. Ils ordonnent la destruction systématique des images représentant le Christ ou les saints. Marina Copsidas, orthodoxe, revient sur cette période au micro de Madeleine Vatel.

L'Orient et l'Occident ont été d'accord sur le plan artistique pendant près de 1000 ans. Depuis, il y a rupture, l'église orthodoxe et catholique n'ont pas le même rapport à l'image.

Lors du Concile de Quinisexte, des règles ont été établies pour peindre le Christ. C'est à ce moment là qu'il devient interdit de peindre Dieu le père, car personne ne l'a jamais vu. C'est aussi le moment d'une rupture avec l'art sacré de l'occident qui ne va pas suivre ces règles.

Lors du Concile de Quinisexte, des règles ont été établies pour peindre le Christ. C'est à ce moment là qu'il devient interdit de peindre Dieu le père, car personne ne l'a jamais vu. C'est aussi le moment d'une rupture avec l'art sacré de l'occident qui ne va pas suivre ces règles.

Comment peindre le Christ ? En lisant les Ecritures, l'Ancien testament où Dieu se manifeste, et le nouveau où le Christ réalise les oeuvres de son Père.

La Gloire du Christ qu'est ce que c'est ? Le succès, la réussite, la renommée ? Non, c'est l'abaissement.

Dieu dépasse infiniment les concepts et catégories auxquels nous le réduisons. Cette nature irréductible de Dieu n’a rien de rassurant mais elle ouvre d’inépuisables perspectives de vie.

Dieu dépasse infiniment les concepts et catégories auxquels nous le réduisons. Cette nature irréductible de Dieu n’a rien de rassurant mais elle ouvre d’inépuisables perspectives de vie.

Dieu dépasse infiniment les concepts et catégories auxquels nous le réduisons. Cette nature irréductible de Dieu n’a rien de rassurant mais elle ouvre d’inépuisables perspectives de vie.

Dieu dépasse infiniment les concepts et catégories auxquels nous le réduisons. Cette nature irréductible de Dieu n’a rien de rassurant mais elle ouvre d’inépuisables perspectives de vie.

Dieu dépasse infiniment les concepts et catégories auxquels nous le réduisons. Cette nature irréductible de Dieu n’a rien de rassurant mais elle ouvre d’inépuisables perspectives de vie.

La Liturgie, c'est-à-dire la façon de célébrer, soulève de nombreuses questions, mais pas toujours les bonnes. Dans un texte intitulé "un ardent désir", le Pape revient sur ce qui est premier : le Christ. Pour l'Assemblée, comme pour le prêtre, comme l'explique le Père Charles-Marie Rigail, formé à la liturgie, à Rome.

La Liturgie, c'est-à-dire la façon de célébrer, soulève de nombreuses questions, mais pas toujours les bonnes. Dans un texte intitulé "un ardent désir", le Pape revient sur ce qui est premier : le Christ. Avec une importance absolue accordée au silence.

La Liturgie soulève de nombreuses questions, mais pas toujours les bonnes. Dans un texte intitulé "un ardent désir", le Pape François revient sur ce qui est premier : le Christ. Il met en garde contre ce qui empoisonne le débat. Une façon de sortir par le haut, expliquée par le Père Charles-Marie Rigail.