Halte spirituelle RCF - page 7

L'amitié se nourrit de moments forts et d'authenticité. Saint François de Sales a fait de ses amitiés un chemin spirituel vers Dieu. Ses très nombreuses lettres ont été des encouragements à investir sa vie autrement. Entretien avec le père Will Conquer.

"Sans ami tu ne saurais vivre heureux"...dit le moine Thomas A kempis. Il précise ensuite que le Christ est l'ami bon et fidèle, avec lequel investir toute une vie. Car même s'il n'envoie pas de carte pour les anniversaires, il est toujours présent. L'amitié c'est le sujet de cette halte spirituelle.

La vie est faite de passages qui sont parfois ce sont de véritables épreuves. Quelle que soit leur nature, il faut traverser ces moments qui nous bousculent, bouleversent notre quotidien, et nous projettent vers de l’inconnu. Pour les chrétiens, la route a déjà été empruntée, tracée par le Christ lui-même et si sa mort et sa résurrection à Pâques ne nous épargne pas les épreuves, elles ouvrent une voie en direction de la Vie.

La vie est faite de passages qui sont parfois ce sont de véritables épreuves. Quelle que soit leur nature, il faut traverser ces moments qui nous bousculent, bouleversent notre quotidien, et nous projettent vers de l’inconnu. Pour les chrétiens, la route a déjà été empruntée, tracée par le Christ lui-même et si sa mort et sa résurrection à Pâques ne nous épargne pas les épreuves, elles ouvrent une voie en direction de la Vie.

La vie est faite de passages qui sont parfois ce sont de véritables épreuves. Quelle que soit leur nature, il faut traverser ces moments qui nous bousculent, bouleversent notre quotidien, et nous projettent vers de l’inconnu. Pour les chrétiens, la route a déjà été empruntée, tracée par le Christ lui-même et si sa mort et sa résurrection à Pâques ne nous épargne pas les épreuves, elles ouvrent une voie en direction de la Vie.

La vie est faite de passages qui sont parfois ce sont de véritables épreuves. Quelle que soit leur nature, il faut traverser ces moments qui nous bousculent, bouleversent notre quotidien, et nous projettent vers de l’inconnu. Pour les chrétiens, la route a déjà été empruntée, tracée par le Christ lui-même et si sa mort et sa résurrection à Pâques ne nous épargne pas les épreuves, elles ouvrent une voie en direction de la Vie.

La vie est faite de passages qui sont parfois ce sont de véritables épreuves. Quelle que soit leur nature, il faut traverser ces moments qui nous bousculent, bouleversent notre quotidien, et nous projettent vers de l’inconnu. Pour les chrétiens, la route a déjà été empruntée, tracée par le Christ lui-même et si sa mort et sa résurrection à Pâques ne nous épargne pas les épreuves, elles ouvrent une voie en direction de la Vie.

Le droit des femmes passe-t-il par la Bible ? C’est la question que va se poser Elisabeth Stanton, une américaine né en 1815 et morte en 1902. Cette féministe athée, abolitionniste et suffragiste américaine a pourtant travaillé sur la Bible.

Au XVIème siècle, une femme va quitter le monastère et ce n'est pas si courant. Elle s'appelle Marie Dentière et va porter une réflexion forte sur la prédication des femmes. Elle commencera par défendre que les femmes ont le droit de lire l'Ecriture...Tout simplement parce qu'elles en ont reçu les capacités.

Amba Oduyoy, est née en 1934 au Ghana, vingt ans avant l’indépendance de son pays (1957) et cela aura une importance dans son histoire. Elle y est la 1ere femme diplomée de theologie en 1963. Elle s'est beaucoup interrogée sur la maternité comme pratique communautaire.

Le portrait de Valérie de Gasparin, une comtesse rebelle, donne à entendre une penseuse qui défend le mariage comme étant aussi important que le couvent. Elle refuse l'idée selon laquelle pour être utile à la société, il faille prendre le voile. La liberté est dans le sacerdoce universel.

Quelques portraits de femmes qui ont voulu repenser leur lien personnel à Dieu, mais aussi celui de toute une communauté. S'appuyant sur la lecture de la Bible, elles ont apporté un regard neuf ...Dans une époque qui ne les écoutaient pas beaucoup.

40 jours après Pâques, la fête de l’Ascension marque le moment où le Christ « fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu », comme le dit l’évangile de Marc. Dès lors, les disciples se voient confier la responsabilité d’être témoins du ressuscité et d’annoncer à travers le monde la bonne nouvelle de l’évangile. Cette mission, c’est aux chrétiens d’aujourd’hui qu’elle incombe.

40 jours après Pâques, la fête de l’Ascension marque le moment où le Christ « fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu », comme le dit l’évangile de Marc. Dès lors, les disciples se voient confier la responsabilité d’être témoins du ressuscité et d’annoncer à travers le monde la bonne nouvelle de l’évangile. Cette mission, c’est aux chrétiens d’aujourd’hui qu’elle incombe.

40 jours après Pâques, la fête de l’Ascension marque le moment où le Christ « fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu », comme le dit l’évangile de Marc. Dès lors, les disciples se voient confier la responsabilité d’être témoins du ressuscité et d’annoncer à travers le monde la bonne nouvelle de l’évangile. Cette mission, c’est aux chrétiens d’aujourd’hui qu’elle incombe.

40 jours après Pâques, la fête de l’Ascension marque le moment où le Christ « fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu », comme le dit l’évangile de Marc. Dès lors, les disciples se voient confier la responsabilité d’être témoins du ressuscité et d’annoncer à travers le monde la bonne nouvelle de l’évangile. Cette mission, c’est aux chrétiens d’aujourd’hui qu’elle incombe.

40 jours après Pâques, la fête de l’Ascension marque le moment où le Christ « fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu », comme le dit l’évangile de Marc. Dès lors, les disciples se voient confier la responsabilité d’être témoins du ressuscité et d’annoncer à travers le monde la bonne nouvelle de l’évangile. Cette mission, c’est aux chrétiens d’aujourd’hui qu’elle incombe.

La mémoire chez les juifs, n’est pas une mémoire qui ressasse, mais une mise au présent du passé. J’ai promis, j’accomplis dit Dieu. Contrairement à la parole chez les nazis qui veut aligner tout le monde, la parole dans la Bible est celle de Babel : s’entendre dans la diversité.

Le mystère de la mort de Jésus : c'est celui de la croix qui est le récit de son enseignement, et de son engagement. Il ne faut pas aimer la croix du Christ, instrument de torture, mais la vénérer comme le résultat de son engagement. Et se demander : Eest ce que toi tu veux aller jusqu’où Jésus a été ?

A propos d'Auschwitz, il a parfois été évoqué "les larmes de Dieu". Pour Michel Deneken, la souffrance de Dieu serait comme celle d'un père pour ses enfants qui ne sont pas fidèles à son héritage. Cette question est finalement celle de l'intervention de Dieu dans notre Histoire et de sa nature.