
Halte spirituelle RCF - page 2
L'émission de référence de RCF ! Un format court et quotidien, complété par une version intégrale le samedi, pour engager une réflexion spirituelle profonde et accessible, autour d'une thématique d'actualité.
Episodes
7 novembre 2025Vatican II : que valent les autres religions ? 5/5 Ce qu'en disent les papes
Des années après Vatican II, qu'est devenu le dialogue interreligieux mis en avant durant le Concile ? Avec Michel Younes, nous verrons dans quelle mesure, les papes Jean-Paul II, Benoit XVI ou encore François se sont inscrit dans le sillage de Vatican II.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
6 novembre 2025Vatican II : que valent les autres religions ? 4/5 Il n'y a pas de négociations
Le dialogue interreligieux n'est pas une négociation. Elle se fait de croyant à croyant, comme une disposition envers l'autre. Les explications avec Michel Younes.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
5 novembre 2025Vatican II : que valent les autres religions ? 3/5 Qui détient la vérité ?
Comment inscrire la religion chrétienne dans la question de la vérité, lorsqu'on entre en dialogue avec d'autres religions ? Michel Younes, doyen de la faculté de théologie répond à nos questions.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
4 novembre 2025Vatican II : que valent les autres religions ? 2/5 Prosélytisme ou annonce ?
Prosélytisme ou annonce du Christ ? Michel Younes, doyen de la faculté de théologie de Lyon nous éclaire sur les circonstances de l'ouverture aux autres religions encouragée par le concile Vatican II.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
3 novembre 2025Vatican II : que valent les autres religions ? 1/5 Dialogue ou tolérance ?
Quelle attitude adopter pour mieux connaître les autres religions ? Y-a-t-il des étapes à suivre ? Notre invité Michel Younes revient sur la différence entre dialogue et tolérance et comment Vatican II a insufflé une nouvelle dynamique.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
31 octobre 2025Redécouvrir la foi chrétienne en méditant le mystère d'Israël (5/5) "Au commencement est la Parole"
Au fondement de la foi chrétienne et dans le cœur des chrétiens, il y a l’idée que Jésus est vrai Dieu et vrai Homme, qu’il est autant l’un que l’autre. Or, Jésus était juif, qu’il a prié le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, il a suivi les rites et célébré les fêtes juives. Il a aussi lu et commenté la loi de Moïse. C’est donc au sein du peuple juif que, pour les chrétiens, Dieu s’est incarné en Homme.
Que reste-t-il de la part hébraïque du christianisme aujourd’hui dans la vie de foi des chrétiens ? Depuis la déclaration Nostra Aetate, promulguée il y a soixante ans, le 28 octobre 1965, lors du concile Vatican II, les catholiques redécouvrent ce que l’on appelle la théologie du mystère d’Israël.
On en parle avec le Père Patrice Chocholski, prêtre, curé de paroisse à Marseille, et ancien directeur de l'Institut catholique de la Méditerranée (ICM). Chercheur en théologie des religions, il est l'auteur d'une thèse de doctorat sur "une théologie chrétienne des religions à partir de la relation actuelle entre Dieu et le peuple juif". Il travaille actuellement pour le Dicastère pour le dialogue interreligieux au Vatican, à une extension aux traditions asiatiques de la déclaration d’Abou Dhabi de 2019.Droits image: ©Hans Lucas
30 octobre 2025Redécouvrir la foi chrétienne en méditant le mystère d'Israël (4/5) Qu'est-ce que l'accomplissement ?
Au fondement de la foi chrétienne et dans le cœur des chrétiens, il y a l’idée que Jésus est vrai Dieu et vrai Homme, qu’il est autant l’un que l’autre. Or, Jésus était juif, qu’il a prié le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, il a suivi les rites et célébré les fêtes juives. Il a aussi lu et commenté la loi de Moïse. C’est donc au sein du peuple juif que, pour les chrétiens, Dieu s’est incarné en Homme.
Que reste-t-il de la part hébraïque du christianisme aujourd’hui dans la vie de foi des chrétiens ? Depuis la déclaration Nostra Aetate, promulguée il y a soixante ans, le 28 octobre 1965, lors du concile Vatican II, les catholiques redécouvrent ce que l’on appelle la théologie du mystère d’Israël.
On en parle avec le Père Patrice Chocholski, prêtre, curé de paroisse à Marseille, et ancien directeur de l'Institut catholique de la Méditerranée (ICM). Chercheur en théologie des religions, il est l'auteur d'une thèse de doctorat sur "une théologie chrétienne des religions à partir de la relation actuelle entre Dieu et le peuple juif". Il travaille actuellement pour le Dicastère pour le dialogue interreligieux au Vatican, à une extension aux traditions asiatiques de la déclaration d’Abou Dhabi de 2019.Droits image: ©Hans Lucas
29 octobre 2025Redécouvrir la foi chrétienne en méditant le mystère d'Israël (3/5) La judéité de Jésus
Au fondement de la foi chrétienne et dans le cœur des chrétiens, il y a l’idée que Jésus est vrai Dieu et vrai Homme, qu’il est autant l’un que l’autre. Or, Jésus était juif, qu’il a prié le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, il a suivi les rites et célébré les fêtes juives. Il a aussi lu et commenté la loi de Moïse. C’est donc au sein du peuple juif que, pour les chrétiens, Dieu s’est incarné en Homme.
Que reste-t-il de la part hébraïque du christianisme aujourd’hui dans la vie de foi des chrétiens ? Depuis la déclaration Nostra Aetate, promulguée il y a soixante ans, le 28 octobre 1965, lors du concile Vatican II, les catholiques redécouvrent ce que l’on appelle la théologie du mystère d’Israël.
On en parle avec le Père Patrice Chocholski, prêtre, curé de paroisse à Marseille, et ancien directeur de l'Institut catholique de la Méditerranée (ICM). Chercheur en théologie des religions, il est l'auteur d'une thèse de doctorat sur "une théologie chrétienne des religions à partir de la relation actuelle entre Dieu et le peuple juif". Il travaille actuellement pour le Dicastère pour le dialogue interreligieux au Vatican, à une extension aux traditions asiatiques de la déclaration d’Abou Dhabi de 2019.
Droits image: ©Hans Lucas
28 octobre 2025Redécouvrir la foi chrétienne en méditant le mystère d'Israël (2/5) L'Alliance avec Dieu jamais révoquée
Au fondement de la foi chrétienne et dans le cœur des chrétiens, il y a l’idée que Jésus est vrai Dieu et vrai Homme, qu’il est autant l’un que l’autre. Or, Jésus était juif, qu’il a prié le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, il a suivi les rites et célébré les fêtes juives. Il a aussi lu et commenté la loi de Moïse. C’est donc au sein du peuple juif que, pour les chrétiens, Dieu s’est incarné en Homme.
Que reste-t-il de la part hébraïque du christianisme aujourd’hui dans la vie de foi des chrétiens ? Depuis la déclaration Nostra Aetate, promulguée il y a soixante ans, le 28 octobre 1965, lors du concile Vatican II, les catholiques redécouvrent ce que l’on appelle la théologie du mystère d’Israël.
On en parle avec le Père Patrice Chocholski, prêtre, curé de paroisse à Marseille, et ancien directeur de l'Institut catholique de la Méditerranée (ICM). Chercheur en théologie des religions, il est l'auteur d'une thèse de doctorat sur "une théologie chrétienne des religions à partir de la relation actuelle entre Dieu et le peuple juif". Il travaille actuellement pour le Dicastère pour le dialogue interreligieux au Vatican, à une extension aux traditions asiatiques de la déclaration d’Abou Dhabi de 2019.
Droits image: ©Hans Lucas
27 octobre 2025Redécouvrir la foi chrétienne en méditant le mystère d'Israël (1/5) Qu'est-ce que la théologie du mystère d'Israël ?
Au fondement de la foi chrétienne et dans le cœur des chrétiens, il y a l’idée que Jésus est vrai Dieu et vrai Homme, qu’il est autant l’un que l’autre. Or, Jésus était juif, qu’il a prié le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, il a suivi les rites et célébré les fêtes juives. Il a aussi lu et commenté la loi de Moïse. C’est donc au sein du peuple juif que, pour les chrétiens, Dieu s’est incarné en Homme.
Que reste-t-il de la part hébraïque du christianisme aujourd’hui dans la vie de foi des chrétiens ? Depuis la déclaration Nostra Aetate, promulguée il y a soixante ans, le 28 octobre 1965, lors du concile Vatican II, les catholiques redécouvrent ce que l’on appelle la théologie du mystère d’Israël.
On en parle avec le Père Patrice Chocholski, prêtre, curé de paroisse à Marseille, et ancien directeur de l'Institut catholique de la Méditerranée (ICM). Chercheur en théologie des religions, il est l'auteur d'une thèse de doctorat sur "une théologie chrétienne des religions à partir de la relation actuelle entre Dieu et le peuple juif". Il travaille actuellement pour le Dicastère pour le dialogue interreligieux au Vatican, à une extension aux traditions asiatiques de la déclaration d’Abou Dhabi de 2019.
Droits image: ©Hans Lucas
24 octobre 2025Les surprises des grands textes de Vatican II 5/5 L'art de célébrer...quoi ?
Durant le Concile, la question de la liturgie a occupé une place importante. Comment célbrer dans une Eglise universelle ? Quelle place pour les rites et comment s'y retrouver. L'éclairage avec le père Christoph Théobald.Droits image: Pexels
23 octobre 2025Les surprises des grands textes de Vatican II 4/5 L'engagement des chrétiens
Gaudium et spes : un texte qui redit à l'Eglise l'importance d'écouter son époque, de lire "les signes des temps".Droits image: Aliona Pasha©
22 octobre 2025Les surprises des grands textes de Vatican II 3/5 L'Eglise, reflet du Christ ?
Dans Lumen Gentium, les Evêques rappellent que le Christ est la lumière des nations, et l'Eglise en est le reflet. L'Eglise est référée au Christ, mais comment est-elle intégrée dans l'Histoire de l'Humanité ? Comment les laïcs travaillent-ils à prendre leur place : comme un ferment, ou sur la Montagne.Droits image: Luis Nunez© 2017
21 octobre 2025Les surprises des grands textes de Vatican II 2/5 La Bible, un enjeu décisif
C’est un moment marquant dans l’histoire de l’Eglise catholique : avec le Concile Vatican II, lire la Bible devient un enjeu décisif pour les catholiques. L’expérience de la foi passe par la lecture des Ecritures, où Dieu se révèle. A quoi ressemble cette nouvelle impulsion, c’est ce que nous fait découvrir le théologien Christoph Théobald.Droits image: Pexels
20 octobre 2025Les surprises des grands textes de Vatican II 1/5 Les années Yéyé
L’Eglise avait prévu que Vatican II soit un véritable bond en avant , un temps pour se laisser interpeller par toute une série de questions nouvelles. Avec le grand théologien Christoph Théobald, nous revenons sur les débats dont se sont saisit les Eveques du monde entier lors de ce concile.Droits image: Peter de Vink
17 octobre 2025Vatican II face au monde moderne 5/5 Pour l'émancipation des pays pauvres
Au moment de Vatican II, l'Eglise soutient l'aide au développement des pays les plus pauvres. Elle encourage aussi le monde artisitique, supprime l'index, et prône une liberté face aux idéologies et aux dictatures.Droits image: Aliona Pasha©
16 octobre 2025Vatican II face au monde moderne 4/5 L'Eglise interpelle les nations
La bombe atomique, les évolutions techniques et technologiques préoccupe l'Eglise de Vatican II qui choisit de se mêler à ces questions. Etienne Fouilloux revient sur sa force d'interpellation en pleine guerre froide.Droits image: Olivia Fernandez Sosa
15 octobre 2025Vatican II face au monde moderne 3/5 Des athéismes hostiles au catholicisme
Certains courants de pensée vont déposséder l'Homme de sa personnalité, de son histoire, de son langage, de sa présence au monde et de son lien à Dieu. Certains athéismes - qui détruisent l'Homme - refusent même parfois le dialogue avec l'Eglise. Les explications avec l'historien Etienne Fouilloux.Droits image: Kaip
14 octobre 2025Vatican II face au monde moderne 2/5 Les temps sont-ils bons ou mauvais ?
Le Concile Vatican II est fondé sur une croyance en un humanisme chrétien inspiré par la foi. Mais très vite, cet humanisme va rencontrer les sciences humaines. Et l'Eglise se trouvera vite décalée face à des disciplines qui contestent formellement cet humanisme chrétien. Les explications avec l'hisrorien Etienne Fouilloux.Droits image: Peterdevink
13 octobre 2025Vatican II face au monde moderne (1/5) Le progrès mais pas à tout prix
L'Église ne donne pas toujours le même sens aux mots : que veut dire moderne, conservateur ? Que signifie la Tradition, et les traditions ? Comment l'Institution appréhende-t-elle le progrès ? Une pause sur les mots qui ont traversé les textes et l'époque de Vatican II, avec le grand historien Etienne Fouilloux.Droits image: Julius Silver ©
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