Halte spirituelle RCF - page 44

Qui est donc Maître Eckhart, ce dominicain qui nous invite à rencontrer Dieu au plus profond de nous-même ? En plein Moyen Âge, il n'a pas eu peur de parler à tous et en particulier aux femmes, de dire la théologie en langue allemande et plus seulement en latin, d’être à la fois Maître et exsangue à son procès pour hérésie. Une rencontre passionnante avec Rémy Valléjo, l'auteur d'une enquête mystique intitulée "Réduit à rien - Les derniers jours de Maître Eckhart" (éd. Cerf).

Qui est donc Maître Eckhart, ce dominicain qui nous invite à rencontrer Dieu au plus profond de nous-même ? En plein Moyen Âge, il n'a pas eu peur de parler à tous et en particulier aux femmes, de dire la théologie en langue allemande et plus seulement en latin, d’être à la fois Maître et exsangue à son procès pour hérésie. Une rencontre passionnante avec Rémy Valléjo, l'auteur d'une enquête mystique intitulée "Réduit à rien - Les derniers jours de Maître Eckhart" (éd. Cerf).

Qui est donc Maître Eckhart, ce dominicain qui nous invite à rencontrer Dieu au plus profond de nous-même ? En plein moyen-âge, il n'a pas eu peur de parler à tous et en particulier aux femmes, de dire la théologie en langue allemande et plus seulement en latin, d’être à la fois Maître et exsangue à son procès pour hérésie. Une rencontre passionnante avec Rémy Vallejo, l'auteur d'une enquête mystique, intitulée "réduit à rien, les derniers jours de Maître Eckhart" publié aux editions du Cerf.

Cette semaine, dans Halte Spirituelle, nous partons à la découverte de la mystique rhénane en compagnie d'un dominicain étonnant, Maître Eckhart. Et c'est le frère Rémy Vallejo auteur de "Réduit à rien, les derniers jours de Maître Eckhart" qui nous en parle.

Chaque être humain est traversé par la petite musique des sentiments et parfois l’ouragan des passions. Joie, colère, envie, tristesse, exaltation, jalousie, gratitude... la liste est longue de ces émotions qui nous habitent, avec lesquelles nous essayons de mener notre barque. La vie chrétienne n’est pas épargnée par ce monde émotionnel puisque Jésus lui-même s’est ému durant sa vie terrestre, lui qui a pleuré, s’est mis en colère ou qui a exulté de joie. Quelle place donner à nos émotions dans notre vie spirituelle ? Comment les reconnaître, les écouter, et leur donner sens ? Quelques éclairages avec le Père Jean-Paul Lamy, qui collabore au numéro 261 de la revue Christus et signe l'article "Se laisser toucher par la parole".

Chaque être humain est traversé par la petite musique des sentiments et parfois l’ouragan des passions. Joie, colère, envie, tristesse, exaltation, jalousie, gratitude... la liste est longue de ces émotions qui nous habitent, avec lesquelles nous essayons de mener notre barque. La vie chrétienne n’est pas épargnée par ce monde émotionnel puisque Jésus lui-même s’est ému durant sa vie terrestre, lui qui a pleuré, s’est mis en colère ou qui a exulté de joie. Quelle place donner à nos émotions dans notre vie spirituelle ? Comment les reconnaître, les écouter, et leur donner sens ? Quelques éclairages avec le Père Jean-Paul Lamy, qui collabore au numéro 261 de la revue Christus et signe l'article "Se laisser toucher par la parole".

Chaque être humain est traversé par la petite musique des sentiments et parfois l’ouragan des passions. Joie, colère, envie, tristesse, exaltation, jalousie, gratitude... la liste est longue de ces émotions qui nous habitent, avec lesquelles nous essayons de mener notre barque. La vie chrétienne n’est pas épargnée par ce monde émotionnel puisque Jésus lui-même s’est ému durant sa vie terrestre, lui qui a pleuré, s’est mis en colère ou qui a exulté de joie. Quelle place donner à nos émotions dans notre vie spirituelle ? Comment les reconnaître, les écouter, et leur donner sens ? Quelques éclairages avec le Père Jean-Paul Lamy, qui collabore au numéro 261 de la revue Christus et signe l'article "Se laisser toucher par la parole".

Chaque être humain est traversé par la petite musique des sentiments et parfois l’ouragan des passions. Joie, colère, envie, tristesse, exaltation, jalousie, gratitude... la liste est longue de ces émotions qui nous habitent, avec lesquelles nous essayons de mener notre barque. La vie chrétienne n’est pas épargnée par ce monde émotionnel puisque Jésus lui-même s’est ému durant sa vie terrestre, lui qui a pleuré, s’est mis en colère ou qui a exulté de joie. Quelle place donner à nos émotions dans notre vie spirituelle ? Comment les reconnaître, les écouter, et leur donner sens ? Quelques éclairages avec le Père Jean-Paul Lamy, qui collabore au numéro 261 de la revue Christus et signe l'article "Se laisser toucher par la parole".

Chaque être humain est traversé par la petite musique des sentiments et parfois l’ouragan des passions. Joie, colère, envie, tristesse, exaltation, jalousie, gratitude... la liste est longue de ces émotions qui nous habitent, avec lesquelles nous essayons de mener notre barque. La vie chrétienne n’est pas épargnée par ce monde émotionnel puisque Jésus lui-même s’est ému durant sa vie terrestre, lui qui a pleuré, s’est mis en colère ou qui a exulté de joie. Quelle place donner à nos émotions dans notre vie spirituelle ? Comment les reconnaître, les écouter, et leur donner sens ? Quelques éclairages avec le Père Jean-Paul Lamy, qui collabore au numéro 261 de la revue Christus et signe l'article "Se laisser toucher par la parole".

Que reste-t-il de notre fraternité, de notre capacité à nous reconnaître frères les uns des autres ? C'est la question que pose le père Benoist de Sinety dans son livre, "La fraternité sinon rien" (éd. Salvator).

Que reste-t-il de notre fraternité, de notre capacité à nous reconnaître frères les uns des autres ? C'est la question que pose le père Benoist de Sinety dans son livre, "La fraternité sinon rien" (éd. Salvator).

Que reste-t-il de notre fraternité, de notre capacité à nous reconnaître frères les uns des autres ? C'est la question que pose le père Benoist de Sinety dans son livre, "La fraternité sinon rien" (éd. Salvator).

Que reste-t-il de notre fraternité, de notre capacité à nous reconnaître frères les uns des autres ? C'est la question que pose le père Benoist de Sinety dans son livre, "La fraternité sinon rien" (éd. Salvator).

Que reste-t-il de notre fraternité, de notre capacité à nous reconnaître frères les uns des autres ? C'est la question que pose le père Benoist de Sinety dans son livre, "La fraternité sinon rien" (éd. Salvator).

"Lui, il faut qu’il grandisse ; et moi, que je diminue" (Jn 3, 30). Cette parole célèbre de l'apôtre Jean résume un point fondamental de la vie chrétienne, qui est un véritable paradoxe : c’est en s’abaissant que l’on grandit spirituellement. L'humilité parcourt toute la tradition chrétienne depuis les Pères de l'Église jusqu’aux écrits des grands saints. Fasciné depuis l'enfance par cette humilité chrétienne, Benoît Standaert a écrit "Journal de l'humilité" (éd. Salvator). Le fruit d'une réflexion intellectuelle et d'une quête spirituelle profonde, nourrie de rencontres.

C'est par l'humilité que l'on devient pauvre de cœur.
Un chemin d'abaissement qui fait partie de la vie spirituelle chrétienne.
Une grâce qui ne s'obtient jamais à la force du poignet...

C'est par l'humilité que l'on devient pauvre de cœur.
Un chemin d'abaissement qui fait partie de la vie spirituelle chrétienne.
Une grâce qui ne s'obtient jamais à la force du poignet...

C'est par l'humilité que l'on devient pauvre de cœur.
Un chemin d'abaissement qui fait partie de la vie spirituelle chrétienne.
Une grâce qui ne s'obtient jamais à la force du poignet...

C'est par l'humilité que l'on devient pauvre de cœur.
Un chemin d'abaissement qui fait partie de la vie spirituelle chrétienne.
Une grâce qui ne s'obtient jamais à la force du poignet...

Irénée, deuxième évêque de Lyon, a vécu au IIe siècle. Bien que très lointaine, sa théologie et sa spiritualité entrent en résonnance avec les réalités de l’Eglise actuelle.