Halte spirituelle RCF - page 23

Qui ne connaît pas "le fruit défendu" qu’Ève donne à Adam dans le Livre de la Genèse ? Les fruits sont nombreux dans la Bible. Ils sont chargés d'une forte puissance symbolique, que l'on est invités à interpréter sans cesse. Au fond, ils nous parlent de notre relation à Dieu, de notre capacité à accueillir ses dons et à donner à notre tour. 

Après la symbolique du parfum et son ouvrage "Tu m'as consacré d'un parfum de joie" (éd. Cerf, 2019), Sœur Anne Lécu s’intéresse aux fruits dans la Bible. Son livre "Afin que vous donniez du fruit" (2022) lui a notamment été inspiré par les révélations d’abus spirituels et d’agressions sexuelles commis par des fondateurs de communautés religieuses. Peut-on juger l’arbre à ses fruits ? Que penser des communautés de ces fondateurs abuseurs qui ont attiré tant de jeunes gens ? Dans son livre, la religieuse dominicaine, médecin en milieu pénitentiaire, ne livre pas une réflexion sur la crise que traverse l’Église – celle-ci est "en filigrane". À travers une lecture renouvelée de la Bible, elle propose une réflexion sur le juste rapport à l’autre ou la parole vraie.

Qui ne connaît pas "le fruit défendu" qu’Ève donne à Adam dans le Livre de la Genèse ? Les fruits sont nombreux dans la Bible. Ils sont chargés d'une forte puissance symbolique, que l'on est invités à interpréter sans cesse. Au fond, ils nous parlent de notre relation à Dieu, de notre capacité à accueillir ses dons et à donner à notre tour. 

Après la symbolique du parfum et son ouvrage "Tu m'as consacré d'un parfum de joie" (éd. Cerf, 2019), Sœur Anne Lécu s’intéresse aux fruits dans la Bible. Son livre "Afin que vous donniez du fruit" (2022) lui a notamment été inspiré par les révélations d’abus spirituels et d’agressions sexuelles commis par des fondateurs de communautés religieuses. Peut-on juger l’arbre à ses fruits ? Que penser des communautés de ces fondateurs abuseurs qui ont attiré tant de jeunes gens ? Dans son livre, la religieuse dominicaine, médecin en milieu pénitentiaire, ne livre pas une réflexion sur la crise que traverse l’Église – celle-ci est "en filigrane". À travers une lecture renouvelée de la Bible, elle propose une réflexion sur le juste rapport à l’autre ou la parole vraie.

Qui ne connaît pas "le fruit défendu" qu’Ève donne à Adam dans le Livre de la Genèse ? Les fruits sont nombreux dans la Bible. Ils sont chargés d'une forte puissance symbolique, que l'on est invités à interpréter sans cesse. Au fond, ils nous parlent de notre relation à Dieu, de notre capacité à accueillir ses dons et à donner à notre tour. 

Après la symbolique du parfum et son ouvrage "Tu m'as consacré d'un parfum de joie" (éd. Cerf, 2019), Sœur Anne Lécu s’intéresse aux fruits dans la Bible. Son livre "Afin que vous donniez du fruit" (2022) lui a notamment été inspiré par les révélations d’abus spirituels et d’agressions sexuelles commis par des fondateurs de communautés religieuses. Peut-on juger l’arbre à ses fruits ? Que penser des communautés de ces fondateurs abuseurs qui ont attiré tant de jeunes gens ? Dans son livre, la religieuse dominicaine, médecin en milieu pénitentiaire, ne livre pas une réflexion sur la crise que traverse l’Église – celle-ci est "en filigrane". À travers une lecture renouvelée de la Bible, elle propose une réflexion sur le juste rapport à l’autre ou la parole vraie.

Comment parlait-on du Christ aux premiers siècles ? Madeleine Vatel donne la parole au Frère Jean-Michel Poffet qui s'est penché sur les premières traces de l’évangélisation. Les relations de Paul avec ses communautés sont étonnantes d'attentions et d'enhtousiasme. Une piste d'inspiration pour aujourd'hui peut-être...

Comment parlait-on du Christ aux premiers siècles ? Madeleine Vatel donne la parole au Frère Jean-Michel Poffet qui s'est penché sur les premières traces de l’évangélisation. Les relations de Paul avec ses communautés sont étonnantes d'attentions et d'enhtousiasme. Une piste d'inspiration pour aujourd'hui peut-être...

Comment saint Paul a-t-il réussi à former sa communauté avec des païens ? Pour en parler Madeleine Vatel reçoit le Frère Jean-Michel Poffet. À travers son livre "Évangéliser oui, mais comment ?" (éd. Cerf), il revient sur les premières traces de l'évangélisation laissées par saint Paul.

À qui s'adresse la lettre de saint Paul aux Thessaloniciens ? Pour nous répondre Madeline Vatel reçoit le Frère Jean-Michel Poffet. À travers son livre "Évangéliser oui, mais comment ?" (éd. Cerf), il revient sur les premières traces de l'évangélisation laissées par saint Paul.

Comment parlait-on du Christ aux premiers siècles ? Madeleine Vatel donne la parole au bibliste dominicain Frère Jean-Michel Poffet. À travers son livre "Évangéliser oui, mais comment ?" (éd. Cerf), il revient sur les premières traces de l'évangélisation laissées par saint Paul.

Dans les psaumes, les paraboles ou les divers récits de l’Ancien et du Nouveau Testament, les Écritures ne cessent d'appeler à festoyer et à crier de joie. Mais faire la fête, s’agit-il de danser sur fond de catastrophes en attendant le naufrage? Non, la fête selon l'évangile, c'est un avant goût d'éternité.

Dans les psaumes, les paraboles ou les divers récits de l’Ancien et du Nouveau Testament, les Écritures ne cessent d'appeler à festoyer et à crier de joie. Mais faire la fête, s’agit-il de danser sur fond de catastrophes en attendant le naufrage? Non, la fête selon l'évangile, c'est un avant goût d'éternité.

Dans les psaumes, les paraboles ou les divers récits de l’Ancien et du Nouveau Testament, les Écritures ne cessent de nous appeler à festoyer et à crier de joie. Mais comment se réjouir quand les canons grondent, que la sécheresse sévit, que les attentats tuent aveuglément et que l’injustice condamne à la misère. S’agit-il de danser en attendant le naufrage ? Dans Halte Spirituelle le dominicain Sylvain Détoc parle de la fête et de la nécessité de se réconcilier avec elle. Car elle peut nous faire éprouver la joie de la résurrection et nous donner un avant-goût d’éternité.

Dans les psaumes, les paraboles ou les divers récits de l’Ancien et du Nouveau Testament, les Écritures ne cessent d'appeler à festoyer et à crier de joie. Mais faire la fête, s’agit-il de danser sur fond de catastrophes en attendant le naufrage? Non, la fête selon l'évangile, c'est un avant goût d'éternité.

Dans les psaumes, les paraboles ou les divers récits de l’Ancien et du Nouveau Testament, les Écritures ne cessent d'appeler à festoyer et à crier de joie. Mais faire la fête, s’agit-il de danser sur fond de catastrophes en attendant le naufrage? Non, la fête selon l'évangile, c'est un avant goût d'éternité.

En 2015 dans son encyclique Laudato Si, le pape François faisait un état des lieux réaliste de la crise écologique et de son impact sur les peuples, en particuliers les plus pauvres. Le nouveau texte du pape intitulé Laudato Deum, fait le constat de l'aggravation de la situation et de l'immobilisme des puissants, et souligne le point de rupture dont notre monde est proche.

En 2015 dans son encyclique Laudato Si', le pape François faisait un état des lieux réaliste de la crise écologique et de son impact sur les peuples, en particuliers les plus pauvres. Le nouveau texte du pape, intitulé Laudate Deum, fait le constat de l'aggravation de la situation et de l'immobilisme des puissants, et souligne le point de rupture dont notre monde est proche. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit le Père Xavier de Bénazé. Prêtre jésuite, il est délégué Laudato Si' - Écologie de la Province jésuite d’Europe occidentale francophone.

En 2015 dans son encyclique Laudato Si', le pape François faisait un état des lieux réaliste de la crise écologique et de son impact sur les peuples, en particuliers les plus pauvres. Le nouveau texte du pape, intitulé Laudate Deum, fait le constat de l'aggravation de la situation et de l'immobilisme des puissants, et souligne le point de rupture dont notre monde est proche. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit le Père Xavier de Bénazé. Prêtre jésuite, il est délégué Laudato Si' - Écologie de la Province jésuite d’Europe occidentale francophone.

En 2015 dans son encyclique Laudato Si', le pape François faisait un état des lieux réaliste de la crise écologique et de son impact sur les peuples, en particuliers les plus pauvres. Le nouveau texte du pape, intitulé Laudate Deum, fait le constat de l'aggravation de la situation et de l'immobilisme des puissants, et souligne le point de rupture dont notre monde est proche. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit le Père Xavier de Bénazé. Prêtre jésuite, il est délégué Laudato Si' - Écologie de la Province jésuite d’Europe occidentale francophone.

En 2015 dans son encyclique Laudato Si', le pape François faisait un état des lieux réaliste de la crise écologique et de son impact sur les peuples, en particuliers les plus pauvres. Le nouveau texte du pape, intitulé Laudate Deum, fait le constat de l'aggravation de la situation et de l'immobilisme des puissants, et souligne le point de rupture dont notre monde est proche. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit le Père Xavier de Bénazé. Prêtre jésuite, il est délégué Laudato Si' - Écologie de la Province jésuite d’Europe occidentale francophone.

En 2015 dans son encyclique Laudato Si', le pape François faisait un état des lieux réaliste de la crise écologique et de son impact sur les peuples, en particuliers les plus pauvres. Le nouveau texte du pape, intitulé Laudate Deum, fait le constat de l'aggravation de la situation et de l'immobilisme des puissants, et souligne le point de rupture dont notre monde est proche. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit le Père Xavier de Bénazé. Prêtre jésuite, il est délégué Laudato Si' - Écologie de la Province jésuite d’Europe occidentale francophone.

Quand on parle de la vie éternelle on pense à quelque chose qui concerne l'au-delà, à une donnée mystérieuse dont seuls les morts savent si elle existe. Les chrétiens l'affirment dans leur Credo, c'est-à-dire le texte par lequel ils professent leur foi : la vie éternelle existe. Dans la pensée chrétienne, on peut même la vivre dès maintenant. Pour comprendre de quoi il s'agit, Marina Copsidas, théologienne orthodoxe, a été puiser dans les écrits des mystiques et des docteurs de l'Église.