Halte spirituelle RCF - page 13

Dans l’Antiquité, les dieux des civilisations grecque et romaine inspiraient plutôt la peur. Pour les honorer, prévenir leur courroux ou se garantir leur protection, on sacrifiait des animaux. Le Dieu auquel croient les chrétiens est le strict opposé. Non seulement il ne demande aucun sacrifice puisque c’est lui qui a payé la dette en mourant sur la croix. Mais c’est aussi un Dieu qui vient parmi les êtres humains, à notre rencontre. C’est ce mystère de la rencontre avec Dieu que l’on fête à Noël. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit le Père Bruno-Marie Duffé, prêtre du diocèse de Lyon et ancien secrétaire général du dicastère pour le Service du développement humain intégral au Vatican.

Dans l’Antiquité, les dieux des civilisations grecque et romaine inspiraient plutôt la peur. Pour les honorer, prévenir leur courroux ou se garantir leur protection, on sacrifiait des animaux. Le Dieu auquel croient les chrétiens est le strict opposé. Non seulement il ne demande aucun sacrifice puisque c’est lui qui a payé la dette en mourant sur la croix. Mais c’est aussi un Dieu qui vient parmi les êtres humains, à notre rencontre. C’est ce mystère de la rencontre avec Dieu que l’on fête à Noël. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit le Père Bruno-Marie Duffé, prêtre du diocèse de Lyon et ancien secrétaire général du dicastère pour le Service du développement humain intégral au Vatican.

Dans l’Antiquité, les dieux des civilisations grecque et romaine inspiraient plutôt la peur. Pour les honorer, prévenir leur courroux ou se garantir leur protection, on sacrifiait des animaux. Le Dieu auquel croient les chrétiens est le strict opposé. Non seulement il ne demande aucun sacrifice puisque c’est lui qui a payé la dette en mourant sur la croix. Mais c’est aussi un Dieu qui vient parmi les êtres humains, à notre rencontre. C’est ce mystère de la rencontre avec Dieu que l’on fête à Noël. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit le Père Bruno-Marie Duffé, prêtre du diocèse de Lyon et ancien secrétaire général du dicastère pour le Service du développement humain intégral au Vatican.

Marie, à la fois première disciple, et mère de Jésus, est celle qui a entendu la première la Parole de Dieu. A quelle foi nous invite-t-elle ? En ce temps de l'Avent, nous convoquons le regard protestant.

La confiance et la fidélité de Marie s'inscrivent dans la longue tradition des personnages de l'ancien Testament qui ont suivi Dieu.

De ce premier moment vécu au mariage de Cana, jusqu'à la Croix, Marie est disciple et mère présente tout au long du ministère de Jésus. Nous le voyons bien dans l'Evangile selon saint Jean.

Dans le cantique du Magnificat s'exprime déjà le renversement du monde. Revenons sur ce passage de l'Evangile selon Saint Luc où Marie est première à dire la révolution qui vient si chacun le permet.

Marie a dit oui, comment et pourquoi ? Un éclariage protestant sur ce consentement à l'ange et à Dieu.

Jésus est le fruit d'une intervention divine dans la vie de Marie...Comment les protestants vivent-ils ce temps d'attente de la venue du Messie? Une émission avec Valérie Nicolet.

Le temps de l'Avent dure 40 jours dans l'Eglise orthodoxe, et il est aussi appelé le carême de Noël. Un long temps de conversion pour se préparer à accueillir un Dieu qui nous aime infiniment et qui se fait petit enfant pour ne pas nous effrayer.

Le temps de l'Avent dure 40 jours dans l'Eglise orthodoxe, et il est aussi appelé le carême de Noël. Un long temps de conversion pour se préparer à accueillir un Dieu qui nous aime infiniment et qui se fait petit enfant pour ne pas nous effrayer.

Le temps de l'Avent dure 40 jours Dans l'Eglise orthodoxe, et il est aussi appelé le carême de Noël. Un long temps de conversion pour se préparer à accueillir un Dieu qui nous aime infiniment et qui se fait petit enfant pour ne pas nous effrayer.

Le temps de l'Avent dure 40 jours Dans l'Eglise orthodoxe, et il est aussi appelé le carême de Noël. Un long temps de conversion pour se préparer à accueillir un Dieu qui nous aime infiniment et qui se fait petit enfant pour ne pas nous effrayer.

Ramener l'âme à l'essentiel prend du temps. Cela nécessite de se mettre à l'écoute, de goûter l'oraison, d'être en silence, de contempler le beau. Une démarche qui nécessite volonté et ...abandon.

Nos âmes sont parfois enfermées dans des prisons. Comment prendre au sérieux notre vie intérieure ?

Ecouter la vie en nous, c'est donner une place à l'âme, c'est fortifier notre vie intérieure. Ainsi nous pouvons devenir nous-même pour aller à la rencontre de l'autre. Le père Geoffroy-Marie de Beaurepaire nous dit comment unir notre personne, et combien notre chemin d'intériorité et d'extérioté s'enrichissent mutuellement.

Le discours contemporain sur l'importance d'écouter ses émotions, ses passions, son imaginaire met la psyché au premier plan. Mais qu'en est-il de notre vie intérieure chrétienne ? Et peut-elle nous aider à découvrir ce que l'on est ?

Ecouter la vie en nous, c'est donner une place à l'âme, c'est fortifier notre vie intérieure. Des philosophes, des psychologues et des théologiens l'ont bien compris : notre intériorité ne pas se nourrir que de notre vie extérieure. Et si nous essayions de "demeurer" davantage...avec nous-même ?

La vie de foi de Franz Jägerstätter est faite de la lecture de la Bible. C'est elle qui va forger sa fidélité au devoir quotidien, sa spiritualité et sa liberté de conscience. A notre tour, nous sommes invités à nous fortifier pour mieux écouter ce qui crie en nos coeurs.