L'Orient Express RCF - page 6

Elisabeth et Félix Leseur, histoire d’un amour fusionnel :
Dans cette première émission, le Frère Albert-Henri Kühlem vous propose de découvrir l’histoire d’un couple plus ou moins original. Elisabeth Leseur est une jeune femme croyante, pratiquante, cultivée et passionnée par tous les arts. Félix Leseur est un jeune défenseur de la 3 ième République, athée, anticlérical qui ne jure et ne croit qu’en la raison. Comment deux jeunes personnes aux caractères complètement opposés ont-ils pu vivre un amour aussi fusionnel ?

Franz Jägerstätter, « l’amour de Dieu est plus fort que la mort »
Dans cette dernière émission, le Frère Albert-Henri vous fait découvrir la pensée de Franz Jägerstätter en étudiant dans le détail ses notes et ses lettres. Paradoxalement, ce simple paysan qui arrêta très tôt l’école apparaît comme un lettré très intelligent au raisonnement pertinent et perturbant par sa détermination à n’obéir qu’à Dieu. Comment un simple homme peut-il résister aux tentations de renier Dieu ? Le cas de Franz Jägerstätter nous montre bien que la foi n’est pas uniquement une question d’intelligence mais également de cœur à cœur avec Dieu.

Franz Jägerstätter, « rendre à César ce qui est à César »
Seul contre tous, Franz Jägerstätter rejeta toutes les tentatives des officiers allemands pour le sauver de la condamnation à mort à cause de son refus de prendre les armes. Ses paroles provoquèrent la surprise, l’incompréhension et la déception chez son avocat, chez le président de la cour martiale, son évêque et son curé. Sa position était claire : l’on ne peut pas suivre la loi de l’État si celle-ci offense Dieu et s’oppose à ses commandements. Parce que cette guerre était une guerre injuste voulue par les hommes à l’encontre de Dieu, cette guerre était vouée à l’échec. Sans Dieu, il n’y a point de salut. Folie ou amour du Christ, Franz Jägerstätter fut pendant longtemps incompris et considéré comme un traître au grand malheur de sa femme et de ses filles qui durent supporter les critiques et le mépris des habitants de leur village.

Franz Jägerstätter, obéir à Dieu seulement
Perçu comme un imbécile ou un brave pour certains, comme un courageux martyr pour d’autres, Franz Jägerstätter était simplement un homme de conviction, de foi et surtout de fidélité à Dieu. Malgré un début de vie difficile dans la pauvreté et d’une certaine débauche, il redécouvrit Dieu et lui dédia finalement la totalité de sa vie. Désormais, rien ne pouvait le détourner des commandements de Dieu et de l’amour divin, pas même la mort. A l’image du Père Maximilien Kolbe ou du Père Jerzy Popieluszko et bien d’autres martyrs, Franz Jägerstätter fit preuve d’un courage exceptionnel : il préféra mourir plutôt que de renier Dieu.

Franz Jägerstätter, un homme qui fait débat

Dans cette première émission, le Frère Albert-Henri Kühlem vous propose de découvrir un personnage qui a suscité de nombreuses remises en question parmi ses proches, les membres l’Église et surtout parmi les représentants du régime nazi qui n’ont pas compris son choix de préférer mourir guillotiné plutôt que de servir le Reich d’Adolf Hitler. « On ne peut servir deux maîtres à la fois. » écrivait Franz Jägerstätter. Il préféra la mort pour préserver son âme plutôt que de se rendre coupable du meurtre de nombreux innocents d’une guerre injuste.

Le Cardinal Van Thuan, le triomphe de l’Amour du Christ et du Pardon
Dans cette dernière émission, le Frère Albert-Henri montre comment par son amour et sa capacité à pardonner à ses geôliers, le Cardinal Van Thuan est parvenu à convertir même ses gardiens et à redonner espoir et courage aux prisonniers. Expulsé à Rome, le Cardinal Van Thuan ne reviendra plus jamais dans son pays. Malgré cela, il continua son combat pour la paix au Vietnam en travaillant au côté du Pape Jean Paul II.

Le Cardinal Van Thuan, le pardon, le combat d’une vie
Ordonné évêque, le Cardinal Van Thuan est devenu doublement gênant pour le régime communiste en place : par son héritage politique familial et par ses prises de position, le Cardinal Van Thuan agace le pouvoir et finit par être emprisonné en 1973. Soumis à des conditions de vie difficiles, il n’abandonne pas le combat. Sur le modèle de Saint Paul, de sa prison, il décide d’écrire des lettres à ses fidèles et aux prêtres de son diocèse. Ces écrits leur redonnèrent espoir et courage.

Le Cardinal Van Thuan, porte-parole de « la joie et de l’espérance » en Dieu
Le meurtre de l’oncle et du cousin du Cardinal Van Thuan suscita le doute et la colère chez ce jeune séminariste. Contre toute attente, le Cardinal Van Thuan finit par accepter et pardonner à la demande du Christ qui s’adressa à lui pour lui rappeler que le pardon est sans compromis. Dans cette deuxième émission, le Frère Albert-Henri Kühlem évoque la manière dont le Cardinal Van Thuan parvint à pardonner l’impardonnable et à faire rayonner « la joie et l’espérance » du Christ comme l’indique sa devise d’évêque.

Le Cardinal Van Thuan, un combat contre le désir de vengeance et le refus de pardonner.
Dans cette première émission, le Frère Albert-Henri Kühlem vous propose de découvrir le parcours du Cardinal Van Thuan dans un contexte de guerre et d’instabilité politique au Vietnam. Issu d’une famille noble chrétienne proche de la cours impériale, le Cardinal Van Thuan et ses proches affrontèrent de nombreuses oppositions, répressions pour finalement perdre définitivement leur influence politique. Malgré l’assassinat de son oncle et de son cousin, le cardinal décida de combattre son propre désir de vengeance et de pardonner à ses ennemis.

Le Cardinal von Galen, le triomphe du bon pasteur.
Héros de la résistance pacifique et passive, vainqueur du Nazisme, l’évêque du Münster fut nommé Cardinal. Mais peu après son retour à Münster, il tomba malade. Le Lion du Münster finit par s’éteindre quelques mois après son éternel ennemi, Adolf Hitler. Dans cette dernière émission, le Frère Albert-Henri Kühlem vous propose de parcourir quelques textes de ce Cardinal hors-norme et de garder en mémoire ce conseil qui influença les membres de la Rose Blanche et de nombreux résistants allemands : soyez comme l’enclume. « L’enclume ne peut pas frapper, elle doit seulement tenir bon, elle doit seulement être solide ! Quand elle est suffisamment
dure, ferme, solide, l’enclume tient généralement plus longtemps que le marteau. Quelle que soit l’intensité avec laquelle le marteau s’abat sur elle, l’enclume se tient là, calme et ferme… »

Le Cardinal von Galen, « le lion du Münster » contre l’aigle
hitlérien.
Dans cette nouvelle émission, le Frère Albert-Henri Kühlem présente tous les
moyens utilisés par le Cardinal von Galen pour lutter contre le nazisme et protéger ses fidèles et les juifs de la menace totalitaire. De l’exaltation de la patrie allemande chrétienne à l’évocation de l’amour de Dieu, de la dénonciation des pratiques eugénistes à l’utilisation de l’euthanasie par le IIIe Reich, le Cardinal von Galen lutta dans tous les domaines et sur tous les thèmes. Allant et revenant au milieu de ses fidèles, il célébra des messes, multiplia les discours, les manifestations contre le régime. Les Nazis tentèrent à plusieurs reprises de le faire taire mais rien n’y fait.

Le Cardinal von Galen, espoir et désespoir des Nazis
Par ses origines nobles, son engagement, ses valeurs chrétiennes et conservatrices, son profil aryen, le Cardinal von Galen est très vite apparu comme le candidat idéal à l’épiscopat pour les partisans du régime d’Hitler. Premier évêque à être accepté par le IIIe Reich concordataire, le Cardinal von Galen suscitait beaucoup d’espoir politique mais c’était sans compter sur sa personnalité et son attachement au Christ.
Dès le jour de son intronisation, dans son serment auprès des autorités politiques, le Cardinal von Galen annonça la couleur de son engagement et de son action de résistance au IIIe Reich. A partir de ce moment-là, il ne cessa plus de lutter contre le régime, suscitant la colère d’Hitler et de ses partisans.

Le Cardinal von Galen, un évêque à l’écoute des pauvres.
Dans cette deuxième émission, le Frère Albert-Henri Kühlem vous fait découvrir le parcours du Cardinal von Galen. Berger attentif à ses brebis, le Cardinal von Galen apparut dès son ordination comme un prêtre à l’écoute des pauvres et des sans-abris dans une Allemagne tourmentée par la crise de 1929, la montée du communisme et du nazisme. Entre les partis d’extrême droite et d’extrême gauche, le Cardinal von Galen agissait pour le triomphe d’une troisième voie : celle du Christ et des valeurs humaines chrétiennes.

Le Cardinal von Galen et Hitler, histoire de deux ennemis jurés.
Dans cette première émission, le Frère Albert-Henri Kühlem vous propose de
découvrir la pensée et les combats du Cardinal von Galen, principal opposant au IIIe Reich. Célèbre par ses appels à la résistance et sa devise « ni par la flatterie ni par la peur », le Cardinal von Galen apparaissait comme un lion que rien ne pouvait arrêter, pas même la mort.

Le triomphe de la foi
Après de nombreuses réflexions et hésitations, Sergei Kourdakov fit le choix de l’exil. L’occasion se présente finalement lors d’une tempête où il quitte son navire de la marine russe en se jetant à la mer au large des côtes canadiennes. Il commença une nouvelle vie, découvrit l’amour de Dieu et celui de son amie, Koleen Kidd. Dans son ouvrage, « Une rose pour Sergei », Koleen raconte comment elle et Sergei tombent amoureux et comment elle découvre un Sergei désormais transformé en douceur, loin des brutalités de sa première vie. Elle devient ainsi un témoin par excellence de la vérité du parcours de Sergei, semé d’embûches, de peurs, d’échecs et finalement de joies et d’espérance. Si Natacha est le symbole de la résistance passive des Chrétiens de Russie, Sergei est le fruit de cette résistance par l’exemple
de sa conversion à l’amour du Christ et des hommes.

Sergei Kourdakov et la découverte de l’amour du Christ.
Dans cette nouvelle émission, le Frère Albert-Henri Kühlem montre comment
Sergei Kourdakov fut ébranlé par la résistance passive des Chrétiens de Russie : plus il les réprimait, plus ils étaient nombreux. Plus il était violent envers eux, plus leur foi grandissait. L’attitude de Natacha, sa victime et la lecture de la Bible remirent en question beaucoup de ses convictions et sa foi dans le communisme.

Parcours d’un bourreau et d’un persécuteur de Chrétiens.
Auteur d’un livre-confession intitulé « Pardonne-moi Natacha », Sergei Kourdakov mourut l’année de ses 21 ans assassiné par le KGB. Ce livre fut publié à titre posthume et fut l’objet de nombreuses critiques et remises en question. Sergei était-il un menteur ? Son éditeur a-t-il modifié le texte initial de son autobiographie pour attirer plus de lecteur ? Dans cette émission, le Frère Albert-Henri Kühlem part à la recherche de la vérité et tente de brosser le véritable portrait de ce jeune homme à la fois bourreau et victime du régime soviétique.

Sergei Kourdakov, un personnage mystérieux. Ce mois-ci dans votre émission L’Orient Express, découvrez le parcours de Sergei Kourdakov, ancien agent du KGB et officier de la Marine russe qui persécuta les
chrétiens d’URSS. Découvrez comment la résistance passive de Natacha, une de ses victimes, le poussa à se convertir, ou au moins, à se remettre en question.

Le Recteur du séminaire des barbelés. Soucieux des âmes des pauvres et des malades, l’abbé Stock refusa de quitter Paris avec l’armée allemande en déroute. Il fit le choix de rester aux côtés des soldats allemands malades et de se constituer prisonnier. Grâce à son soutien aux Résistants français, l’abbé Stock obtint pour les soldats malades et pour les prêtres allemands mobilisés par la guerre de vivre dans de meilleures conditions.
Par son action de soutien et d’accompagnement envers les résistants condamnés à mort sous l’occupation, il évita la vengeance des Résistants français. À l’initiative du clergé français, il est mis à la tête du séminaire des Barbelés, un camp dans lequel les séminaristes allemands pouvaient étudier pour se préparer au sacerdoce et à œuvrer par la suite pour la paix et l’amitié franco-allemande qui n’a aucun autre fondement que la Vérité et l’Amour du Christ.

L’aumônier de l’enfer. Pendant l’occupation allemande, l’abbé Stock fut nommé aumônier des prisons de Fresnes, la Santé et du Cherche-Midi. Chargé d’accompagner spirituellement les résistants français condamnés à mort, exécutés au Mont Valérien, il assista à la mort de nombreux innocents qu’il avait surnommé « ses saints », martyrs de l’injustice et de la vanité de l’Homme. Bon pasteur, il n’abandonna aucune âme et les accompagna jusqu’au bout. Opposant à l’injustice, il résista à sa manière en faisant passer des informations entre les familles des prisonniers et les prisonniers. L’inscription des familles des fusillés sur la pierre tombale de l’abbé Stock reflète la gratitude de ces familles envers l’aumônier de l’enfer.