Tout est lié - page 4

Comment associer l'ensemble des citoyens et citoyens et citoyennes aux décisions indispensables en matière d'éologie ? C'est un véritable défi.

Les migrations climatiques font partie des conséquences conséquences collectives du changement climatique, auxquelles l'ensemble de l'humanité, collectivement, doit désormais faire face. Il n'y aura pas de solution si nous nous replions chacun sur soi.

Aujourd’hui, une des plus grandes enthousiasmantes avancées est celle de la prise en compte de la sensibilité de l’animal de la présence en chaque être vivant d’un « souffle de vie » et donc de l’importance de notre rôle, en tant qu’êtres humains à préserver cette vie.

"Ecologie" ne signifie pas "protection de l'environnement", alors qu'on utilise souvent l'un pour exprimer l'autre. Pour les écologistes, ce qui est important, ce qui va permettre le bonheur collectif, c'est de privilégier les relations harmonieuses entre les êtres humains et leur environnement. C'est le projet inverse du productivisme.

Les pandas, les ours polaires et les moustiques font partie intégrante de notre famille. Si une espèce disparaît, c’est notre propre patrimoine qui est en péril.

"Et si nous prenions enfin conscience que nous habitons tous et toutes le même incroyable vaisseau spatial, la terre, où l'important n'est plus d'être le plus riche du cimetière mais de vivre ensemble et d’aimer son prochain ?" interroge François Mandil.

"On cultive son jardin comme on cultive sa conversion éthique et écologique. Si on n’arrose plus rien, alors meurt en nous ce que l’on essaye de faire croitre, vivre, changer."

Grâce à son esprit de service et sa vision de long terme, l’écologie peut redonner à la politique ses lettres de noblesse. C'est la conviction d'Adrien Louandre.

Après 4 années de présidence Trump et de climato scepticisme, Joe Biden relance les ambitions écologiques étatsuniennes. Mais sera-t-il à la hauteur des enjeux écologiques?

"Tout animal ou végétal est aimé de Dieu, car tous, simplement par leur existence, sont dignes de vivre, au même titre que chaque être humain." C'est la conviction d'Adrien Louandre.

Dans son encyclique Laudato Si, le pape François se prononce pour "une certaine décroissance". Pour François Mandil, cela ouvre les yeux des chrétiens et le dialogue avec les non-chrétiens.

Pour Adrien Louandre, le vélo illustre ce qu'est l'écologie intégrale : il implique des choix individuels, collectifs et politiques.

En se livrant à une exploration du temps, en plongeant dans le passé et en se projetant dans un futur lointain, François Mandil donne des clés pour penser l'écologie comme un humanisme.

Comment ne pas se laisser déstabiliser par la perspective de l'effondrement ou des effondrements que nous annoncent les collapsologues? En restant acteurs de nos vies dit Adrien Louandre.

Le monde d'après ne se fera pas sans les entreprises. Mais pour qu'elles puissent être vertueuses, les règles du jeu doivent changer. C'est une question politique. Une chronique de F Mandil.

Quand un citoyen se demande si la politique du gouvernement et de la majorité parlementaire en matière d'écologie n’est pas de faire croire qu’elle agit, plutôt que d’agir concrètement.

Artificialisés, bétonnés, goudronnés, privés de haies, surexploités, les sols vont mal. Mais la population ne semble pas s'en émouvoir. Nous ne pouvons pourtant pas vivre hors-sol.