Le reportage de la semaine RCF - page 7

Après une année 2024 consacrée à l’intelligence artificielle, le Quai des Savoirs à Toulouse s’intéresse cette année à l’intelligence collective, celle des foules humaines dans la rue, dans les stades et les salles de spectacle, et sur internet. Car la science étudie, et meme plus, mène des expériences sur la foule, afin de mieux comprendre nos comportements à tous. En ce sens, la grande exposition baptisée “Comme des moutons ?” est proposée au Quai des Savoirs depuis le 31 janvier dernier et jusqu'au 2 novembre prochain.
Anna Etchebarne s'est rendue pour nous sur place, où les différents types de foules ont été analysés en 3 grandes catégories. On commence avec les foules compactes.
Et pour nous éclairer, Mathilde LACOMBE, muséographe au Quai des Savoirs toulousain.

Dans ce reportage de la semaine, vous allez suivre la fabrication d'une peluche sur mesure, dans une boutique du centre-ville montpelliérain.

Après avoir choisi sa peluche, lui avoir donné vie et fait un voeu, ce nouvel épiode du reportage de la semaine va vous présenter la fin du cérémonial, avec notamment le choix du prénom pour ce petit éléphant. Mais avant ça, une dernière étape.

Dans ce nouvel épidode, retrouvez la suite de la fabrication de la peluche spéciale RCF, dans une boutique Montpelliéraine. Il est temps de lui donner vie et de faire la cérémonie traditionnelle.

Après avoir découvert le magasin de l'atelier de la peluche, votre reportage du jour va vous plonger dans les débuts de la fabrication de la peluche. Jérome, le gérant de la boutique, nous a raconté son histoire, place au concret, avec Alix Vitrou.

Aujourd'hui, premier épisode du reportage de la semaine, qui va être une bulle de douceur dans une actualité pas toujours positive. Vous allez découvrir le parcours d'Alix Vitrou, notre reporter qui est allée fabriquer une peluche, la mascotte de RCF à Montpellier.

20 ans

Je vous parle d'un temps, à Gignac et sur la Vallée de l'Hérault, que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre. Tout du moins concernant le paysage culturelle. Puisque c'est en 2005 que l’association Office Culturel de la Vallée de l’Hérault (OCVH) se créée et développe dans la foulée projets artistiques et culturels de musiques actuelles au sein du Sonambule. Avec comme grands axes de développement : la diffusion des œuvres, le soutien à la création et l’accompagnement des équipes artistiques, l’éducation artistique et culturelle, enfin, les actions territoriales. Quatre piliers pour une construction voulue solide et durable, portée par le cinquième : les humains qui le bâtissent. Reportage à l'occasion des 20 ans du Sonambule sur l'intérieur de la machine.

Episode 5 : cinquième pilier, l'humain

L'art a besoin d'un public. C'est en somme ce qu'écrivait en 1872, George Sand, romancière française, à propos de l'artiste. Il a le "devoir de trouver une expression adéquate pour le transmettre au plus grand nombre". Mais si le public n'a pas les clés, que l'artiste n'a pas les moyens ni de se déplacer, ni de porter à maturation son projet, doit-on sur lui faire reposer toute la responsabilité ? Au Sonambule, preuve est qu'ensemble on va plus loin. A travers une direction ancrée sur le territoire, à destination de tous, pour une diffusion large et à côté des artistes. Dans ce projet, le cinquième pilier et la base de la fondation c'est l'humain et leur volonté.

Episode 4 : quatrième pilier, le soutien à la création et l'accompagnement des équipes artistiques

Sans artistes, pas de projets culturel. Pas de projet culturel, pas de diversité et d'ouverture au monde. C'est en ce sens et pour remédier à la potentielle voie dans issue, que le Sonambule propose un programme d'accompagnement artistique : MaturaSon.
Pour le millésime 2025, deux groupes ont été sélectionnés. Mango Mango et Miszellany. Le deuxième propose une fusion entre R&B et les musiques du monde. Porté par une voix soul puissante, l'artiste est accompagnée par le beatboxeur PACMax. Si tous les ingrédients sont là pour un bon cru, la route des artistes débutants indépendants est souvent sinueuse. C'est pour éviter le vinaigre que le Sonambule propose sur un an d'aider les groupes dans leur construction.

Episode 3 : troisième pilier, l'éducation artistique et culturelle

Diffuser la culture passe aussi par l'éducation au Sonambule. Toute l'année des activités artistiques et culturelles sont proposées aux enfants des trois centres de loisirs de Gignac, Saint-André-de-Sangonis et Montarnaud. A l'occasion des 20 ans du Sonambule, 64 enfants parmi les trois centres de loisirs, ont délocalisés leur activités au sein du Sonambule. Au programme : visite des locaux, sport, peinture et chant en grand final, avec la reprise d'une chanson des Ogres de Barback. Chaque centre de loisir avait également composé en amont un morceau de Pittocha, autour duquel tourne le spectacle de la compagnie.

Episode 2 : deuxième pilier, mener des actions sur le territoire

Vous l'avez compris, monter un chapiteau prend du temps. 2 jours pour être exacte à 10 salariés et 15 bénévoles. Partout où la troupe passe, l'aide des bénévoles est précieuse. A Gignac, le tissu est dense, prêt à donner un coup de main pour la bonne cause. Puisque oui, la culture est une cause, surtout en ruralité. Monter un chapiteau revient à construire la vie du territoire.

Episode 1 : premier pilier, diffuser les oeuvres artistiques

A l'occasion des 20 ans du Sonambule, la compagnie les Ogres de Barback venait jouer son spectacle Pittocha à Gignac du 11 au 13 avril. En amont de la représentation, il faut installer le décor : un chapiteau. Un grand chapiteau. Pour le Sonambule, le montage du chapiteau constitue une étape des réjouissances et du spectacle. Un moment où tout le monde met la main à pâte pour la culture et sa diffusion.

Exposition Le Béal, joyau de Marvejols

A la suite d'une crue de la Colagne survenue durant l'hiver 1306, et qui emporta le pont de Peyre, les riverains accompagnés des moines Cordeliers réitérèrent leur demande de fixer le cours de la rivière.
Avec l'acte de paréage conclu en 1307 entre Philippe le Bel et l'évêque de Mende, Marvejols devenue ville royale bénéficia de l'attention du roi et de son représentant local, le sénéchal de Nîmes. Ce dernier ordonna donc la déviation du lit de la rivière et la création d'un canal.

L'histoire du Béal et de ses moulins vous est dévoilée actuellement lors d’une exposition. Des photos anciennes vous évoqueront le travail des moulins et des filatures, à l’office de tourisme de Marvejols.

Exposition Le Béal, joyau de Marvejols

A la suite d'une crue de la Colagne survenue durant l'hiver 1306, et qui emporta le pont de Peyre, les riverains accompagnés des moines Cordeliers réitérèrent leur demande de fixer le cours de la rivière.
Avec l'acte de paréage conclu en 1307 entre Philippe le Bel et l'évêque de Mende, Marvejols devenue ville royale bénéficia de l'attention du roi et de son représentant local, le sénéchal de Nîmes. Ce dernier ordonna donc la déviation du lit de la rivière et la création d'un canal.
Véronique Proust au micro de JCA


L'histoire du Béal et de ses moulins vous est dévoilée actuellement lors d’une exposition. Des photos anciennes vous évoqueront le travail des moulins et des filatures, à l’office de tourisme de Marvejols.

Exposition Le Béal, joyau de Marvejols

A la suite d'une crue de la Colagne survenue durant l'hiver 1306, et qui emporta le pont de Peyre, les riverains accompagnés des moines Cordeliers réitérèrent leur demande de fixer le cours de la rivière.
Avec l'acte de paréage conclu en 1307 entre Philippe le Bel et l'évêque de Mende, Marvejols devenue ville royale bénéficia de l'attention du roi et de son représentant local, le sénéchal de Nîmes. Ce dernier ordonna donc la déviation du lit de la rivière et la création d'un canal.
Véronique Proust au micro de JCA


L'histoire du Béal et de ses moulins vous est dévoilée actuellement lors d’une exposition. Des photos anciennes vous évoqueront le travail des moulins et des filatures, à l’office de tourisme de Marvejols.

Exposition Le Béal, joyau de Marvejols

A la suite d'une crue de la Colagne survenue durant l'hiver 1306, et qui emporta le pont de Peyre, les riverains accompagnés des moines Cordeliers réitérèrent leur demande de fixer le cours de la rivière.
Avec l'acte de paréage conclu en 1307 entre Philippe le Bel et l'évêque de Mende, Marvejols devenue ville royale bénéficia de l'attention du roi et de son représentant local, le sénéchal de Nîmes. Ce dernier ordonna donc la déviation du lit de la rivière et la création d'un canal.
Véronique Proust au micro de JCA


L'histoire du Béal et de ses moulins vous est dévoilée actuellement lors d’une exposition. Des photos anciennes vous évoqueront le travail des moulins et des filatures, à l’office de tourisme de Marvejols.

Exposition Le Béal, joyau de Marvejols

A la suite d'une crue de la Colagne survenue durant l'hiver 1306, et qui emporta le pont de Peyre, les riverains accompagnés des moines Cordeliers réitérèrent leur demande de fixer le cours de la rivière.
Avec l'acte de paréage conclu en 1307 entre Philippe le Bel et l'évêque de Mende, Marvejols devenue ville royale bénéficia de l'attention du roi et de son représentant local, le sénéchal de Nîmes. Ce dernier ordonna donc la déviation du lit de la rivière et la création d'un canal.
Véronique Proust au micro de JCA


L'histoire du Béal et de ses moulins vous est dévoilée actuellement lors d’une exposition. Des photos anciennes vous évoqueront le travail des moulins et des filatures, à l’office de tourisme de Marvejols.

Exposition Le Béal, joyau de Marvejols

A la suite d'une crue de la Colagne survenue durant l'hiver 1306, et qui emporta le pont de Peyre, les riverains accompagnés des moines Cordeliers réitérèrent leur demande de fixer le cours de la rivière.
Avec l'acte de paréage conclu en 1307 entre Philippe le Bel et l'évêque de Mende, Marvejols devenue ville royale bénéficia de l'attention du roi et de son représentant local, le sénéchal de Nîmes. Ce dernier ordonna donc la déviation du lit de la rivière et la création d'un canal.
Véronique Proust au micro de JCA

L'histoire du Béal et de ses moulins vous est dévoilée actuellement lors d’une exposition. Des photos anciennes vous évoqueront le travail des moulins et des filatures, à l’office de tourisme de Marvejols.

La Halle de la Machine : spectacle, mécaniques et magie ?

La Halle de Machine, implantée à Toulouse depuis 2018 expose toutes les créations de la Compagnie La Machine. Elle-même créée par François Delarozière, son directeur artistique. La compagnie est nationalement connue pour ses défilés monumentaux, dernièrement dans les rues de Toulouse avec le Minotaure, Ariane l'araignée et Lilith la gardienne des ténèbres du Hell Fest.

Si les machines sont fabriquées à Nantes et Tournefeuille, elles voyagent. Et le Minotaure circule à la Halle de la Machine accompagné par Lilith jusqu'en juin 2025 avant qu'elle ne rejoindre le Hell Fest. Mais la compagnie de la machine c'est aussi tout un monde de création et de petites robotiques qui s'animent dans 4 000m² d'espace d'exposition.

On vous propose une virée dans cet univers, fascinant, bruyant, chamboulant.

Episode 5 : La Halle de la Machine ou faire entrer la culture et le grandiose dans le quotidien

La Halle de la Machine, au-delà de procurer des émotions, fait réfléchir. Elle nous sort également de notre quotidien en proposant des petits robots, musiques, géants, dessins et défilés. Un idéal pour toute entreprise de culture, vécu, au sein de la compagnie de la Machine, plutôt comme une conséquence, à en croire son fondateur François Delarozière.