A table, Excellence ! RCF - page 4

Ah, le plaisir du marché, que ce soit le week-end ou la semaine... en voici une institution que l'on croit si française... mais pas seulement ! Pierre Bodineau nous emmène aujourd'hui entre deux étals...

A l'alouette, à la perdrix, à la truffe, à la caille... c'est de ces petits patés si succulent dont va nous parler aujourd'hui Pierre Bodineau. De ces petits pâtés mais aussi des lieux célébrissimes où ils étaient servis à Dijon...

A l'alouette, à la perdrix, à la truffe, à la caille... c'est de ces petits patés si succulent dont va nous parler aujourd'hui Pierre Bodineau. De ces petits pâtés mais aussi des lieux célébrissimes où ils étaient servis à Dijon...

On savait vivre, en ce début du XXème siècle ! Et lorsqu'un préfet quittait son poste après 18 ans de services rendus à la France, on le saluait dignement comme ce banquet d'adieu donné à Dijon pour le préfet Michel. Pierre Bodineau nous conte le menu...

On savait vivre, en ce début du XXème siècle ! Et lorsqu'un préfet quittait son poste après 18 ans de services rendus à la France, on le saluait dignement comme ce banquet d'adieu donné à Dijon pour le préfet Michel. Pierre Bodineau nous conte le menu...

Le café, voilà un moment important pour beaucoup d'entre nous. Et la publicité, au XXème siècle, a donné à ce moment, comme des airs d'explorations lointaines dues à un gringo nommé Jacques Vabre. Voici l'histoire d'un modeste enseignant...

Le café, voilà un moment important pour beaucoup d'entre nous. Et la publicité, au XXème siècle, a donné à ce moment, comme des airs d'explorations lointaines dues à un gringo nommé Jacques Vabre. Voici l'histoire d'un modeste enseignant...

Napoléon III aimait-il Dijon ? En tous les cas il y vint 2 fois dont la dernière en tant qu'Empereur des Français. On donna alors un somptueux banquet dont Pierre Bodineau donne là le gargantuesque menu...

Napoléon III aimait-il Dijon ? En tous les cas il y vint 2 fois dont la dernière en tant qu'Empereur des Français. On donna alors un somptueux banquet dont Pierre Bodineau donne là le gargantuesque menu...

En 1941, dans un pays en guerre, le rationnement permet de nourrir, au strict minimum, chaque Français. Et c'est justement cette année-là, que paraît "Un éloge de la frugalité" dont Pierre Bodineau nous parle.

En 1941, dans un pays en guerre, le rationnement permet de nourrir, au strict minimum, chaque Français. Et c'est justement cette année-là, que paraît "Un éloge de la frugalité" dont Pierre Bodineau nous parle.

Si l'on vous demande de citer le biscuit français par excellence, il y a fort à parier que le "petit beurre" vous viendra à l'esprit. Un petit Lu pour lequel les plus grands ont fait de "la réclame". Retour sur un passé pas si lointain...

Si l'on vous demande de citer le biscuit français par excellence, il y a fort à parier que le "petit beurre" vous viendra à l'esprit. Un petit Lu pour lequel les plus grands ont fait de "la réclame". Retour sur un passé pas si lointain...

Nous sommes au milieu du XVème siècle, à Lille. De retour de Gand, Philippe le Bon, Duc de Bourgogne, offre là un fastueux banquet plus connu sous le nom de "banquet du faisan". Un banquet, avant tout comme une démonstration de sa puissance !

Nous sommes au milieu du XVème siècle, à Lille. De retour de Gand, Philippe le Bon, Duc de Bourgogne, offre là un fastueux banquet plus connu sous le nom de "banquet du faisan". Un banquet, avant tout comme une démonstration de sa puissance !

Comment ne pas évoquer, dans cette première chronique signée Pierre Bodineau, l'aliment préféré des Français, le pain ? Et pourtant, aujourd'hui, on ne mange plus de pain comme on le faisait au XXème siècle...

Comment ne pas évoquer, dans cette première chronique signée Pierre Bodineau, l'aliment préféré des Français, le pain ? Et pourtant, aujourd'hui, on ne mange plus de pain comme on le faisait au XXème siècle...