Histoire de Belfort-Montbéliard RCF - page 7

L'année 44 à Saint Nicolas, commune de Rougemont le Château, d'après la chronique journalière de Soeur Marie-Solange "de l'occupation à la libération" : la situation militaire en 1944 dans le Territoire de Belfort, la vie à l'école, la peur des rafles, les soldats allemands, le manque de nourriture, le libération.

C'est la libération des camps et la longue attente des familles, deux cars envoyés à Dachau : rôle de Mme Marchand de la Croix Rouge et du docteur Braun. Tous les détails dans cette émission.

C'est la Libération, c'est la joie. On parle du rôle du nouveau préfet, du maire revenu de la guerre Pierre Dreyfus-Schmitt, de l'abbé Dufay. La Libération marque le début de l'épuration des collaborateurs. Il y a encore des restrictions et l'angoisse des familles avant le retour des prisonniers.

Nous sommes à l'automne 1944. Un point sur les différents maquis et les prises d'otages. La population est réquisitionnée, les rafles pour le travail en Allemagne continuent. Mais dans tout ça, la libération est proche tout de même...

Un été de résistance avec le maquis de la Planche des Belles Filles et le commandant Dufay , aumônier du lycée de Belfort. Terrible été car les déportations vers les camps de travail se poursuivent. Et sur la route de l'Allemagne, Pétain et Laval font halte à Belfort avec les miliciens...

Dans l'attente du débarquement, les bombardements alliés se poursuivent à Belfort (quartier de la Pépinière) faisant victimes et détruisant les habitations. On parle du rôle de la résistance avec les sabotages et de l'autre côté de la milice et de la présence des troupes allemandes.

La guerre se poursuit, où en est-on en Europe et dans le monde ? La répression envers les juifs se poursuit, les opérations de résistance aussi entre sabotages et attentats. Il y a un problème de ravitaillement qui fait vivre un marché noir.

La guerre se poursuit, où en est-on en Europe et dans le monde ? La répression envers les juifs se poursuit, les opérations de résistance aussi entre sabotages et attentats. Il y a un problème de ravitaillement qui fait vivre un marché noir.

Il s'agit maintenant d'honorer les morts et de fêter la victoire. C'est le retour des régiments Belfortains autour de grands rassemblements, comme les fêtes du 14 juillet 1919. Inauguration en 1922 du monument dédié au Caporal Peugeot à Joncherey.

Nous sommes en janvier-février 1919. À quand le retour à la vie normale ? Il y a des difficultés d'approvisionnement, des conflits sociaux. On parle de la place des femmes, du devenir politique et économique de Belfort et du rôle de Clémenceau.

Nous sommes en 1918. Un fléau fait son apparition : la grippe espagnole. Quelles sont les mesures sanitaires prises ? Quelles fermetures d'établissements ? Elle fera 400.000 morts en France.

Poursuite de la série autour de la guerre de 14/18. Et cette fois nous nous intéressons aux usines d'armement (SACM, Peugeot, Japy) et aux conditions de travail des femmes. Il faut héroïser les ouvrières et honorer les alliés. Il y a aussi des débats autour du changements de nom des rues.

En janvier-février 1918 ont lieu des visites prestigieuses dans le Territoire de Belfort : le Général Pétain, Clémenceau. Quels sont les buts de leurs visites ? Et quel rôle joue la suite à cette période de la guerre ?

Nous sommes à l'hiver 1916. Il y a des problèmes d'approvisionnement avec, bien sûr, la nourriture mais aussi avec les combustibles. Il y a donc des rationnements, ce qui provoque des mécontentements.

Nous sommes en été 1915. Période qui marque l'arrivée de 40 000 soldats de la division marocaine et le passage de visiteurs célèbres comme le général Lyautey et le président Poincaré. Où sont donc les régiments Belfortains ?

Nous sommes au printemps 1914. Quelle est la situation internationale et française ? Il y a les élections législatives à Belfort. On évoque les candidats, les élus, le gouverneur militaire et l'administration préfectorale.

Dernière émission autour de cette paroisse. On évoque les figures de pasteurs et de laïcs qui ont marqué l'histoire du protestantisme à Belfort. Celles des grandes familles protestante (Boigeol/Japy/Dollfus...).

De leur arrivée (1827) à 1900, on évoque les relations des protestants avec les catholiques, les mariages mixtes, les anabaptistes, les quakers, et leurs actions dans la santé, l'éducation, les diaconesses...

Dans cette émission, on évoque le cadre institutionnel (consistoire, inspection ecclésiastique, directoire, synodes...) et le cadre administratif de la paroisse : relations avec l'État, la préfecture, les municipalités...