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Un livre en écoute RCF - page 22

présentée par St Léger production, Maroussia De la Croix

Un livre en écoute est une émission qui propose la lecture d'un livre

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Episodes

  • © RCF Anjou
    6 novembre 2020

    Après l'IVG des femmes témoignent, Marie Philippe, éditions Artèges (P 87 à fin

    25 min
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    suite de "quand la grossesse non désirée devient désirable " Chapitre V : études médicales sur les conséquences psychologiques de l'IVG. Suicide et IVG.
    Droits image: © RCF Anjou
  • Couverture du livre
    6 décembre 2023

    Le Noël de Saint François, Bertrand Lesoing (P028 à 049)

    20 min
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    Nous sommes à Greccio, en Italie, en l’an de grâce 1223. C’est la veille de Noël ; l’année qui vient de s’écouler a été bien éprouvante pour François et ceux qui l’entourent. Alors, le Poverello décide de rallumer dans les coeurs la lumière de la paix et de la fraternité. Un boeuf, un âne, un peu de paille et des torches lui suffisent pour faire revivre l’esprit de Bethléem. Alors que la messe de la nuit est sur le point de commencer, François se souvient des visages et des rencontres qui ont marqué son histoire et fait de lui ce qu’il est devenu. De son père, riche marchand assisiate, jusqu’au sultan d’Égypte, sans négliger les oubliés, les pauvres, les lépreux qu’il a croisés.
    L’histoire de la première crèche de Noël, racontée comme si vous y étiez. Un récit mi-réel, mi-rêvé, qui tisse un portrait vivant et vibrant du Pauvre d’Assise.
    Écrit d’une plume magnifique, un livre pour tous.
    Prêtre de la Communauté Saint-Martin, Bertrand Lesoing est responsable des études à la maison de formation d’Évron.
  • Couverture du livre
    5 décembre 2023

    Le Noël de Saint François, Bertrand Lesoing (P011 à 028)

    19 min
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    Nous sommes à Greccio, en Italie, en l’an de grâce 1223. C’est la veille de Noël ; l’année qui vient de s’écouler a été bien éprouvante pour François et ceux qui l’entourent. Alors, le Poverello décide de rallumer dans les coeurs la lumière de la paix et de la fraternité. Un boeuf, un âne, un peu de paille et des torches lui suffisent pour faire revivre l’esprit de Bethléem. Alors que la messe de la nuit est sur le point de commencer, François se souvient des visages et des rencontres qui ont marqué son histoire et fait de lui ce qu’il est devenu. De son père, riche marchand assisiate, jusqu’au sultan d’Égypte, sans négliger les oubliés, les pauvres, les lépreux qu’il a croisés.
    L’histoire de la première crèche de Noël, racontée comme si vous y étiez. Un récit mi-réel, mi-rêvé, qui tisse un portrait vivant et vibrant du Pauvre d’Assise.
    Écrit d’une plume magnifique, un livre pour tous.
    Prêtre de la Communauté Saint-Martin, Bertrand Lesoing est responsable des études à la maison de formation d’Évron.
  • Couverture du livre
    4 décembre 2023

    Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P100 à fin)

    19 min
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    En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.
  • Couverture du livre
    1 décembre 2023

    Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P087 à 100)

    19 min
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    En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.
  • Couverture du livre
    30 novembre 2023

    Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 065 à 087)

    20 min
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    En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.
  • Couverture du livre
    29 novembre 2023

    Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 050 à 065)

    20 min
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    En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.
  • Couverture du livre
    28 novembre 2023

    Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 037 à 050)

    20 min
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    En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.
  • Couverture du livre
    27 novembre 2023

    Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 022 à 036)

    20 min
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    En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.
  • Couverture du livre
    24 novembre 2023

    Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 007 à 022)

    20 min
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    En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.
  • Couverture du livre
    23 novembre 2023

    Pellevoisin Estelle nous parle... (P 101 à fin)

    20 min
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    Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
    Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
    Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…
  • Couverture du livre
    22 novembre 2023

    Pellevoisin Estelle nous parle... (P 084 à 100)

    20 min
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    Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
    Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
    Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…
  • Couverture du livre
    21 novembre 2023

    Pellevoisin Estelle nous parle... (P 063 à 083)

    20 min
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    Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
    Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
    Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…
  • Couverture du livre
    20 novembre 2023

    Pellevoisin Estelle nous parle... (P 047 à 063)

    20 min
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    Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
    Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
    Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…
  • Couverture du livre
    17 novembre 2023

    Pellevoisin Estelle nous parle... (P 031 à 047)

    20 min
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    Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
    Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
    Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…
  • Couverture du livre
    16 novembre 2023

    Pellevoisin Estelle nous parle... (P 017 à 031)

    20 min
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    Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
    Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
    Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…
  • Couverture du livre
    15 novembre 2023

    Pellevoisin Estelle nous parle... (P 003 à 016)

    20 min
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    Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
    Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
    Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…
  • © RCF Anjou
    6 août 2023

    Même les bourreaux ont une âme de Maïti Girtanner

    29 min
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  • © RCF Anjou
    16 juillet 2023

    Même les bourreaux ont une âme de Maïti Girtanner (pages 5 à 25)

    29 min
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  • © RCF Anjou
    8 juillet 2023

    Veilleurs, où en est la nuit ? (suite et fin)

    30 min
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    Les chrétiens sont-ils le dernier espoir d'un monde qui a perdi toute espérance ?
    Oui, espérer est leur profession de foi depuis deux mille ans.
    Non, eux même sont désespérés en ce début du troisième millénaire.
    et siespérer, c'éatait d'abord renoncer à tous les faux espoirs?
    L'espérance des chrétiens n'a qu'une chose à offrir : la vie éternelle.
    une vie qui ne commence pas après la mort.
    Une vie qui débute maintenant.
    Une autre manière de vivre, de vivre sa mort, de mourir sa vie.
    Jamais, sans doute, renaître n'a été aussi simple, clair, aisé qu'avec ce livre.
  • © RCF Anjou
    1 juillet 2023

    Veilleurs, où en est la nuit ?

    29 min
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    Les chrétiens sont-ils le dernier espoir d'un monde qui a perdi toute espérance ?
    Oui, espérer est leur profession de foi depuis deux mille ans.
    Non, eux même sont désespérés en ce début du troisième millénaire.
    et siespérer, c'éatait d'abord renoncer à tous les faux espoirs?
    L'espérance des chrétiens n'a qu'une chose à offrir : la vie éternelle.
    une vie qui ne commence pas après la mort.
    Une vie qui débute maintenant.
    Une autre manière de vivre, de vivre sa mort, de mourir sa vie.
    Jamais, sans doute, renaître n'a été aussi simple, clair, aisé qu'avec ce livre.

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