
Un livre en écoute RCF - page 22
présentée par St Léger production, Maroussia De la Croix
Un livre en écoute est une émission qui propose la lecture d'un livre
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30 novembre 2023Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 065 à 087)
En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.Droits image: Couverture du livre
29 novembre 2023Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 050 à 065)
En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.Droits image: Couverture du livre
28 novembre 2023Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 037 à 050)
En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.Droits image: Couverture du livre
27 novembre 2023Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 022 à 036)
En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.Droits image: Couverture du livre
24 novembre 2023Prier 15 jours avec l'abbé Noël Pinot, martyr de la révolution (P 007 à 022)
En 1747, naquit à Angers Noël Pinot. Tout au long de sa vie, il eut à coeur de servir les plus pauvres et d'annoncer l'évangile quoi qu'il en coûte. Successivement vicaire de Bousse, Coutures, Corzé, aumônier de l'Hôpital des Incurables d'Angers puis curé du Louroux-Béconnais, le zèle pour les âmes ne manquait pas à ce prêtre. En 1789 survinrent les événements de la Révolution française avec leur lot de cruauté. L'État voulait « mettre la main à l'encensoir » et obliger le clergé à prêter serment à la constitution civile du clergé, ce que refusa l'abbé Pinot.Droits image: Couverture du livre
23 novembre 2023Pellevoisin Estelle nous parle... (P 101 à fin)
Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…Droits image: Couverture du livre
22 novembre 2023Pellevoisin Estelle nous parle... (P 084 à 100)
Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…Droits image: Couverture du livre
21 novembre 2023Pellevoisin Estelle nous parle... (P 063 à 083)
Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…Droits image: Couverture du livre
20 novembre 2023Pellevoisin Estelle nous parle... (P 047 à 063)
Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…Droits image: Couverture du livre
17 novembre 2023Pellevoisin Estelle nous parle... (P 031 à 047)
Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…Droits image: Couverture du livre
16 novembre 2023Pellevoisin Estelle nous parle... (P 017 à 031)
Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…Droits image: Couverture du livre
15 novembre 2023Pellevoisin Estelle nous parle... (P 003 à 016)
Au début de l’année 1876, au village de Pellevoisin, dans l’Indre, Estelle Faguette se mourait, à trente-deux ans, d’une phtisie pulmonaire, d’une péritonite aiguë et d’une tumeur abdominale.
Le 10 février 1876, l’un des médecins consultés, le Docteur Benard de Buzançais ne luis donnait que quelques heures de vie. Dans la nuit du 14 au 15 février, elle est l’objet, affirme-t-elle, d’une apparition de la Sainte Vierge qui devait être suivie de quatorz autres dans l’année. Le lendemain, la Sainte Vierge, affirme-t-elle encore, lui déclare qu’elle sera guérie le samedi suivant. Estelle l’annonce dans son entourage et vingt personnes en témoigneront quelques mois plus tard sur leur honneur devant une commission canonique. Le 19 février 1876 au matin, en effet, quand le curé de Pellevoisin, l’abbé Salmon, lui apporte la Sainte Communion, Estelle se déclare guérie.
Elle se lève et mange avec appétit. Quelques jours, plus tard, le docteur Hubert, médecin à Buzançais, qui l’avait suivie dans sa maladie et qui avait affirmé que “pour guérir elle avait besoin d’une poitrine neuve“, déclare que le mal n’a pas laissé de trace et écrit à Madame de la Rochefoucauld, chez qui travaille Estelle, que “cette guérison était en dehors des lois de la nature”.…Droits image: Couverture du livre
8 juillet 2023Veilleurs, où en est la nuit ? (suite et fin)
Les chrétiens sont-ils le dernier espoir d'un monde qui a perdi toute espérance ?
Oui, espérer est leur profession de foi depuis deux mille ans.
Non, eux même sont désespérés en ce début du troisième millénaire.
et siespérer, c'éatait d'abord renoncer à tous les faux espoirs?
L'espérance des chrétiens n'a qu'une chose à offrir : la vie éternelle.
une vie qui ne commence pas après la mort.
Une vie qui débute maintenant.
Une autre manière de vivre, de vivre sa mort, de mourir sa vie.
Jamais, sans doute, renaître n'a été aussi simple, clair, aisé qu'avec ce livre.Droits image: © RCF Anjou
1 juillet 2023Veilleurs, où en est la nuit ?
Les chrétiens sont-ils le dernier espoir d'un monde qui a perdi toute espérance ?
Oui, espérer est leur profession de foi depuis deux mille ans.
Non, eux même sont désespérés en ce début du troisième millénaire.
et siespérer, c'éatait d'abord renoncer à tous les faux espoirs?
L'espérance des chrétiens n'a qu'une chose à offrir : la vie éternelle.
une vie qui ne commence pas après la mort.
Une vie qui débute maintenant.
Une autre manière de vivre, de vivre sa mort, de mourir sa vie.
Jamais, sans doute, renaître n'a été aussi simple, clair, aisé qu'avec ce livre.Droits image: © RCF Anjou
24 juin 2023Veilleurs, où en est la nuit ? (pages 9 à 37)
Les chrétiens sont-ils le dernier espoir d'un monde qui a perdi toute espérance ?
Oui, espérer est leur profession de foi depuis deux mille ans.
Non, eux même sont désespérés en ce début du troisième millénaire.
et siespérer, c'éatait d'abord renoncer à tous les faux espoirs?
L'espérance des chrétiens n'a qu'une chose à offrir : la vie éternelle.
une vie qui ne commence pas après la mort.
Une vie qui débute maintenant.
Une autre manière de vivre, de vivre sa mort, de mourir sa vie.
Jamais, sans doute, renaître n'a été aussi simple, clair, aisé qu'avec ce livre.Droits image: © RCF Anjou
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