
Le dicton de Marie-Thé
présentée par Marie-Thérèse Fisher
Petits mots, adages et proverbes alsaciens, traduits et éclairés par l'historienne du territoire, Marie-Thérèse Fischer.
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21 janvier 2020Un petit air de prédication (vraiment ?)
Souvent, des personnes qui se plaignent qu’on ne leur témoigne pas d’affection ne se mettent pas en peine d’en manifester elles mêmes à leurs semblables.Droits image: DR
14 janvier 2020Faut-il faire comme tout le monde ?
Ceux qui craignent de se faire remarquer, critiquer, ou de s’exposer à des représailles s’ils ne s’alignent pas sur ce qui est en vogue, choisissent le premier dicton. Mais ceux qui veulent garder leur libre arbitre et vivre à leur façon leur répondent par leur second.Droits image: Marie Thérèse Fischer
7 janvier 2020Petits conseils à ...
Avant d’entamer un projet ou de prendre un engagement, il faut considérer ce qu’impliquera cette décision par la suite. Et, une fois qu’on a commencé, il faut persévérer.Droits image: DR
26 novembre 2019À ceux qui se sentent visés
L’équivalent du français « Qui se sent morveux, qu’il se mouche ». On le dit quand on a prononcé des paroles sans nommer personne, mais que quelqu’un s’est senti visé (avec raison) et semble réagir. Si le chien aboie quand on a jeté une pierre, c’est que le projectile l’a atteint. De même celui qui proteste violemment contre une critique ou une accusation qui, certes, le concerne, mais qu’on ne lui a pas expressément adressée.Droits image: Marie Thérèse Fischer
1 octobre 2019A propos de saint Léger
On se console comme on peut de la chute des feuilles ! Une pensée pour la ville où se dresse une superbe église Saint-Léger : Guebwiller. L’humour alsacien a affecté de voir, dans la première syllabe de son nom, le verbe « geben » (donner). Dire que quelqu’un « n’est pas de Guebwiller », c’est suggérer qu’il ne fait pas de cadeaux, qu’il ne donne rien à personne.Droits image: Marie Thérèse Fischer
24 septembre 2019Fini, l’été !
L’équinoxe est passée, et la Saint-Michel (29/09) marque le temps où on sent que les jours raccourcissent. A l’arrivée d’une saison moins clémente, il faut être fataliste. On n’a pas le choix, puisque la météo ne dépend pas de nous (heureusement, peut-être !).Droits image: Marie Thérèse Fischer
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