Semaine Sainte depuis le sanctuaire de St Laurent sur Sèvre - page 2

Saint-Laurent-sur-Sèvre, ce sanctuaire où nous nous trouvons durant trois jours pour ce début de semaine sainte, n’est pas un sanctuaire comme les autres… Ici, pas d'apparition mariale ni divine. Pas d’accueil de pèlerins comme à Lourdes. Pas de portail à franchir, non plus, pour y entrer.

Et pourtant, avec toutes ces singularités, Saint-Laurent-sur-Sèvre accueille chaque année des personnes venues de toute la France mais aussi du monde entier. Alors, comment expliquer ce rayonnement et cette notoriété ? Pour le comprendre, nous vous proposons une première table ronde.

Avec nous :
Le Père Ronel, recteur du sanctuaire de Saint-Laurent sur Sèvre
Soeur Dorothée, Institut Séculier des militantes de la Sainte Vierge
ainsi que François Garnier, directeur des pèlerinages pour le diocèse de Luçon, en Vendée

Découverte d’un lieu unique au sein de l‘abbaye de Solesmes : l’atelier de paléographie musicale. Dans cette pièce sont conservés plus de 600 fac-similés de manuscrits, médiévaux et plus récents, de chant grégorien et dont certains orignaux sont aujourd’hui disparus. Le chant grégorien est le chant propre de la liturgie de l’Eglise catholique romaine. Restaurateur de l‘abbaye de Solesmes au 19ème siècle, Dom Guéranger eut le souhait de restaurer également le chant grégorien, tombé en désuétude depuis la fin du Moyen-âge. Des moines de Solesmes furent donc envoyés dans toutes les bibliothèques d’Europe pour y retrouver ce que le concile Vatican II appelle aujourd’hui « le trésor de l’Eglise ». Mais ce répertoire liturgique extraordinairement riche qu’ils découvrent a eu besoin d’une réforme, effectuée par Dom Guéranger, toujours dans le but de servir la beauté du culte divin.

C’est le Fère Paul-Alain qui nous entraine au milieu de la grande nef, sur le mur de droite où est apposé une grande plaque de marbre où y sont inscrit les remerciements du pape Pie 9 à Don Guéranger pour son apport à la papauté, notamment sur la question de la liturgie, puisque c’est grâce à lui que le rit romain sera imposé dans toutes les églises de France. Il faut rappeler que le les idéologies gallicanes et jansénistes progressait en France. Mais c’est surtout sur la question des dogmes de l’immaculée conception et de l’infaibillité pontificale que Dom Guéranger à beaucoup fait nous fait remarquer le frère Paul-Alain…

Découverte d’un lieu unique au sein de l‘abbaye de Solesmes : l’atelier de paléographie musicale. Dans cette pièce sont conservés plus de 600 fac-similés de manuscrits, médiévaux et plus récents, de chant grégorien et dont certains orignaux sont aujourd’hui disparus. Le chant grégorien est le chant propre de la liturgie de l’Eglise catholique romaine. Restaurateur de l‘abbaye de Solesmes au 19ème siècle, Dom Guéranger eut le souhait de restaurer également le chant grégorien, tombé en désuétude depuis la fin du Moyen-Age. Des moines de Solesmes furent donc envoyés dans toutes les bibliothèques d’Europe pour y retrouver ce que le concile Vatican II appelle aujourd’hui « le trésor de l’Eglise ». Mais ce répertoire liturgique extraordinairement riche qu’ils découvrent a eu besoin d’une réforme, effectuée par Dom Guéranger, toujours dans le but de servir la beauté du culte divin.

Troisième volet de la découverte de la relique de la Sainte Epine. Une épine de la couronne du Christ précieusement conservée ici dans l’abbaye Saint Pierre de Solesmes avec vous Raphaël de la Croix

Nous poursuivons notre découverte de l’abbaye Saint Pierre de Solesmes avec son église abbatiale qui abrite un chef d’œuvre de la sculpture médiévale, une mise au tombeau du Christ réalisée par un artiste inconnu mais de très grand talent. Raphaël de la Croix nous en a fait hier la présentation générale en compagnie du frère Paul Armand. On continue de découvrir cette sculpture exceptionnelle

Rencontre avec le Père Couillaud et le frère Boissonnet, dernier novice entré à l'abbayse Saint Pierre de Solesmes.

Nous retrouvons tout de suite Raphaël de la Croix pour le second volet de la découverte de cette relique d'exception, une épine de la couronne que le Christ a porté pendant sa passion. Hier nous sommes revenus sur les 800 ans d'histoire de la Sainte épine. Aujourd'hui nous allons la découvrir d'un peu plus près avec vous Raphaël et le frère Paul Armand.

"Ora et labora", c'est-à-dire "prie et travaille !"
Ce sont les deux pilliers de la règle de Saint Benoît. A l'abbaye de Solesmes, les moines bénédictins s'adonnent quotidiennement aux travaux manuels. Derrière les hauts murs du monastère on trouve notamment une menuiserie.
Agnès Millot est allée à la rencontre du Frère Lionel Gras, moine-artisan qui travaille le bois entre les différents temps de prière....