Histoire de l'église en Franche-Comté RCF - page 4

Nous commençons aujourd’hui une série de deux émissions touchant à la franc-maçonnerie. Institution ancienne, bien vivante de nos jours, à Besançon comme ailleurs mais assez mal connue de beaucoup.

Après deux émissions sur les rapports difficiles entre l’Eglise catholique et du protestantisme aux 17ème et 18ème siècle, il paraît tentant d’examiner de plus près le sort mouvementé du Comté de Montbéliard tout proche, de ses rapports avec la Franche-Comté et le royaume de France.

Nous continuons d’évoquer la réforme protestante et l’attitude de l’Eglise catholique. La Franche-Comté a peiné à se protéger de l’avancée du protestantisme sur son territoire.

Nous continuons à évoquer quelques aspects religieux de la ville de Besançon aux 17 et 18ème siècles. La vie de cour à l’archevêché ; les réactions aux progrès du protestantisme.

Nous nous intéressons aujourd’hui à quelques aspects de la vie religieuse à Besançon aux 17 et 18ème siècles. Les élites qui prennent du champ avec l’église, les évolutions des instituts religieux, les problèmes posés par l’annexion par la France.

Cette 4ème et dernière émission sur l’antisémitisme nous donne des raisons d’espérer. Un homme se lève, originaire du Doubs, qui prend une large part dans la défense des Juifs pendant la seconde guerre mondiale. C’est le père Chaillet.

L'abbé Chaillet, une figure de l'antisémitisme (4/4)

Le troisième volet de l’évocation de l’antisémitisme à travers l’Europe nous transporte aux 19ème et 20ème siècles. Où l’on constate que la Franche-Comté n’est pas en reste pour participer à cette haine contre les juifs...

Voici notre second volet de l’évocation des manifestations de l’antijudaïsme qui se mue, à partir du 11ème siècle en véritable antisémitisme.

Nous entreprenons aujourd’hui une série de 4 émissions sur l’antisémitisme, qui remonte au-delà du christianisme qui a traversé les siècles et auquel la Franche-Comté n’a pas échappé. La première nous transporte dans l’Egypte pré-chrétienne, à Rome puis aux quatre coins de l’Europe médiévale.

Cette semaine, nous allons nous arrêter sur l’activité d’un imprimeur
d’ouvrages religieux dans un petit village de la Haute-Saône au 17ème siècle.
Le village est Pin ; devenu Pin-l’Emagny et l’imprimeur Jean Vernier, le
curé du village.

Nous nous transportons aujourd’hui dans la ville de Besançon pour évoquer l’histoire du Saint-Suaire, qui a, à partir du 16ème siècle fait accourir les foules pour vénérer la relique. Vrai ou copie, l’évocation nous le dira.

Après avoir abordé l’an dernier la lèpre au Moyen Àge à Besançon, on
évoque aujourd’hui un autre fléau : La peste avec l’exemple de la ville de
Dole.

Une seconde année d’émissions sur les aspects de l’histoire religieuse de la
Franche Comté reprend aujourd’hui. On commence avec l’évocation des
pèlerinages pénitentiels au Moyen-Age.

On s’arrête aujourd’hui dans une petite ville du Jura : Poligny ; pour y observer la vie religieuse au 14ème siècle. La voir vivre dans la simplicité des jours.

Nous reprenons l’aventure initiée par Anne de Xainctonge à Dole, en ce début du 16ème siècle. Elle a demandé à l’archevêque de Besançon l’autorisation d’y établir « une compagnie de vierges pour vivre communément par ensemble » en se rangeant sous la règle de Saint Ursule.

On s’arrête aujourd’hui sur la figure d’une femme qui est obsédée par l’accès au savoir des jeunes filles pauvres dans la Comté du 16ès : Anne de Xainctonge.

En toute logique, après le développement de la Réforme protestante, voyons comment la Comté, en s’adossant à la Contre-réforme catholique, va réagir.

Penchons-nous aujourd’hui sur l’importance, toute relative, de la Réforme protestante, initiée au 16ème siècle par Luther puis Calvin, dans la Comté.

On aborde aujourd’hui le phénomène de l’Inquisition à laquelle l’Eglise s’est livrée du 13 au 18ème siècle à l’endroit des catholiques qui s’éloignaient du dogme.

Nous continuons d’évoquer le parcours de Colette de Corbie, toujours aussi déterminée, désormais très en cheville avec les ducs de Bourgogne qui lui facilitent bien la tâche de réformatrice de la vie des couvents.