Echos d'éco
Émission présentée par Claudine Vlajcic
Qu’on le regrette ou pas, l’économie a investi tous les domaines de l’activité humaine. En ce sens, sa compréhension est devenue importante pour l’ensemble des citoyens électeurs non spécialistes des sujets sur lesquels ils sont cependant appelés à se prononcer. L’émission, même modestement, veut contribuer à cet enjeu.
Par ailleurs, l’information économique reçue par le grand public est à la fois très riche, souvent technique, en aval des réflexions et centrée sur les réponses plutôt que sur les questions qui se posent.
En contre-pied à ce constat, l’objectif de l’émission est double : pédagogique et, dans une certaine mesure, philosophique.
Sur des sujets qui font l'actualité ou des thèmes moins médiatisés, l'animation de l'émission vise, à son échelle, à dégager certaines des questions de fonds qui se posent, à mettre en exergue les choix éventuels qui président aux réponses économiques, ainsi que les principes structurant et hypothèses de certaines approches. En d'autres termes, elle veut contribuer à rendre plus accessibles aux non spécialistes les bases de sujets parfois complexes.
Partager
Partager
S'abonner
Episodes
Trier
- L'économie est aujourd'hui largement conçue comme indissociable de la science qui lui impose son rythme parfois rapide d'innovation. Isabelle Stengers, diplômée en chimie, figure de premier plan en philosophie des sciences notamment par le biais de sa collaboration avec le prix Nobel de chimie Ilya Prigogine, anciennement professeur à l'ULB et auteur de l'ouvrage Une autre science est possible ! Manifeste pour un ralentissement des sciences (2013) plaide pour une science citoyenne.
Seconde et dernière partie de l'entretien.Droits image: RCF - Deux idées contribuent à façonner l’économie de marché telle qu’on la connaît. Sur la première, selon laquelle les actionnaires sont les propriétaires de l’entreprise dans laquelle ils investissent, l’avocat et chercheur J.-P. Robé s’est exprimé dans l’émission il y a quelques mois. Claudine Vlajcic termine son évocation des travaux d’autres chercheurs qui analysent la seconde idée faisant de la maximisation des intérêts financiers des actionnaires, la finalité principale de l’entreprise. Seconde et dernière partie.Droits image: RCF
- Il y a quelques mois, l’avocat Jean-Philippe Robé répondait à la question : les actionnaires sont-ils les propriétaires des entreprises dans lesquelles ils investissent ? Aujourd’hui et dans la prochaine émission qui aura lieu dans deux semaines, Claudine Vlajcic évoque les travaux d’autres chercheurs qui analysent l’idée selon laquelle la finalité de l’entreprise est de maximiser les intérêts financiers des actionnaires.Droits image: RCF
- En préambule aux élections qui viennent d’avoir lieu, le journaliste et entrepreneur Jean-Yves Huwart a publié en mars 2019 un ouvrage intitulé : Pourquoi la Wallonie ne se redresse pas. Il est à nouveau l’invité de Claudine Vlajcic dans l’émission Echos d’Eco, pour terminer leur échange débuté lors de la précédente émission.Droits image: RCF
- Entrepreneur et journaliste, notamment anciennement au sein des rédactions de l’Echo et de Trends-Tendances, Jean-Yves Huwart est l’auteur de l’ouvrage paru en mars 2019 : « Pourquoi la Wallonie ne se redresse pas ». Par différence avec des analyses morcelées, il tente de fournir une vision plus large de la situation économique wallonne. Première partie de l’entretien.Droits image: RCF
- Depuis quelques temps, les actualités économiques se font l’écho de la flambée du prix des bitcoins sur les marchés financiers. Selon l’économiste français Jérôme Blanc, on comptait en 2017 à travers une cinquantaine de pays, plus de 5000 dispositifs de cryptomonnaies, monnaies locales, et autres monnaies alternatives. Quels objectifs visent ces dispositifs et quels en sont les résultats ? Jérôme Blanc, professeur des universités à Sciences Po Lyon, cofondateur de RAMICS (association internationale de promotion de la recherche sur les innovations monétaires), nous livre son analyse. Seconde partie de l'entretien.Droits image: RCF
- Depuis quelques temps, les actualités économiques se font l’écho de la flambée du prix des bitcoins sur les marchés financiers. Selon l’économiste français Jérôme Blanc, on comptait en 2017 à travers une cinquantaine de pays, plus de 5000 dispositifs de cryptomonnaies, monnaies locales, et autres monnaies alternatives. Quels objectifs visent ces dispositifs et quels en sont les résultats ? Jérôme Blanc, professeur des universités à Sciences Po Lyon, cofondateur de RAMICS (association internationale de promotion de la recherche sur les innovations monétaires), nous livre son analyse. 1ère partie de l’entretien.Droits image: RCF
- L'économie est aujourd'hui largement conçue comme indissociable de la science qui lui impose son rythme parfois rapide d'innovation. Isabelle Stengers, diplômée en chimie, figure de premier plan en philosophie des sciences notamment par le biais de sa collaboration avec le prix Nobel de chimie Ilya Prigogine, anciennement professeur à l'ULB et auteur de l'ouvrage Une autre science est possible ! Manifeste pour un ralentissement des sciences (2013) plaide pour une science citoyenne. Seconde et dernière partie de l'entretien.Droits image: RCF
- L'économie est aujourd'hui largement conçue comme indissociable de la science qui lui impose son rythme parfois rapide d'innovation. Isabelle Stengers, diplômée en chimie, figure de premier plan en philosophie des sciences notamment par le biais de sa collaboration avec le prix Nobel de chimie Ilya Prigogine, anciennement professeur à l'ULB et auteur de l'ouvrage Une autre science est possible ! Manifeste pour un ralentissement des sciences (2013), plaide pour une science citoyenne. Première partie de l'entretien.Droits image: RCF
- Deux idées contribuent à façonner l’économie de marché telle qu’on la connaît. Sur la première, selon laquelle les actionnaires sont les propriétaires de l’entreprise dans laquelle ils investissent, l’avocat et chercheur J.-P. Robé s’est exprimé dans l’émission il y a quelques mois. Claudine Vlajcic termine son évocation des travaux d’autres chercheurs qui analysent la seconde idée faisant de la maximisation des intérêts financiers des actionnaires, la finalité principale de l’entreprise. Seconde et dernière partie.Droits image: RCF
- Il y a quelques mois, l’avocat Jean-Philippe Robé répondait à la question : les actionnaires sont-ils les propriétaires des entreprises dans lesquelles ils investissent ? Aujourd’hui et dans la prochaine émission qui aura lieu dans deux semaines, Claudine Vlajcic évoque les travaux d’autres chercheurs qui analysent l’idée selon laquelle la finalité de l’entreprise est de maximiser les intérêts financiers des actionnaires.Droits image: RCF
- Deux idées façonnent l'économie de marché telle que nous la connaissons. La première selon laquelle les actionnaires sont les propriétaires de l'entreprise dans laquelle ils investissent. La seconde selon laquelle la finalité de l'entreprise est de maximiser la valeur actionnariale. Claudine Vlajcic reçoit Jean-Philippe Robé, avocat et docteur en droit, enseignant à Sciences Po, qui s'inscrit en faux contre les deux idées et en particulier la première. Dernière partie de l'entretien.Droits image: RCF
- Deux idées façonnent l'économie de marché telle que nous la connaissons. La première selon laquelle les actionnaires sont les propriétaires de l'entreprise dans laquelle ils investissent. La seconde selon laquelle la finalité de l'entreprise est de maximiser la valeur actionnariale. Claudine Vlajcic reçoit Jean-Philippe Robé, avocat et docteur en droit, enseignant à Sciences-Po à Paris, qui s'inscrit en faux contre les deux idées et en particulier la première.Droits image: RCF
- La Suède serait en passe de devenir le premier pays au monde à se passer d'argent liquide. Le rapport français Cap22 préconise la même mesure. Jean-Michel Servet, entre autres, professeur honoraire d'économie à l’Institut des Hautes Etudes Internationales et du Développement à Genève, a publié avec Solène Morvant-Roux, professeure d’économie à l’Université de Genève, un article dans le journal français Le Monde (28/9/2018) qui s’intitule : « La fin du cash, un péril pour les libertés individuelles ». Ils demandent la tenue d’un débat démocratique sur la généralisation des transactions financières numériques. Deuxième partie de l'entretien.Droits image: RCF
- La Suède serait en passe de devenir le premier pays au monde à se passer d'argent liquide. Le rapport français Cap22 préconise la même mesure. Jean-Michel Servet, entre autres, professeur honoraire d'économie à l’Institut des Hautes Etudes Internationales et du Développement à Genève, a publié avec Solène Morvant-Roux, professeure d’économie à l’Université de Genève, un article dans le journal français Le Monde (28/9/2018) qui s’intitule : « La fin du cash, un péril pour les libertés individuelles ». Ils demandent la tenue d’un débat démocratique sur la généralisation des transactions financières numériques. Première partie de l'entretien.Droits image: RCF
- L'économie est aujourd'hui largement conçue comme indissociable de la science qui lui impose son rythme parfois rapide d'innovation. Isabelle Stengers, diplômée en chimie, figure de premier plan en philosophie des sciences notamment par le biais de sa collaboration avec le prix Nobel de chimie Ilya Prigogine, anciennement professeur à l'ULB et auteur de l'ouvrage Une autre science est possible ! Manifeste pour un ralentissement des sciences (2013) plaide pour une science citoyenne. Seconde et dernière partie de l'entretien.Droits image: RCF
- L'économie est aujourd'hui largement conçue comme indissociable de la science qui lui impose son rythme parfois rapide d'innovation. Isabelle Stengers, diplômée en chimie, figure de premier plan en philosophie des sciences notamment par le biais de sa collaboration avec le prix Nobel de chimie Ilya Prigogine, anciennement professeur à l'ULB et auteur de l'ouvrage Une autre science est possible ! Manifeste pour un ralentissement des sciences (2013), plaide pour une science citoyenne. Première partie de l'entretien.Droits image: RCF
RCF vit grâce à vos dons
RCF est une radio associative et professionnelle.
Pour préserver la qualité de ses programmes et son indépendance, RCF compte sur la mobilisation de tous ses auditeurs. Vous aussi participez à son financement !
