Un jour comtois RCF - page 6

Le « café de Bletterans » apparaissant dans une transaction portant sur quatre mesures, à Besançon, le 19 février 1765… Voilà un commerce bien mystérieux et peut-être suspect… Il était bien normal que le Jour Comtois mène l’enquête.

Le Jour Comtois nous raconte aujourd’hui la fin tragique du soldat Lucien Bersot le plus célèbre fusillé pour l’exemple de la Guerre de 14-18 parmi 740 qui connaitront le même sort.

Ce franc-comtois fut fusillé pour un pantalon et restera comme le symbole d’une totale injustice dans une guerre qui en connu tant d’autres…

Le Vin jaune est un trésor reconnu de notre Comté. Chaque année la Percée du Vin Jaune est un événement incontournable. Le 5 février 2011 une bouteille de 1774 s’est vendue 57 000€ à la Percée d’Arbois. C’est ce que raconte notre jour comtois ce 5 février…

Le 29 janvier 1635, Louis XIII signe les lettres patentes qui officialisent la naissance de l’Académie Française.
Dans les fauteuils réservés à ceux qu’on appelle les Immortels se sont succédés 738 illustres représentants de nos belles lettres. Forcément il y avait des comtois… On vous en dit plus aujourd’hui !

Belmont dans le Doubs est un tout petit village. Aujourd’hui on y recense 67 habitants. C’est bien peu, mais c’est là, tout près de Valdahon qu’est né un de nos grands écrivains et poètes comtois : Louis Pergaud le 22 janvier 1882.

C’est notre jour comtois raconté par Gérard Bouvier

Le 15 janvier 1916, il est 18 heures et la nuit est tombée sur Besançon. Un marchand de charbon croit gagner du temps en franchissant la voie du funiculaire de Bregille mais son cheval dérape et il s’affale sur les rails.
C’est ce bien triste accident que nous raconte le jour comtois aujourd’hui...

En ce début d’année 1674, Louis XIV décide d’envahir la Comté. On a déjà connu pareille idée en 1668.
Mais cette fois l’affaire s’annonce plus mal encore et le 8 janvier c’est le massacre d’Arcey qui va inaugurer une guerre longue et meurtrière et finalement la conquête par les français entérinée au traité de Nimègue dix ans plus tard.

Effervescence à Dole ce 18 décembre 1608. C’est que le Parlement de la Province vient de prendre une grande décision qui va peser sur l’histoire religieuse de la ville.
On parle d’une hostie miraculeuse…

Au milieu du XIXème siècle le train a été l’objet de douloureuses controverses à Besançon. Bien des projets avortés pour des motifs divers.

Mais le 11 décembre 2011 Besançon est en fête, car ce jour-là c’est, enfin, l’ouverture officielle de la branche Est de la ligne ferroviaire à grande vitesse ! Un peu servis les derniers, mais heureux quand même !

Le 4 décembre 1851, Paris est en effervescence. C’est le coup d’État de Louis Napoléon Bonaparte. En effervescence ? À vrai dire, pas tant que ça ! C’est surtout dans les départements ruraux que l’émoi et la colère grondent et particulièrement dans le Jura…

C’est une lettre de Louis Pasteur du 27 novembre 1885 au petit Joseph Meister, âgé de 9 ans qui est au cœur de notre Jour Comtois de ce jour. Une lettre chargée d’émotion, d’espoir et quelques mises au point revanchardes aussi… Et c’est aussi le début d’une belle histoire qui va bouleverser la médecine !

Le 13 novembre 1944 se rencontrent au château Montalembert à Maîche, dans le froid et la neige, deux des hommes politiques les plus marquants de notre époque -des alliés qui ont souvent été hostiles- pour un moment de haute diplomatie. Le Général de Gaulle reçoit ce jour-là Sir Winston Churchill et quelques autres…

Aujourd’hui 6 novembre, le jour comtois remonte le temps jusqu’au 6 novembre 1920 à Saint-Claude. Ça n’est pas si vieux et pourtant les nouvelles de L’Écho de la Montagne, le quotidien local, à 15 centimes le numéro, nous paraissent bien lointaines…

Le jour comtois de ce 30 octobre nous ramène plus de 1150 ans en arrière ! Un sacré voyage puisque nous voilà au temps des carolingiens ! Mais que s’est-il donc passé le 30 octobre 870 quand la Comté n’était pas même encore la Comté ?

Il se définissait comme un saltimbanque… Il était un artiste, un touche à tout qui nous a souvent fait rire mais souvent réfléchir aussi sur le dérisoire de bien des moments de la vie… C’est Jean Amadou né à Lons-le-Saunier sur lequel se penche le Jour Comtois aujourd’hui…

Sa vie rocambolesque défraya la chronique, c’est Caspar Hauser, fils (ou pas ?) de Stéphanie de Beauharnais. Quel rapport avec la Comté ? C’est que Stéphanie de Beauharnais est la fille d’Adrienne de Lezay-Marnézia, une grande famille de la petite montagne jurassienne…

L’Humour franchouillard doit beaucoup à Coluche, à Pierre Dac, à Francis Blanche… Mais on n’oublie pas non plus l’Almanach Vermot dont les calembours font partie de notre histoire qu’on le regrette ou qu’on s’en réjouisse…

Un surdoué né à Vesoul ! C’est Alexis-Thérèse Petit qui fut un de nos grands savants physiciens. Il fit avancer nos connaissances dans l’étude de la chaleur et de ses effets sur les liquides, les solides et les gaz. C’est notre Jour Comtois aujourd’hui !

Les loups, les ours, les renards sont toujours très présents dans l’imaginaire collectif. Plus encore en Comté où le loup -aujourd’hui encore- nous visite parfois. Mais il y a quelques siècles c’était un fléau. Le Jour Comtois revient sur cette époque…

Avant l’invention du fusil, point de fusillés. Mais il fallait bien faire justice… Alors ceux qui l’avaient mérité - ou pas ! - étaient « arquebusés ». C’est l’histoire d’un arquebusé de 1629 que nous raconte aujourd’hui le Jour Comtois.