A table, Excellence ! (Bourgogne)

Revenons dans l'enfance de Pierre Bodineau avec son goût immodéré pour la réglisse ou la guimauve. Ce fut pour lui une douceur d'enfance qui le suit ddepuis toujours.

Aujourd'hui, Perre Bodineau évoque le cinquantenaire de l'INRA, à Dijon, en 1996 et le déjeuner qui l'accompagne. Et quelques mois + tard, une première pierre est posé. Evidemment, voici une nouvelle occasion de festoyer...

Le chancelier Kohl et Jacques Chirac investissent Dijon en cette année 1996 pour un sommet franco-allemand. Et ce fut bien sur là, un jour faste pour la ville avec un banquet dans les jardins de la prefecture mais aussi un déjeuner trés féminin au prestigieux Hotel de la Cloche.

L'accord mets-vins, un mariage qui paraît incontournable aujourd'hui et qui n'allait pourtant pas de soi. Et c'est d'ailleurs l'écrivain Henri Vincenot qui en parle magnifiquement.

Le Clos de Vougeot, endroit incontournable et prestigieux de la Bourgogne viticole, possède de forts belles cuisines. Inauguré en 1953, ces dernières choisissent comme parrain, l'un des cuisiniers les talentueux du XXè siècle.

Comment se nourrir autrement et avec d'autres aliments ? Parle-t-on, là, de nouvelles cuisines ? Pas vraiment, selon Pierre Bodineau et pourtant, dans cette cuisine trés tendance, l'intitulé du plat a toute son importance.

Evènement incontournable que cette vente des vins à Beaune. En 1986, 2 personnalités princières honorent la cité de leur présence. ET ce fut évidemment là un banquet digne des Hasbourg pour la 126ème édition de cet évènement.

Reparlons du Général... De Gaulle, au début des années 60, nomme un certain Edgar Pisani comme ministre de l'Agriculture. Et en 1963, le nouveau ministre inaugure une étonnante maison du poulet de Bresse...

Mars, mois des gourmets ! Aujourd'hui, Pierre Bodineau évoque son enfance, à travers certaines spécialités, des fantaisies qui pèsent peu sur le porte-monnaie mais beaucoup sur l'estomac...

La + belle cocotte de France est bourguignonne ! En 2003, La Société d'Emboutissage de Bourgogne célébrait le 50ème anniversaire de ce bel instrument. Et c'est d'une aventure hors-norme, celle de SEB dont nous parle aujourd'hui Pierre Bodineau.

Encore une fois, l'on honore la République à Dijon. En 1948, le premier président de la IVème République, Vincent Auriol, passe les troupes en revue avant un dîner, évidemment à sa mesure, dans la salle des Etats du Palais des Ducs.

Au Clos de Vougeot, en 1963, l'on fête une union pouvant paraître contre-natue. Et pourtant, lorsque a Biourgogne s'allie au Portugal, mais aussi à la République Tchèque, cela donne un bouquet d'étincelantes saveurs.

Nous sommes là en 1385 et Marguerite de Flandres, même si attachée à sa Flandre natale, laisse sa trace en Bourgogne en épousant le désargenté duc du même nom. Auujourd'hui, Pierre Bodineau nous ramène dans le chateau de la duchesse, à Rouvres-en-Plaine.

Nous sommes à Dijon en 1962. Et ce mois de juin, sous l'égide du chanoine Kir, la cité des Duc honore un illustre prince impérial et pas moins de 2 altesses impériales étrangères. Et, évidemment, ce fut là l'occason d'un banquet, toujours fort simple comme nous le décrit Pierre Bodineau.

Mais il n'y a pas que de grands cuisiniers, il y a aussi les traiteurs dont la France s'honore ! Et pour beaucoup, un nom surgit alors. Pierre Bodineau nous conte le tour de force de cette grande maison, lors de l'exposition universelle de 1900.

Il y des entrepreneurs aux idées génialements simples, à l'image, dans la France des fifities, d'un tout nouveau fromage, ovale et que l'on ne peut dévorer que par caprice...

Lorsqu'une ville a comme maire, un tel prélat que le chanoine Kir, il faut bien évidemment l'honorer... et c'est ce que la ville de Dijon fait en 1968, à l'invitant à déjeuner lors de sa remise de la Légion d'Honneur.