Louis et Zélie

Découverte en deux volets d’un haut lieu du Sanctuaire d’Alençon, le pavillon en forme de tour et son jardin que saint Louis Martin avait acquis avant son mariage et que la famille Martin garda assez longtemps, Louis installé à Lisieux, y revenant retrouver ses amis. Le recteur, le Père Thierry Hénault-Morel nous entraine dans une découverte des lieux où prière, méditation, loisirs, lectures et petits travaux horticoles ont pu faire la joie des différents membres de la famille. Aujourd’hui, les pèlerins du monde entier viennent y goûter quelques mesures de simplicité, de sérénité et de contemplation, à l’image du père de Thérèse et de Léonie.

Découverte en deux volets d’un haut lieu du Sanctuaire d’Alençon, le pavillon en forme de tour et son jardin que saint Louis Martin avait acquis avant son mariage et que la famille Martin garda assez longtemps, Louis installé à Lisieux y revenant retrouver ses amis. Le recteur, le Père Thierry Hénault-Morel nous entraine dans une découverte des lieux où prière, méditation, loisirs, lectures et petits travaux horticoles ont pu faire la joie des différents membres de la famille. Aujourd’hui, les pèlerins du monde entier viennent y goûter quelques mesures de simplicité, de sérénité et de contemplation, à l’image du père de Thérèse et de Léonie.

Dernier épisode d’une série autour de l’église Notre Dame d’Alençon, aujourd’hui basilique, qui fut quelques années l’église paroissiale de la famille Martin. Le P. Thierry Hénault-Morel, recteur du sanctuaire, nous évoque entre autre le baptême de Thérèse et nous décrit la chapelle baptismale, devenue aujourd’hui chapelle Sainte Thérèse.

Les responsables du Sanctuaire d’Alençon évoquent l’actualité estivale. Un été 2024 qui confirme la belle reprise de l’année précédente.


Quasiment autant de pèlerins visiteurs ont pu péleriner au cœur de la Maison de la Famille Martin que l’an passé. Des sessions et des retraites ont été particulièrement réussies comme la fête patronale du 12 et 13 juillet, les vacances du mois d’août pour les mamans solos et leurs enfants. Des missions ont eu lieu également avec les reliques du saint couple d’Alençon notamment à la Cotellerie (Mayenne) auprès des familles accueillies par les Petits frères de Marie.

Deuxième épisode d’une série autour de l’église Notre Dame d’Alençon, aujourd’hui basilique, qui fut quelques années l’église paroissiale de la famille Martin. Le P. Thierry Hénault-Morel, recteur du sanctuaire, nous explique et nous décrit le très beau vitrail renaissance du « mariage » d’Adam et Eve, ainsi que la partie haute du porche de l’entrée, figurant la transfiguration de notre Seigneur.

Premier épisode d’une série autour de l’église Notre Dame d’Alençon, aujourd’hui basilique, qui fut quelques années l’église paroissiale de la famille Martin et le lieu de leur mariage. En compagnie du P. Thierry Hénault-Morel, recteur de ce sanctuaire, nous découvrons les lieux reliés à l’histoire de la famille Martin au sein de ce bel édifice : chapelle dite du mariage, nef, entrée et parvis.

Les actualités d‘été du Sanctuaire d’Alençon sont évoquées dans cette émission, notamment la Saints Louis et Zélie Martin (12 et 13 juillet), fête patronale au mois de juillet, ainsi que les Vacances pour les Mamans solos avec leurs enfants.

De tendance monarchiste, la conscience politique a été réelle chez Louis Martin. A défaut d’un engagement fort, il aimait néanmoins débattre politique avec son ami Vital Romet, lui républicain modéré, les deux s’accordant sur le terrain social au nom de leur foi commune. De manière indirecte, la participation de Louis au cercle catholique ouvrier d’Alençon rejoignait sa vision politique monarchiste soucieuse également de faire se parler deux mondes : la bourgeoisie et le monde ouvrier.

Dans l’esprit de la Conférence Saint Vincent de Paul, comment Louis et Zélie Martin vont-ils vivre cette charité sociale et réciproque au cœur de leurs vies ? Deux exemples concrets, celui du « pauvre de l’hôtel de France », et celui de la petite Armandine, enfant maltraitée, révèlent la charité profonde et le grand cœur du saint couple d’Alençon.

Avec le diacre Guy Fournier, adjoint au recteur du Sanctuaire d’Alençon, retour sur dix jours de missions dans le pays de Lyon. Du 12 au 21 avril dernier, les reliques des saints époux Martin sont venues à la rencontre de réalités ecclésiales assez différentes, mais ont permis aux cœurs et aux âmes d’être profondément touchés, et ainsi aux personnes de renouveler leur relation au Christ dans leur vie quotidienne.

Coup de projecteur dans cette émission sur la Conférence Saint Vincent de Paul d’Alençon, fondée en 1847 et à laquelle saint Louis Martin va participer. Ainsi naît chez des catholiques et se développe une conscience sociale, et même fraternelle, envers les plus nécessiteux de leur ville :


familles, jeunes soldats, jeunes mariés. On y voit également une œuvre puissante : la fondation d’une messe quotidienne qui doit permettre à toutes les classes sociales de venir prier ensemble, l’œuvre de la Sainte famille.

Venu en pèlerinage au Sanctuaire des saints Louis et Zélie Martin, Joseph Vallançon, journaliste et directeur du site magazine-louis.com est l’invité de notre émission. Retour sur son aventure éditoriale récente, née il y a quelques mois, celle d’un magazine en ligne dédié aux hommes d’aujourd’hui pour qui l’époque est difficile. Le site Louis propose ainsi une série d’articles de manière régulière, de la réflexion pour faire avancer les hommes chrétiens : qu’est-ce qui fait qu’on est homme, qu’est ce qui fait la paternité, comment et quoi transmettre, et toutes les autres questions qui animent le cœur masculin.

Coup de projecteur sur des figures chrétiennes alençonnaises marquantes pour Louis et Zélie et qui seront déterminantes dans leur engagement auprès des plus faibles : Félicité Baudouin, Vital et Pauline Romet, des célibataires dévoués qui porteront beaucoup de fruits au cœur de la cité bas-normande. Un engagement chrétien qui s’incarna également dans le cercle Vital Romet, lieu de partage et de réflexion auquel Louis Martin participa.

Cette apprentissage de la fraternité et du sens de l’autre, tant chez les Frères des écoles chrétiennes pour Louis, que chez les sœurs de Picpus (les Sœurs des Sacré-Cœurs et de l'Adoration perpétuelle du Saint Sacrement) pour Zélie vont pousser l’un et l’autre dans l’aspiration à une vocation religieuse orientée vers le service du prochain. Des vocations qui ne pourront aboutir mais qui ouvriront la voie à un laïcat fécond et spirituellement enraciné.

On le sait moins, mais saints Louis et Zélie Martin ont été aussi canonisés comme couple chrétien enraciné dans leur époque. En effet, la sanctification est possible au cœur même de notre rapport au monde : engagement politique et sociaux, relations professionnelles et amicales, exercice de la fraternité et de la charité.

En cela, les époux Martin ont pu s’inscrire dans une certaine lumière par leurs choix de vie, sans renoncer à l’amour de Dieu, ni à leurs valeurs mais en dialoguant avec une société dont les tensions et les changements ont été prégnants. Evocation cette semaine de la formation scolaire et spirituelle de chacun d’entre eux, Louis et Zélie, et du sens de la fraternité et de l’entraide acquis durant ces jeunes années.

Après dix années d’infertilité, Lucianna et Rafael, un couple catholique de Brasilia, est venu rendre grâce auprès de la petite Thérèse pour la naissance de leur fille Marie-Céline. Ils ont découvert à Alençon la grâce des lieux, la figure du saint couple Martin, et un sanctuaire à l’esprit très « famille ». Ils racontent leur histoire et témoignent au micro de RCF. Traduction assurée par Sr Janaïne, supérieure des Carmélites Messagères de l’Esprit Saint d’Alençon.

Quelle fut l’importance de Pâques dans la vie de la famille Martin, Saints Louis et Zélie, leurs filles, et notamment Thérèse ? Comment le mystère pascal de l’offrande et du salut offert va-t-il s’incarner, et se déployer chez eux ? Réponse avec le Père Thierry Hénault-Morel, recteur du Sanctuaire Louis et Zélie d’Alençon.

Pour cette dernière émission, nous prenons du recul sur la manière d’éduquer, tant celle des Martin que celle que nous avons à vivre. L’éducation n’a pas été de tout repos, ni un « long fleuve tranquille » dans la famille Martin. Il est bon de prendre de la hauteur, et de comprendre quelle finalité doit être celle de l’éducation (qui reste un moyen) …. ? Pour quel but ?


Sans doute, faire des hommes et des femmes qui ne nous appartiennent pas et qui vont faire eux-mêmes leur propre chemin. L’éveil à la liberté, et au respect du jeune qui grandit dans ses choix, a été ainsi une donnée importante. Chez les Martin, l’éducation fut un long chemin, un combat, mais balisé par des marqueurs qui reviennent sans cesse : la joie, la foi, l’éducation à la liberté, l’éducation par l’exemple, l’aide pour l’enfant à trouver le juste discernement, la non-démission face à l’exercice de l’autorité, une autorité matinée de confiance.

Dans ce nouveau volet, Guy Fournier évoque la difficulté d’élever et d’éduquer ses enfants quand on est seul, séparé, divorcé, veuf, dans une recomposition de famille. On prend ainsi conscience des conséquences et des défis nouveaux avec le veuvage de Louis, qui se retrouve seul dans sa stature d’éducateur à Lisieux. Exemples. Il y a bien sûr nécessité de chercher des appuis et des relais éducatifs. Louis est-il devenu plus laxiste et plus tranquille avec ses filles, dans une situation monoparentale forcément plus fragile pour lui… ?

Dans cette émission, une question prégnante à l’époque des Martin, comme à la nôtre : comment éduquer face à un monde à la fois attirant, mais aussi dangereux, face à une société qui bouge et qui évolue ? Les valeurs des Martin face aux valeurs du Monde. Comment les Martin ont montré à leurs filles quelles étaient leurs valeurs, les clefs de leur unité de vie pour finalement les « éduquer à la sainteté » ? L’éducation est aussi un reflet du monde, d’une époque…comment Zélie par exemple a opéré, face à ses enfants, une relecture critique des choix éducatifs parentaux.