JavaScript is required
Hayastan @Guillaume HĂ©nault-Morel

Hayastan

Ils ont tous Ă  peu près l’âge de la RĂ©publique d’ArmĂ©nie, 30 ans, mais certains craignent qu’elle ne dure pas aussi longtemps qu’eux.. Comment se projeter surplace avec des pays voisins qui les menacent ? Comment ĂŞtre utile pour son peuple ? Quelle place pour l’espĂ©rance ? Hayastan, traduction d’ArmĂ©nie en langue locale, vous invite Ă  dĂ©couvrir le parcours et les projets de cette jeunesse francophone qui, Ă  plus de 4000 km d’ici, a fait le choix d’une vie en ArmĂ©nie. 

Partager
S'abonner

Episodes

  • Eric Hacopian @Guillaume HĂ©nault-Morel
    21 janvier 2022

    Comprendre la situation en Arménie : entretien avec Eric Hacopian (en anglais)

    43 min

    Analyste politique, Eric Hacopian est aussi, par son parcours, le reflet des Arméniens d’aujourd’hui. Il nait à la fin des années 1960 en Iran, sa famille rejoint ensuite les États-Unis où il sera consultant politique pendant plus de vingt-cinq ans. En 2017, il décide de s’installer en Arménie et devient un contributeur régulier pour Civilnet, un média numérique indépendant. Chaque semaine, il revient sur les actualités marquantes du pays dans le programme Insights with Eric Hacopian. Pour RCF, il analyse l’année que vient de vivre l’Arménie et se projette sur ses principaux défis.

  • Matthieu Sahakian @Guillaume HĂ©nault-Morel
    20 janvier 2022

    « Une connexion dans le bonheur et la douleur »

    52 min

    La cafĂ© armĂ©nien vient d’être servi sur la table de sa cuisine en ce milieu de matinĂ©e. Ce ne sera pas sa seule tasse de la journĂ©e. Matthieu Sahakian a un emploi du temps Ă  rallonge. Il travaille surtout la nuit, pour le dĂ©veloppement d’une entreprise armĂ©nienne de software sur le marchĂ© sud-amĂ©ricain. Le jour, il s’investit pour All For Armenia, une association qu’il a co-crĂ©Ă© pour venir en aide Ă  la population de la rĂ©gion du Syunik, dans le sud-est de l’ArmĂ©nie, oĂą de nombreux rĂ©fugiĂ©s de l’Artsakh sont accueillis. L’annonce, la veille de l’entretien, de nouveaux combats dans cette zone, rappelle que ce conflit n’est pas terminĂ©. 

  • Nelly Poliakov @Guillaume HĂ©nault-Morel
    20 janvier 2022

    « J’ai fait de l’Arménie ma mission de vie »

    48 min

    Son bureau se trouve Ă  deux pas de la place RĂ©publique, en plein centre d’Erevan. Nelly Poliakov s’est installĂ©e en ArmĂ©nie quelques jours avant la crise du Covid. Six mois plus tard, elle vivait la guerre de l’Artsakh depuis la capitale avec ces dizaines de portraits de jeunes soldats disparus dĂ©posĂ©es chaque jour dans les rues par leurs parents. Après ce conflit, elle assure  faire de l’ArmĂ©nie sa « mission de vie » en incitant des volontaires Ă  venir s’investir pour travailler Ă  la reconstruction du pays .

  • Ani Paitjan @Guillaume HĂ©nault-Morel
    20 janvier 2022

    « C’est comme un enfant, tu l’aimes dans son entièreté »

    54 min

    L’histoire d’Ani Paitjan est celle d’une vocation. Depuis son enfance, elle n’a qu’un souhait : devenir journaliste. Ce voeu se mĂŞle par la suite avec un appel de ses origines. NĂ©e Ă  Erevan Ă  la fin des annĂ©es 1980, elle grandit et se forme en Belgique. Quand se prĂ©sente l’opportunitĂ© de travailler pour un mĂ©dia indĂ©pendant en ArmĂ©nie, elle la saisit. Quelques annĂ©es plus tard, elle se retrouve Ă  couvrir surplace la guerre de l’Artsakh. Elle prend aujourd’hui le pouls d’une sociĂ©tĂ© armĂ©nienne fatiguĂ©e et qui s’interroge. Des questionnements qui la traversent elle-mĂŞme. 

  • Paty Tanielyan @Guillaume HĂ©nault-Morel
    20 janvier 2022

    «  Pour la première fois de ma vie, j’avais l’impression d’être au bon endroit »

    36 min

    La guerre de l’Artsakh a crĂ©Ă© en elle une combinaison d’émotions qu’elle n’avait jamais ressentie. Paty Tanielyan Ă©tait pourtant bien intĂ©grĂ©e dans son rythme de vie parisien: photographe de mode mais aussi gĂ©rante d’une boutique de gâteaux avec sa maman dans la capitale. L’appel de l’ArmĂ©nie s’impose Ă  elle et Paty ne le regrettera pas. Depuis un peu plus d’un an, elle partage son talent pour l’image au service d’organisations et d’associations qui s’emploient pour un avenir meilleur. 

Vous avez parcouru 5 Ă©pisodes sur 5

RCF vit grâce à vos dons

RCF est une radio associative et professionnelle.
Pour préserver la qualité de ses programmes et son indépendance, RCF compte sur la mobilisation  de tous ses auditeurs. Vous aussi participez à son financement !

Faire un don
Qui sommes-nous ?

RCF est créée en 1982, à l'initiative de l'archevêque de Lyon, Monseigneur Decourtray, et du Père Emmanuel Payen. Dès l'origine, RCF porte l'ambition de diffuser un message d'espérance et de proposer au plus grand nombre une lecture chrétienne de la société et de l'actualité.

Forte de 600.000 auditeurs chaque jour, RCF compte désormais 64 radios locales et 270 fréquences en France et en Belgique. Ces 64 radios associatives reconnues d'intérêt général vivent essentiellement des dons de leurs auditeurs.

Information, culture, spiritualité, vie quotidienne : RCF propose un programme grand public, généraliste, de proximité.Le réseau RCF compte 300 salariés et 3.000 bénévoles.

RCF
toujours dans
ma poche !
Téléchargez l'app RCF
Google PlayApp Store
logo RCFv2.14.0 (21796db) - ©2024 RCF Radio. Tous droits réservés. Images non libres de droits.