L'invité du 12-13 RCF - page 22

Salon de l'Agriculture : Alex Gauthier est au Salon de l'Agriculture, cette semaine, à la recherche des paysans et des producteurs de chez nous.
Il est au prés de Damien COIGNET, éleveur et producteur de Viande et produits préparés d'Agneau à Saint Bauzille de Montmel, prés du Pic Saint Loup, dans l'Hérault.

L’HISTOIRE DES HOPITAUX MONTPELLIERAINS

Il faut attendre l’an mil pour voir apparaître, dans les pays du Moyen-Orient, les premiers hôpitaux.
Auparavant, les monastères jouaient un rôle essentiel dans la prise en charge des malades. A Montpellier, il y a eu dans un premier temps de multiples petites structures, situées à l’extérieur de la commune clôture, certaines spécialisées : le lazaret pour la prise en charge des pestiférés, l’hôpital Saint Antoine pour l’accueil des malades souffrant du « feu de saint Antoine », maladie sévère liée à une intoxication par l’ergot, parasite des céréales. Une mention particulière pour l’hôpital du Saint Esprit, fondé par Gui de Montpellier, dont il persiste des vestiges archéologiques devant le Corum. Aux XVI°-XVIII° siècles, les hôpitaux viennent au sein de la cité, avec l’Hôtel-Dieu Saint Eloi, plus particulièrement dédié au soin, et l’hôpital général, créée par la volonté de Louis XIV, qui assure une fonction asilaire et reçoit tout ce qui peut troubler la paix civile: mendiants, prostitués, orphelins... Fin XIX°, l’hôpital Saint Eloi, faute de place, est transféré sur son emplacement actuel, avec une architecture adaptée aux nouvelles découvertes des agents infectieux, et en 1939 est construit, contigu à l’hôpital général, les cliniques Saint-Charles, structurées en fonction de l’apparition des spécialités médicales. Les années à venir pourraient voir le regroupement de toutes les structures hospitalières sur le site Arnaud de Villeneuve.

Pour parler de l’histoire de nos hôpitaux Montpellierains, au coté de Michel Voisin, nous retrouvons le Professeur Thierry Lavabre Bertrand, professeur de médecine, vice-doyen de la faculté de médecine, vice-pdt de l’université chargé du Patrimoine, directeur du Jardin des plantes de Montpellier, et historien de la médecine.

L’EPISODE DU JOUR :
Au moyen âge, il y avait des hôpitaux spécialisés et notamment des hôpitaux spécialisés contre la lèpre, qui était considérée comme très contagieuse…

L’HISTOIRE DES HOPITAUX MONTPELLIERAINS

Il faut attendre l’an mil pour voir apparaître, dans les pays du Moyen-Orient, les premiers hôpitaux.
Auparavant, les monastères jouaient un rôle essentiel dans la prise en charge des malades. A Montpellier, il y a eu dans un premier temps de multiples petites structures, situées à l’extérieur de la commune clôture, certaines spécialisées : le lazaret pour la prise en charge des pestiférés, l’hôpital Saint Antoine pour l’accueil des malades souffrant du « feu de saint Antoine », maladie sévère liée à une intoxication par l’ergot, parasite des céréales. Une mention particulière pour l’hôpital du Saint Esprit, fondé par Gui de Montpellier, dont il persiste des vestiges archéologiques devant le Corum. Aux XVI°-XVIII° siècles, les hôpitaux viennent au sein de la cité, avec l’Hôtel-Dieu Saint Eloi, plus particulièrement dédié au soin, et l’hôpital général, créée par la volonté de Louis XIV, qui assure une fonction asilaire et reçoit tout ce qui peut troubler la paix civile: mendiants, prostitués, orphelins... Fin XIX°, l’hôpital Saint Eloi, faute de place, est transféré sur son emplacement actuel, avec une architecture adaptée aux nouvelles découvertes des agents infectieux, et en 1939 est construit, contigu à l’hôpital général, les cliniques Saint-Charles, structurées en fonction de l’apparition des spécialités médicales. Les années à venir pourraient voir le regroupement de toutes les structures hospitalières sur le site Arnaud de Villeneuve.

Pour parler de l’histoire de nos hôpitaux Montpellierains, au coté de Michel Voisin, nous retrouvons le Professeur Thierry Lavabre Bertrand, professeur de médecine, vice-doyen de la faculté de médecine, vice-pdt de l’université chargé du Patrimoine, directeur du Jardin des plantes de Montpellier, et historien de la médecine.

L’EPISODE DU JOUR :
Les premiers hôpitaux Montpelliérains, on les date à partir de l’an 1000 ?...

Nous parlons dans cette série de chroniques avec BERNARD GUIDEZ, auteur du livre sur Sainte Thérèse d’Avila : « Fais de Jésus ton ami » ed. Médiaspaul.

Bernard Guidez est aussi président de RCF Pays Tarnais, ancien agriculteur. Sainte Thérèse D’Avila a été importante dans sa vie, c’est la lecture d’un de ses livres qui a bouleversé sa vie : il s’est soudain senti très proche avec cette sainte espagnole.
Très occupé par son métier et par ses responsabilités professionnelles dans l’agriculture, Bernard Guidez, au départ croyant mais peu pratiquant, est un jour entrainé par son épouse dans une retraite spirituelle dans un Foyer de charité. Là, il découvre l'Evangile et la vie de quelques saints dont Thérèse d'Avila qui le séduit par son enthousiasme et sa proximité avec Jésus.
Son parcours, qu’il va nous raconter le conduira jusqu'à écrire le livre « Fais de Jésus ton ami ».

L’EPISODE DU JOUR :
Bernard Guidez, croyant mais pas très pratiquant… La découverte de Ste Thérèse d’Avila

Nous parlons dans cette série de chroniques avec BERNARD GUIDEZ, auteur du livre sur Sainte Thérèse d’Avila : « Fais de Jésus ton ami » ed. Médiaspaul.

Bernard Guidez est aussi président de RCF Pays Tarnais, ancien agriculteur. Sainte Thérèse D’Avila a été importante dans sa vie, c’est la lecture d’un de ses livres qui a bouleversé sa vie : il s’est soudain senti très proche avec cette sainte espagnole.
Très occupé par son métier et par ses responsabilités professionnelles dans l’agriculture, Bernard Guidez, au départ croyant mais peu pratiquant, est un jour entrainé par son épouse dans une retraite spirituelle dans un Foyer de charité. Là, il découvre l'Evangile et la vie de quelques saints dont Thérèse d'Avila qui le séduit par son enthousiasme et sa proximité avec Jésus.
Son parcours, qu’il va nous raconter le conduira jusqu'à écrire le livre « Fais de Jésus ton ami ».

L’EPISODE DU JOUR :
Bernard Guidez, agriculteur respectueux de la terre.

L’HISTOIRE DES HOPITAUX MONTPELLIERAINS

Il faut attendre l’an mil pour voir apparaître, dans les pays du Moyen-Orient, les premiers hôpitaux.
Auparavant, les monastères jouaient un rôle essentiel dans la prise en charge des malades. A Montpellier, il y a eu dans un premier temps de multiples petites structures, situées à l’extérieur de la commune clôture, certaines spécialisées : le lazaret pour la prise en charge des pestiférés, l’hôpital Saint Antoine pour l’accueil des malades souffrant du « feu de saint Antoine », maladie sévère liée à une intoxication par l’ergot, parasite des céréales. Une mention particulière pour l’hôpital du Saint Esprit, fondé par Gui de Montpellier, dont il persiste des vestiges archéologiques devant le Corum. Aux XVI°-XVIII° siècles, les hôpitaux viennent au sein de la cité, avec l’Hôtel-Dieu Saint Eloi, plus particulièrement dédié au soin, et l’hôpital général, créée par la volonté de Louis XIV, qui assure une fonction asilaire et reçoit tout ce qui peut troubler la paix civile: mendiants, prostitués, orphelins... Fin XIX°, l’hôpital Saint Eloi, faute de place, est transféré sur son emplacement actuel, avec une architecture adaptée aux nouvelles découvertes des agents infectieux, et en 1939 est construit, contigu à l’hôpital général, les cliniques Saint-Charles, structurées en fonction de l’apparition des spécialités médicales. Les années à venir pourraient voir le regroupement de toutes les structures hospitalières sur le site Arnaud de Villeneuve.

Pour parler de l’histoire de nos hôpitaux Montpellierains, au coté de Michel Voisin, nous retrouvons le Professeur Thierry Lavabre Bertrand, professeur de médecine, vice-doyen de la faculté de médecine, vice-pdt de l’université chargé du Patrimoine, directeur du Jardin des plantes de Montpellier, et historien de la médecine.

L’EPISODE DU JOUR :
Quand on regarde la littérature, on entend parler des hôpitaux uniquement à partir de l’an 1000. Qu’est ce qui se passait avant ? Comment était exercée la médecine ?
BOB : La médecine et les ordres religieux

Vitalliance à Montpellier est une société spécialisée dans le domaine du handicap. Elle regroupe des aides à domicile pour les personnes en situation de handicap et pour les parents qui ont des enfants gravement touché par le handicap.

Marianne Moulin, responsable d'une des agences Vitalliance à Montpellier est au micro de Ghislaine Vasseur...

Lorsque l’on regarde la façade de la faculté de médecine de Montpellier, on y remarque deux statues imposantes, de part et d’autre de l’entrée.
A gauche c’est la statue du chirurgien Antoine Gigot de Lapeyronie dont nous avons parlé il y a deux semaines, et à droite, celle du médecin Paul Barthes .
Pour parler de la vie de Paul Barthes, cette semaine,
Le professeur Thierry Lavabre-Bertrand , professeur à la faculté de médecine et historien .
Barthes est né à Montpellier en 1734. Il fait sa médecine à Montpellier puis monte à Paris.
Lorsqu’il revient à Montpellier il devient professeur en 1761
Il enseigne la médecine

L’EPISODE DU JOUR :
On a parlé hier du mouvement Vitaliste.
Barthes était dans le mouvement Vitaliste, un mouvement philosophique selon lequel le vivant n'est pas réductible aux lois physico-chimiques.
Avec les progrès de la médecine, est ce que le vitalisme a disparu ?

Le DAB+, radio numérique terrestre, se déploie dans notre région. Après Toulouse, Montauban, c'est Montpellier et Perpignan qui rejoignent les villes couvertes par ce mode de diffusion. Nous faisons le point avec Antoine Tabard, secrétaire général Arcom Occitanie.

Le DAB+, radio numérique terrestre, se déploie dans notre région. Après Toulouse, Montauban, c'est Montpellier et Perpignan qui rejoignent les villes couvertes par ce mode de diffusion. Nous faisons le point avec Antoine Tabard, secrétaire général Arcom Occitanie.

Lorsque l’on regarde la façade de la faculté de médecine de Montpellier, on y remarque deux statues imposantes, de part et d’autre de l’entrée.
A gauche c’est la statue du chirurgien Antoine Gigot de Lapeyronie dont nous avons parlé il y a deux semaines, et à droite, celle du médecin Paul Barthes .
Pour parler de la vie de Paul Barthes, cette semaine,
Le professeur Thierry Lavabre-Bertrand , professeur à la faculté de médecine et historien .
Barthes est né à Montpellier en 1734. Il fait sa médecine à Montpellier puis monte à Paris.
Lorsqu’il revient à Montpellier il devient professeur en 1761
Il enseigne la médecine

L’EPISODE DU JOUR :
Il fait partie des gens qui développent le mouvement Vitaliste
Qu’est-ce que le Vitalisme ? ...

L’Eco-conception, c’est concevoir des produits pour que tout au long de leur vie, ils soient le plus éco-responsables que possible.
A Toulouse, le Pôle Eco-conception se charge de sensibiliser les chefs d’entreprise à cette démarche, et de les aider à prendre cette orientation.
Marie Cussol, chef de projet au sein du Pôle Eco-conception est l’invitée de Marie Olivares.

Lorsque l’on regarde la façade de la faculté de médecine de Montpellier, on y remarque deux statues imposantes, de part et d’autre de l’entrée.
A gauche c’est la statue du chirurgien Antoine Gigot de Lapeyronie dont nous avons parlé il y a deux semaines, et à droite, celle du médecin Paul Barthes .
Pour parler de la vie de Paul Barthes, cette semaine,
Le professeur Thierry Lavabre-Bertrand , professeur à la faculté de médecine et historien .
Barthes est né à Montpellier en 1734. Il fait sa médecine à Montpellier puis monte à Paris.
Lorsqu’il revient à Montpellier il devient professeur en 1761
Il enseigne la médecine

L’EPISODE DU JOUR :
Il va revenir à Montpellier après la révolution….

L’Eco-conception, c’est concevoir des produits pour que tout au long de leur vie, ils soient le plus éco-responsables que possible.
A Toulouse, le Pôle Eco-conception se charge de sensibiliser les chefs d’entreprise à cette démarche, et de les aider à prendre cette orientation.
Marie Cussol, chef de projet au sein du Pôle Eco-conception est l’invitée de Marie Olivares.

Lorsque l’on regarde la façade de la faculté de médecine de Montpellier, on y remarque deux statues imposantes, de part et d’autre de l’entrée.
A gauche c’est la statue du chirurgien Antoine Gigot de Lapeyronie dont nous avons parlé il y a deux semaines, et à droite, celle du médecin Paul Barthes .
Pour parler de la vie de Paul Barthes, cette semaine,
Le professeur Thierry Lavabre-Bertrand , professeur à la faculté de médecine et historien .
Barthes est né à Montpellier en 1734. Il fait sa médecine à Montpellier puis monte à Paris.
Lorsqu’il revient à Montpellier il devient professeur en 1761
Il enseigne la médecine

L’EPISODE DU JOUR :
A Montpellier, il est considéré comme un professeur brillant. Un grand maitre de la médecine…

Lorsque l’on regarde la façade de la faculté de médecine de Montpellier, on y remarque deux statues imposantes, de part et d’autre de l’entrée.
A gauche c’est la statue du chirurgien Antoine Gigot de Lapeyronie dont nous avons parlé il y a deux semaines, et à droite, celle du médecin Paul Barthes .
Pour parler de la vie de Paul Barthes, cette semaine,
Le professeur Thierry Lavabre-Bertrand , professeur à la faculté de médecine et historien .
Barthes est né à Montpellier en 1734. Il fait sa médecine à Montpellier puis monte à Paris.
Lorsqu’il revient à Montpellier il devient professeur en 1761
Il enseigne la médecine

L’EPISODE DU JOUR :

Barthes, qui était il ?

Jusqu'au 31 mars et pour la première fois, l'Agence Régionale de Santé Occitanie propose et invite les 6 millions d'habitants de notre région à s'exprimer sur leur santéà travers 1 consultation citoyenne.
On écoute Didier Jaffre, directeur général de l'ARS Occitanie, au micro de Cédric Combet.

Iris Christol et Maxime Rosier ont été élu à la tête du barreau de Montpellier en juin dernier. Un binome de batonniers c'est une première pour Montpellier.
Cédric Combet a rencontré pour nous Maxime Rosier. Il s'exprime sur son élection mais également sur le contexte social actuel rejoignant ainsi le constat de ses confrères toulousains qui dénoncaient la semaine dernière, au moyen d'un procès fictif, le manque de moyens de la justice.