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RCF Petites communes, grosses galères : 5 maires du Cher racontent
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Petites communes, grosses galères : 5 maires du Cher racontent

Un article rédigé par Guillaume Martin-Deguéret - RCF en Berry,  -  Modifié le 2 août 2021
Le feuilleton de l'été Petites communes, grosses galères : 5 maires du Cher racontent

Retrouvez l'intégralité de notre feuilleton de l'été consacré aux difficultés des maires des petites communes du Cher. 5 élus se sont confiés à notre micro sur leur quotidien, souvent difficile... parfois impossible.

Le maire de Charôst Ludo Coste doit faire en permanence le grand écart. © RCF - Guillaume Martin-Deguéret Le maire de Charôst Ludo Coste doit faire en permanence le grand écart. © RCF - Guillaume Martin-Deguéret

Patron d'une petite commune, un sport de combat

 

Un coup de fil pendant la nuit parce qu'un troupeau de moutons traverse la route, trouver un médecin pour les habitants, gérer un problème de canalisation sans en avoir les moyens financiers : les maires des petites communes doivent en permanence faire le grand écart, et se battre au quotidien pour faire exister leur village, parfois même pour le sauver. Assurément, être le maire d'une petite commune est un sport de combat, nous avons recueilli 5 témoignages.

 

Sury-ès-Bois, l'engagement (1/5)


À Sury-ès-Bois, dans le nord du département, le maire Jean-Claude Rimbault ne voulait pas embrayer sur un quatrième mandat aux municipales de 2020. Problème : personne ne voulait le job. Pas le choix donc pour l'élu, qui est reparti pour un tour.

Le feuilleton de l'été Sury-ès-Bois, l'engagement (1/5)

Graçay, réinventer les mobilités rurales (2/5)


Depuis 1998, Jean-Pierre Charles est le maire de la commune. Ancien vice-président en charge des transports au Département de 2008 à 2015, il a fait de la question de la mobilité une des ses spécialités. Pour l'élu, il faut maintenant la réinventer, et se tourner vers de nouveaux modes de déplacements dans les territoires ruraux.

Le feuilleton de l'été Graçay, réinventer les mobilités rurales (2/5)

Chezal-Benoît, sauver l'hôpital pour survivre (3/5)


Tous les maires des petites communes doivent se battre au quotidien pour sauver une boulangerie, un café, un service public...  À Chezal-Benoît, le maire lutte pour tenter de garder l'hôpital psychatrique installé depuis des années sur la commune, et qui perd chaque année des lits. Sans lui, c'est tout le village qui pourrait mourrir. 

Le feuilleton de l'été Chezal-Benoît, sauver l'hôpital pour survivre (3/5)

Chârost, les oubliés (4/5)
 

Ni complètement dans le Cher, ni vraiment dans l'Indre, la commune de Chârost se retrouve un peu "entre deux chaises" : elle est bien située dans le Cher, mais appartient à la Communauté de Communes d'Issoudun. Résultat : Chârost est un peu oubliée par tous. Le nouveau maire Ludo Coste veut relancer l'attractivité de son village, désormais placé sur la carte grâce à l'ouverture d'un centre de transit pour réfugiés en novembre 2020.

La désertification médicale, pour tous (5/5)


Pour terminer notre feuilleton avec les maires du Cher et leurs difficultés du quotidien, on s'attaque à un gros morceau : la désertification médicale, qui touche fortement l'ensemble du département. Philippe Moisson, maire de Saint-Loup-des-Chaumes, dans le sud du Cher, et Président de l'association des Maires du Cher dresse un bilan global. Les solutions seront-elles mises en place à temps ?
 

Le feuilleton de l'été La désertification médicale, pour tous (5/5)
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Un négatif de film, une création signée Geralt
Cet article est basé sur un épisode de l'émission :
Le feuilleton de l'été

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