Le Puy-en-Velay : un tournoi national de hockey subaquatique organisé à la Vague
La piscine de la Vague accueille ce week-end le tournoi de la Nouvelle Vague organisé par le club du Puy-en-Velay de hockey subaquatique. 160 jeunes de toute la France sont attendus sur place.
Le club de hockey subaquatique du Puy-en-Velay évolue au plus haut niveau national. © Didier Regaldo.Après de nombreuses années de succès, le club de hockey subaquatique du Puy-en-Velay renouvelle la formule de son traditionnel tournoi et change le nom. Exit les adultes, le tournoi de la Nouvelle Vague s’adresse aux catégories « U19 et U23 », explique Didier Regaldo, l’éducateur sportif du club. Au total, 160 jeunes vont venir en terre vellave pour ce tournoi national. « On attend des équipes de Rennes, Strasbourg, Neuilly ou encore Hyères. » Et évidemment, 3 équipes du club ponot.
Si le club change la formule du tournoi, c’est pour coller à ses licenciés. Aujourd’hui, les jeunes représentent une large partie des joueurs. Certains performent à haut niveau. « Nous avons par exemple deux jeunes qui vont participer à la Coupe du Monde U24 en Turquie en juillet prochain », explique Didier Regaldo. Lancée depuis 4 ans, l’école de formation du club prend de plus en plus d’importance. L’équipe fanion fait partie des 8 meilleures de France.
L’engouement dépasse le simple cadre sportif. « Les parents sont super nombreux, ils sont investis à 100 % », pointe Didier Regaldo. Ainsi, ce tournoi doit permettre de donner la possibilité aux jeunes de briller en ce début de saison.
Des bassins fermés à la Vague
Les matchs se joueront dès samedi matin, jusqu’à dimanche 13 h. « L’idée reste de permettre aux jeunes de rentrer chez eux, vu que certains viennent de loin. » D’ailleurs, les rencontres seront diffusées en direct sur YouTube, ici. Le club de hockey subaquatique du Puy-en-Velay a prévu plusieurs animations pour les spectateurs.
Conséquence de la tenue de cette compétition, plusieurs bassins à la Vague seront fermés aux nageurs, comme c’est le cas lors des compétitions sportives. Ça concerne « le grand bassin et le petit bassin d’apprentissage », conclut Didier Regaldo.
