Le bilan d'une année : à tous, on peut tout

Une chronique qui est plus personnelle ce matin et qui est le fruit de la quarantaine de chroniques réalisé tout au long de l'année et en allant un peu plus loin qui fait aussi le bilan des chroniques innovations que j'ai eu l'immense plaisir de présenter à vos côtés durant près de 2 ans et demi. Et bien, un bilan en demi-teinte pour 2 raisons particulières la première parce qu’on a le sentiment en réalisant des chroniques de ce type que chacun des projets que l'on présente n'est qu'une toute petite goutte d'eau dans un immense océan et que du fait de la multiplicité des problématiques  il semble impossible d'aboutir au résultat escompté en 2030. D'autre part parce que l'on a parfois le sentiment que cet agenda même s'il est porté par l'ONU n'est pas forcément au cœur des politiques publiques. Et en même temps, je suis émerveillé par toute l'ingéniosité et l'énergie qui se dégage de l'engagement de ceux et de celles qui œuvrent à essayer d'atteindre ces objectifs du développement durable en temps et en heure.

Il n'y a pas une personne que j'ai pu contacter ou interroger qui n'a pas cette conviction chevillée au corps que c'est possible. Et j'irai même plus loin je constate toujours avec le même émerveillement de toute l'ingéniosité dont font preuve les organisations qu'elle soit gouvernementale ou non gouvernementale pour venir répondre au besoin de la planète. Mais aussi de la multitude de personnes qui de manière individuelle s'engagea dans cette démarche. Je l'ai martelé à la fin de chacun de nos échanges pendant toute la saison, au départ dans l'optique de trouver une conclusion originale pour clore chacune de ces chroniques mais petit à petit je me suis aperçu que cette phrase était essentielle dans la réussite des objectifs de l'agenda 2030, car chacun de ces objectifs, et je l'ai dit à plusieurs reprises sont inter pénétrables les uns avec les autres. 17 objectifs qui ressemblent à 17 maillons dont le tout assemblé fait une chaîne solide qui ne servira pas à asservir le monde, mais plutôt à le préserver de son effondrement
 
J'ai pris conscience de l'importance et de la nécessité de communiquer sur ces objectifs et c'est pourquoi durant le confinement j'ai créé un compte Twitter un compte Instagram et une page Facebook consacrée à cette question cela s'appelle « comment vas-tu bien la planète » Le premier podcast qui prend la température du monde et qui donne la parole aux francophones engagés dans le développement durable à travers la planète. J'invite d'ailleurs tous les auditeurs qui souhaitent continuer à suivre cette action en faveur des objectifs 17 objectifs du développement durable à s'abonner à ces différents réseaux sociaux sur lesquels je continuerai à produire des chroniques et des podcasts tout au long de l'année qui vient, car je vous le rappelle à tous on peut tout.