La création d'entreprise, une histoire de relations humaines
En 2016, Marine Phrasaysithideth ouvre un salon de beauté à Angoulême. Sa troisième création d’entreprise. "Il y a un contexte familial et une envie très personnelle. Une grosse envie d’indépendance et aussi, une manière de faire quelque chose, comme je n’ai pas de diplômes. J’ai appris de mes différentes expériences. Cela s’est fait naturellement" explique-t-elle.
"Je n’ai pas forcément confiance en moi, mais j’ai confiance dans mon projet. Je l’ai travaillé de A à Z. J’ai cru en la pérennité de l’activité" ajoute-t-elle au sujet de sa dernière création d’entreprise, son institut de beauté, précisant qu’avant même le lancement de son activité, elle connaissait déjà le prix de son matériel, ses fournisseurs, le prix de ses prestations. "Tout était carré".
"Mes expériences précédentes m’ont aidé. Je n’étais pas forcément très à l’aise sur ma première création d’activité. J’étais beaucoup plus jeune et puis finalement ce n’était pas le milieu dans lequel je voulais bosser. Tout a commencé au moment de ma seconde création d’entreprise. Tout s’est affiné avec celle-ci. Cela reste des relations humaines" conclut-elle.
RCF vit grâce à vos dons
RCF est une radio associative et professionnelle.
Pour préserver la qualité de ses programmes et son indépendance, RCF compte sur la mobilisation de tous ses auditeurs. Vous aussi participez à son financement !