Mgr Marceau a procédé au rite de la réparation de Notre-Dame de Nice, quatre jours après l'attentat qui a fait trois victimes. Sur le parvis de la basilique, Mgr Marceau a rappelé que cet édifice est "le lieu de la prière". "La basilique est lieu d'accueil pour tous" dit-il non sans émotion, parlant d'un "lieu de ressourcement au coeur de la ville pour qui veux y entrer". A l'extérieur, la foule écoute, derrière des barrières sur l'avenue Jean-Médecin.
Un geste terroriste qui entache la destination et la vocation de la basilique.
"Tuer, nier la vie, est attenter à Dieu créateur et sauveur dans son projet d'amour pour les hommes" dit Mgr Marceau. "Ce lieu a été détourné de sa vocation à travers les trois personnes mortes". Un discours de fermeté. L'évêque n'a pas hésité à rajouter que cet attentat s'est fait "au nom d'un faux visage de Dieu ou d'idéologie perverse et mortifère" avant d'assurer que "vouloir inscrire en ce lieu un si funeste projet touche l'Eglise toute entière".
"Dans notre ville, debout devant Dieu !"
"C'est dans la vie de chaque jour que se trouve l'amour" dit l'évêque dans une homélie faites d'optimisme à l'intérieur de la basilique devant le maire de Nice, présent au premier rang. A l'entrée de la basilique, trois portraits: Nadine, Vincent et Simone.
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