Petite école biblique

Les questions de migration dans la Bible sont étonnamment fréquentes. Le peuple de Dieu lui-même vécut en tant que nomade une bonne partie de la vie des patriarches, avant d’être étranger en Égypte, puis autochtone après la conquête de sa terre promise. Jésus lui-même dû émigrer en Égypte quelque temps. Alors, comment Israël doit-il considérer les étrangers en son sein ? A-t-il un devoir d’accueil ? Quelles en sont les conditions et les raisons ? Que dit Jésus sur l’accueil de l’étranger, et comment se comporte-t-il ?

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4. C’EST MOI QUE TU ACCUEILLES

La parabole du Jugement des Nations (Matthieu 25) parle d’un jugement universel basé sur l’amour concret, qui divise les hommes en deux groupes sur la base de l'accueil fait ou refusé aux indigents. Jésus développe la valeur christologique de l'accomplissement de la miséricorde. Par elle les hommes ont été mis en relation avec Lui, même inconsciemment. Pour Matthieu chacun a eu l'occasion de prendre position vis-à-vis du Christ par des actes concrets envers les pauvres.

Les questions de migration dans la Bible sont étonnamment fréquentes. Le peuple de Dieu lui-même vécut en tant que nomade une bonne partie de la vie des patriarches, avant d’être étranger en Égypte, puis autochtone après la conquête de sa terre promise. Jésus lui-même dû émigrer en Égypte quelque temps. Alors, comment Israël doit-il considérer les étrangers en son sein ? A-t-il un devoir d’accueil ? Quelles en sont les conditions et les raisons ? Que dit Jésus sur l’accueil de l’étranger, et comment se comporte-t-il ?

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3. FAIS-TOI PROCHE !

Qui de nous ne connaît la " parabole du bon samaritain " où l’on passe de la question " que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? " à celle-ci : " et qui est mon prochain ? " Par la parabole du Samaritain en voyage, Jésus développe le point de vue de la miséricorde. Jésus nous presse de dépasser les limites établies de nos intérêts, et nous commande de faire miséricorde.

Les questions de migration dans la Bible sont étonnamment fréquentes. Le peuple de Dieu lui-même vécut en tant que nomade une bonne partie de la vie des patriarches, avant d’être étranger en Égypte, puis autochtone après la conquête de sa terre promise. Jésus lui-même dû émigrer en Égypte quelque temps. Alors, comment Israël doit-il considérer les étrangers en son sein ? A-t-il un devoir d’accueil ? Quelles en sont les conditions et les raisons ? Que dit Jésus sur l’accueil de l’étranger, et comment se comporte-t-il ?

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2. TON PROCHAIN COMME TOI-MÊME

Jésus met au premier plan l’Amour de Dieu et du prochain, qui consiste à faire du bien aux autres. En disant : « Bienheureux les artisans de paix, car eux, ils seront appelés fils de Dieu », Jésus cible trois obstacles à la paix : la duplicité du langage, l’exigence procédurière du châtiment, la haine discriminatoire… Et propose trois combats pour être des artisans de paix : la vérité du langage (5, 33-37), l’amour envers le malfaisant (5, 38-42), et l’amour envers l’ennemi (5, 43-48).

Les questions de migration dans la Bible sont étonnamment fréquentes. Le peuple de Dieu lui-même vécut en tant que nomade une bonne partie de la vie des patriarches, avant d’être étranger en Égypte, puis autochtone après la conquête de sa terre promise. Jésus lui-même dû émigrer en Égypte quelque temps. Alors, comment Israël doit-il considérer les étrangers en son sein ? A-t-il un devoir d’accueil ? Quelles en sont les conditions et les raisons ? Que dit Jésus sur l’accueil de l’étranger, et comment se comporte-t-il ?

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L’étude de certains textes bibliques nous permet de retrouver la vérité biblique par rapport aux opinions les plus diverses sur la " vie après la mort " qui circulent. On pense ainsi volontiers que tous sont sauvés, même sans repentance. Ou encore qu’il nous sera donné une option pour nous tourner vers Dieu immédiatement après la mort… Mais Jésus, qui a promis de remettre les péchés de ceux qui se tournent vers lui, n'a jamais promis un lendemain de la mort où cette conversion serait possible. C'est donc aujourd'hui, dans le présent, que se joue notre destin ; c'est par notre comportement concret dans la vie quotidienne que nous décidons de notre sort éternel.

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2. LE JOUR DES COMPTES VIENT À L’IMPROVISTE ET LE JUGEMENT SERA À DOUBLE ISSUE

Jésus, qui doit venir à l'heure de la mort de chaque individu comme à la fin des temps pour toute l'humanité dans son ensemble, se présente tantôt comme le maître de maison, tantôt comme l'époux, tantôt comme le voleur, toujours un personnage dont on doit attendre l'arrivée à l'improviste.

Le thème de la séparation des hommes en deux groupes est un thème central de la tradition du jugement dans la Bible. L’évangéliste Matthieu l’a, à plusieurs reprises l’introduit dans les paraboles de l’Ivraie et du Filet, des Talents et des Dix Vierges. Il le déploie au niveau du monde entier dans la parabole du Jugement des Nations (Mt 25, 31-46).

L’étude de certains textes bibliques nous permet de retrouver la vérité biblique par rapport aux opinions les plus diverses sur la " vie après la mort " qui circulent. On pense ainsi volontiers que tous sont sauvés, même sans repentance. Ou encore qu’il nous sera donné une option pour nous tourner vers Dieu immédiatement après la mort… Mais Jésus, qui a promis de remettre les péchés de ceux qui se tournent vers lui, n'a jamais promis un lendemain de la mort où cette conversion serait possible. C'est donc aujourd'hui, dans le présent, que se joue notre destin ; c'est par notre comportement concret dans la vie quotidienne que nous décidons de notre sort éternel.

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1. VOUS AVEZ LE TEMPS DE VOUS PRÉPARER, MAIS IL EST LIMITÉ

La pensée dominante de l’Ancien Testament sur la mort est une pensée sombre. Pour les Israélites, la mort serait un affaiblissement de l'être, une évacuation, une perte de toute vitalité. Ce qui reste de l'homme après la mort n'est qu'une ombre. L’ Ancien Testament prend ce fait comme présupposé en encourageant à vivre dans la droiture pendant que le temps de la vie nous est donné. La nécessité absolue est de faire le bien en cette vie, car la mort sera le moment de la vérité définitive, où plus rien ne pourra changer.

Les noces de Cana ! Le cadre de la noce palestinienne, la présence de Jésus et de Marie, le vin qui coule à flots, le premier signe de Jésus, tout cela nous rend ce passage de l’Évangile selon saint Jean très attachant. En même temps, nous pressentons bien, comme pour tout passage de saint Jean, qu’il nous faut creuser plus profondément pour y découvrir des richesses cachées. C’est à la fois très simple mais également complexe, à cause de la grande richesse des symboles employés. Pour ce quatrième et dernier épisode, la thématique du jour est le commencement des signes.

Les noces de Cana ! Le cadre de la noce palestinienne, la présence de Jésus et de Marie, le vin qui coule à flots, le premier signe de Jésus, tout cela nous rend ce passage de l’Évangile selon saint Jean très attachant. En même temps, nous pressentons bien, comme pour tout passage de saint Jean, qu’il nous faut creuser plus profondément pour y découvrir des richesses cachées. C’est à la fois très simple mais également complexe, à cause de la grande richesse des symboles employés. Pour ce troisième épisode, la thématique est l'invitation et l'action.

Les noces de Cana ! Le cadre de la noce palestinienne, la présence de Jésus et de Marie, le vin qui coule à flots, le premier signe de Jésus, tout cela nous rend ce passage de l’Évangile selon saint Jean très attachant. En même temps, nous pressentons bien, comme pour tout passage de saint Jean, qu’il nous faut creuser plus profondément pour y découvrir des richesses cachées. C’est à la fois très simple mais également complexe, à cause de la grande richesse des symboles employés. Pour ce second épisode, nous nous penchons sur le dialogue entre Marie et Jésus.

Les noces de Cana ! Le cadre de la noce palestinienne, la présence de Jésus et de Marie, le vin qui coule à flots, le premier signe de Jésus, tout cela nous rend ce passage de l’Évangile selon saint Jean très attachant. En même temps, nous pressentons bien, comme pour tout passage de saint Jean, qu’il nous faut creuser plus profondément pour y découvrir des richesses cachées. C’est à la fois très simple mais également complexe, à cause de la grande richesse des symboles employés. Pour ce premier épisode, la thématique est le 3ème jour et les époux.

Voici quel est mon commandement : " vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés ". Une parole de Jésus que l'on retrouve dans l'évangile de Jean ( au chapitre 15, le verset 12 ) sur laquelle se penchent Laétitia Trememebert et le Père Dominique Auzenet. Une série d'émission intitulée " Un amour en bonne santé ", la N°68 sur le site de la petite école biblique, qui se termine cette semaine en nous parlant une fois de plus d'amour, un amour de Dieu qui vivifie la foi et l'espérance.

Voici quel est mon commandement : " vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés ". Une parole de Jésus que l'on retrouve dans l'évangile de Jean ( au chapitre 15, le verset 12 ) sur laquelle se penchent Laétitia Trememebert et le Père Dominique Auzenet. Une nouvelle série d'émission intitulée " Un amour en bonne santé ", la N°68 sur le site de la petite école biblique, qui se prolonge, cette semaine en nous livrant une fois de plus, quelques exemples de soins pour un amour vivant.

Voici quel est mon commandement : " vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés ". Une parole de Jésus que l'on retrouve dans l'évangile de Jean ( au chapitre 15, le verset 12 ) sur laquelle se penchent Laétitia Trememebert et le Père Dominique Auzenet. Une nouvelle série d'émission intitulée " Un amour en bonne santé ", la N°68 sur le site de la petite école biblique, qui se prolonge, cette semaine et la suivante, en nous livrant quelques exemples de soins pour un amour vivant.

Voici quel est mon commandement : " vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés ". Une parole de Jésus que l'on retrouve dans l'évangile de Jean ( au chapitre 15, le verset 12 ) sur laquelle se penchent Laétitia Trememebert et le Père Dominique Auzenet. Une nouvelle série d'émission intitulée " Un amour en bonne santé ", la N°68 sur le site de la petite école biblique, qui commence par répondre à cette question : Qu'est ce que l'amour ?

Les longues soirées d’été, voire de vacances, sont l’occasion de repas, de barbecues, entre amis ou en famille. Jésus lui-même n’a pas refusé ces invitations, et en ouvrant les évangiles, on le voit souvent à table ! Et en comparaison avec Marc et Matthieu, Luc se montre très in[téressé aux repas auxquels Jésus participe. Nous n’allons donc pas rassembler tous les textes évangéliques sur les repas de Jésus, mais plutôt partir des récits de Luc. Il a ceci de caractéristique qu’il consid[ère ces repas comme une anticipation du Royaume de Dieu. Ce sont des « repas eschatologiques ». Il les met en relation avec la manifestation du Royaume de Dieu, il les considère comme une anticipation du Royaume de Dieu. Puisque ces repas sont souvent l’occasion d’enseignements, ceux-ci dépassent évidemment le cadre des hôtes et des disciples pour s’adresser aux communautés d’Église.

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Au sein du livre de l'Exode, on peut clairement distinguer deux parties. Après vingt-quatre chapitres de style narratif, l'auteur nous plonge, pendant les seize derniers, dans la description ardue des instructions divines pour la construction d'un lieu de culte avec son mobilier - la Tente de la rencontre -, suivies de leur exécution matérielle.
Ces réalités cultuelles de l’Ancien Testament sont-elles obsolètes parce que périmées ? Ont-elles au contraire quelque chose à nous dire ? Sont-elles prophétiques du culte nouveau que Jésus a instauré ? Comment comprendre l’accomplissement des Écritures ?

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3. L’ARCHE D’ALLIANCE ET LES TROIS OBJETS QU’ELLE CONTIENT

1) Le vase contenant la manne ; c'est la nourriture que Dieu leur a donnée au désert pour leur éviter de mourir de faim ; Jésus dira qu’il est le Pain descendu du ciel. 2) Les Tables de la Loi. Sur ces Tables sont inscrites les « dix Paroles » - ou Décalogue - données par Dieu préalablement à l'Alliance. C'est par son propre sang, offert en sacrifice, que Jésus scellera la charte d'une Nouvelle Alliance, le nouveau - et éternel – Témoignage. 3) Le bâton fleuri d’Aaron. Symbole de la légitimité sacerdotale.Il commémore l'institution du sacerdoce dans l'Ancienne Alliance. Jésus sera le grand prêtre selon l'ordre de Melchisédech.

Au sein du livre de l'Exode, on peut clairement distinguer deux parties. Après vingt-quatre chapitres de style narratif, l'auteur nous plonge, pendant les seize derniers, dans la description ardue des instructions divines pour la construction d'un lieu de culte avec son mobilier - la Tente de la rencontre -, suivies de leur exécution matérielle.
Ces réalités cultuelles de l’Ancien Testament sont-elles obsolètes parce que périmées ? Ont-elles au contraire quelque chose à nous dire ? Sont-elles prophétiques du culte nouveau que Jésus a instauré ? Comment comprendre l’accomplissement des Écritures ?

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2. LA TENTE DE LA RENCONTRE. 

La Tente de la rencontre contient six éléments cultuels remarquables. Dans le Saint des saints sont présents trois objets déposés dans l'arche d'Alliance, qui viennent sceller l'Ancienne Alliance: les Tables de pierre ; le vase de manne ; le bâton fleuri d'Aaron. Et il y a trois autres objets dans le Saint : la table des 12 pains de proposition ; la ménorah, le chandelier à 7 lampes décoré de 22 fleurs d'amandier ; l'autel des parfums. Qu’est-ce que tout cela signifie ?

Au sein du livre de l'Exode, on peut clairement distinguer deux parties. Après vingt-quatre chapitres de style narratif, l'auteur nous plonge, pendant les seize derniers, dans la description ardue des instructions divines pour la construction d'un lieu de culte avec son mobilier - la Tente de la rencontre -, suivies de leur exécution matérielle.
Ces réalités cultuelles de l’Ancien Testament sont-elles obsolètes parce que périmées ? Ont-elles au contraire quelque chose à nous dire ? Sont-elles prophétiques du culte nouveau que Jésus a instauré ? Comment comprendre l’accomplissement des Écritures ?

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1. REGARD SUR EXODE 24-25

Au début du chapitre 25, Dieu affirme sa volonté d'être présent au milieu de son peuple, puis enchaîne directement sur des instructions liturgiques précises, à commencer par la description minutieuse de trois objets : l'arche d'Alliance, la table des pains de proposition et la ménorah. La manière dont le culte doit être rendu n'est pas matière à compromis : la liturgie tire sa mesure et son ordonnance de Dieu même et de sa révélation. Dans tout cela, nulle question de Terre promise ; l'objectif de l'Exode semble être l'adoration, dans la forme liturgique fixée par Dieu.

La métaphore pastorale traverse les livres réunis dans l'Ancien Testament. Fréquente et dense, elle peut parler de Dieu comme des dirigeants et des rois d'Israël. Sa puissance évocatrice produit un vaste réseau d’expressions, permettant notamment de réfléchir sur les questions de gouvernance et de protection, de fidélité et d'unité. Mais la métaphore pastorale ne prévaut pas dans le Nouveau Testament. Paul, l'auteur le plus ancien, goûte peu à cette imagerie. Quant à l'évangile de Marc, premier rédigé des quatre, deux évocations par citations interposées lui suffisent.

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1. LA MÉTAPHORE PASTORALE DANS LUC ET JEAN

Chez Luc, l’apparition du petit troupeau est caractéristique d’une orientation ecclésiale : « Ne crains pas, petit troupeau : votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume ». Confirmée dans les Actes : « Prenez soin de vous-mêmes et de tout le petit troupeau dans lequel l’Esprit saint vous a établis surveillants pour faire paître l’Église de Dieu ». La parole est l’enjeu de l’unité du troupeau, lui donner nourriture revient à lui rendre accessible la parole qu’est le Christ.

La métaphore pastorale traverse les livres réunis dans l'Ancien Testament. Fréquente et dense, elle peut parler de Dieu comme des dirigeants et des rois d'Israël. Sa puissance évocatrice produit un vaste réseau d’expressions, permettant notamment de réfléchir sur les questions de gouvernance et de protection, de fidélité et d'unité. Mais la métaphore pastorale ne prévaut pas dans le Nouveau Testament. Paul, l'auteur le plus ancien, goûte peu à cette imagerie. Quant à l'évangile de Marc, premier rédigé des quatre, deux évocations par citations interposées lui suffisent.

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1. LA MÉTAPHORE PASTORALE DANS MARC ET MATTHIEU

Marc ne mobilise qu’à deux reprises la figure littéraire du berger. Ces deux références sont ouvertement empruntées aux Écritures. " Ils étaient comme des moutons n’ayant pas de berger ". Et : " je frapperai le berger et les brebis seront dispersées, mais après m’être réveillé, je vous précéderai en Galilée ".