Halte spirituelle

C'est une nouvelle traduction de l'évangile de Marc que propose Frère David-Marc d'Hamonville, dans son livre "Marc, l'histoire d'un choc" (éd. Cerf, 2019). Traduit au plus près du texte grec, l’évangile de Marc est plein de lourdeurs et de répétitions. Mais ces apparentes maladresses nous racontent un choc : celui de la rencontre avec Jésus.

Des blessures, des blocages : tout le monde peut en avoir au cours de sa vie. Les identifier c'est déjà une première étape pour s'en libérer. Dans cette émission, le Père François Buet montre qu'en accompagnant ce chemin par la prière, on peut ensuite mieux aimer et être aimé.

Des blessures, des blocages : tout le monde peut en avoir au cours de sa vie. Les identifier c'est déjà une première étape pour s'en libérer. Dans cette émission, le Père François Buet montre qu'en accompagnant ce chemin par la prière, on peut ensuite mieux aimer et être aimé.

Saint Thomas d'Aquin est surtout connu pour sa Somme théologique, une oeuvre magistrale qui nourrit aujourd'hui encore les travaux des théologiens.

Saint Thomas d'Aquin est surtout connu pour sa Somme théologique, une oeuvre magistrale qui nourrit aujourd'hui encore les travaux des théologiens.

Saint Thomas d'Aquin est surtout connu pour sa Somme théologique, une oeuvre magistrale qui nourrit aujourd'hui encore les travaux des théologiens.

Saint Thomas d'Aquin est surtout connu pour sa Somme théologique, une oeuvre magistrale qui nourrit aujourd'hui encore les travaux des théologiens.

Saint Thomas d'Aquin est surtout connu pour sa Somme théologique, une oeuvre magistrale qui nourrit aujourd'hui encore les travaux des théologiens.

Saint Thomas d'Aquin est surtout connu pour sa Somme théologique, une oeuvre magistrale qui nourrit aujourd'hui encore les travaux des théologiens.

La Liturgie, c'est-à-dire la façon de célébrer, soulève de nombreuses questions, mais pas toujours les bonnes. Dans un texte intitulé "un ardent désir", le Pape revient sur ce qui est premier : le Christ. Pour l'Assemblée, comme pour le prêtre, comme l'explique le Père Charles-Marie Rigail, formé à la liturgie, à Rome.

La Liturgie, c'est-à-dire la façon de célébrer, soulève de nombreuses questions, mais pas toujours les bonnes. Dans un texte intitulé "un ardent désir", le Pape revient sur ce qui est premier : le Christ. Avec une importance absolue accordée au silence.

La Liturgie soulève de nombreuses questions, mais pas toujours les bonnes. Dans un texte intitulé "un ardent désir", le Pape François revient sur ce qui est premier : le Christ. Il met en garde contre ce qui empoisonne le débat. Une façon de sortir par le haut, expliquée par le Père Charles-Marie Rigail.

La Liturgie soulève de nombreuses questions, mais pas toujours les bonnes. Dans un texte intitulé "un ardent désir", le Pape François revient sur ce qui est premier : le Christ. C'est d'abord et avant tout Lui qui nous émerveille, qui est le Mystère. Une façon de sortir de certaines polémiques, expliquée par le Père Charles-Marie Rigail.

La Liturgie soulève de nombreuses questions, mais pas toujours les bonnes. Dans un texte intitulé "un ardent désir", le Pape revient sur ce qui est premier : le Christ. C'est d'abord et avant tout Lui qui nous invite. Une façon de sortir de certaines polémiques, expliquée par le Père Charles-Marie Rigail.

Au 17e siècle à Paray le Monial sœur Marguerite Marie fait l’expérience d’une intimité avec le cœur de Jésus, un cœur blessé qui souffre de ne pas être aimé. Une spiritualité est née.

Au 17e siècle à Paray le Monial sœur Marguerite Marie fait l’expérience d’une intimité avec le cœur de Jésus, un cœur blessé qui souffre de ne pas être aimé. Une spiritualité est née.

Au 17e siècle à Paray le Monial sœur Marguerite Marie fait l’expérience d’une intimité avec le cœur de Jésus, un cœur blessé qui souffre de ne pas être aimé. Une spiritualité est née.

Au 17e siècle à Paray le Monial sœur Marguerite Marie fait l’expérience d’une intimité avec le cœur de Jésus, un cœur blessé qui souffre de ne pas être aimé. Une spiritualité est née.

Au 17e siècle à Paray le Monial sœur Marguerite Marie fait l’expérience d’une intimité avec le cœur de Jésus, un cœur blessé qui souffre de ne pas être aimé. Une spiritualité est née.

Le poème "Une rose effeuillée" a été écrit en 1897, l'année de la mort de sainte Thérèse de Lisieux. La rose effeuillée, c'est l'image, plutôt simple, que la carmélite a trouvée pour dire le fond de sa pensée. Mais une pensée d'une grande profondeur où il y est question de la vérité de l'Apocalypse et de ce que la sainte croit être le but de toute vie humaine.

 

À l'occasion de l'année jubilaire (en 2023 on célèbre les 150 ans de la naissance de Thérèse de Lisieux et les 100 ans de sa béatification), Véronique Alzieu et Pierre Éliane vous proposent une méditation sur les poèmes de sainte Thérèse. Contrairement à Thomas d'Aquin, Albert le Grand, Jean de la Croix, elle n'a pas écrit de somme théologique ou de grand texte très érudit pour dire qui est Dieu et ce que croire veut dire. Mais ses lettres et ses poèmes sont d'une telle puissance qu'ils la hissent au niveau des plus grands, elle qui se voyait si petite ! Les poèmes de Thérèse de Lisieux, le carme Pierre Éliane les connaît bien, puisqu'il les a mis en musique et qu'il les a chantés. Ils sont compilés dans un nouvel album "Thérèse songs" (ADF Bayard Musique), à se procurer dès le 5 juillet.

 

Le poème "Comment je veux aimer" (1896), de sainte Thérèse de Lisieux, est un véritable aveu de faiblesse. Mais pour la jeune carmélite, il ne s'agit pas de supporter sa petitesse et sa fragilité : il s'agit au contraire de les aimer. C'est un appel radical à s'abandonner à la grâce divine.

 

À l'occasion de l'année jubilaire (en 2023 on célèbre les 150 ans de la naissance de Thérèse de Lisieux et les 100 ans de sa béatification), Véronique Alzieu et Pierre Éliane vous proposent une méditation sur les poèmes de sainte Thérèse. Contrairement à Thomas d'Aquin, Albert le Grand, Jean de la Croix, elle n'a pas écrit de somme théologique ou de grand texte très érudit pour dire qui est Dieu et ce que croire veut dire. Mais ses lettres et ses poèmes sont d'une telle puissance qu'ils la hissent au niveau des plus grands, elle qui se voyait si petite ! Les poèmes de Thérèse de Lisieux, le carme Pierre Éliane les connaît bien, puisqu'il les a mis en musique et qu'il les a chantés. Ils sont compilés dans un nouvel album "Thérèse songs" (ADF Bayard Musique), à se procurer dès le 5 juillet.