Le Triduum pascal est le moment le plus important de l'année liturgique pour les chrétiens. De la Cène à la résurrection, fêté le Dimanche de Pâques, les chrétiens célèbrent le mystère de la Passion puis de la mort du Christ. Pour en savoir plus sur les trois jours Saints retrouvez notre dossier spécial.
Traditionnellement, on dit que c'est à 15 heures que le Christ est mort. Le Vendredi saint est pour les chrétiens un jour de deuil. Ils font mémoire de la Passion du Christ, c'est-à-dire de ses souffrances et de sa mort sur la croix.
Après avoir vécu la Passion du Christ le Jeudi saint et sa mort le vendredi, le Samedi saint est un jour de recueillement pour les chrétiens : le jour du grand silence.
Pâques est la plus importante des fêtes chrétiennes. Le dimanche de Pâques, les chrétiens célèbrent la Résurrection du Christ. Après avoir été condamné et tué, le Christ est ressuscité d’entre les morts. C’est une grande semaine de joie qui commence pour l’Église.
Le triduum pascal, cœur de l'année liturgique symbolisant la montée vers Pâques, commence avec le Jeudi saint. Ce jour-là les catholiques commémorent les gestes qui disent l'amour de Dieu pour nous : bénir le pain et le vin mais aussi laver les pieds de ses disciples.
De sa condamnation à son agonie sur la croix, plusieurs personnes sont intervenues dans la mort du Christ. Mais à qui précisément imputer cette mort ?
Depuis son arrestation jusqu'à son dernier souffle sur la croix, comment s'est déroulée la Passion du Christ et combien de temps a-t-elle duré ? Voici tout ce que l'on sait sur cet épisode crucial de la vie de Jésus
Nous sommes au pied de la montagne. Et j’ai déjà faim…. Au cœur du triduum pascal. Le récit de la passion du Christ nous a tous saisis ce week-end et encore hier. Le Christ a souffert et éprouve ce sentiment de solitude, d’abandon et d’incompréhension. Comme nous qui pouvons aussi, nous sentir paumés dans ce monde bouillants d’interaction, ou tant de maladresse et de détresse se vivent au tréfonds des cœurs. En cette année olympique, j’ose une comparaison un peu délirante ou osée.
L'autel a été déplacé, il est dépouillé. Au centre, se dresse la croix, voilée d'un drap mauve. En ce Vendredi saint, au monastère de Saint-Thierry, les sœurs bénédictines chantent l’office des ténèbres, pour l’innocent condamné à mort et la souffrance de ceux qui traversent la douleur. Sœur Marie-Anne est religieuse dans ce monastère. Elle était l’invitée de la matinale.
Plusieurs sondages l'ont montré, mêmes les catholiques ont du mal à croire à la résurrection du Christ. Sa Passion sur la croix et sa victoire sur la mort représentent un mystère. Le Samedi saint, c'est précisément "le jour où l'on ne comprend pas", décrit le dominicain Jean-Jacques Pérennès. Directeur de l'École biblique et archéologique de Jérusalem, il nous aide à entrer dans ce mystère pascal au cœur de la foi chrétienne.
Aujourd'hui, à travers le monde les catholiques et les protestants commémorent le jour de la mort de Jésus : le Vendredi saint. La Moselle et l’Alsace bénéficient d’un droit local, leur octroyant des spécificités comme deux jours fériés supplémentaires dans l’année : le Vendredi Saint et la Saint-Etienne. Sébastien Wagner nous explique pourquoi cette journée est fériée, et pourquoi cela va bien plus loin que la simple question du Concordat Alsace-Moselle.
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