Dans le souci de s’adresser au plus grand nombre et avec curiosité, Pauline de Torsiac sollicite théologiens et biblistes pour un échange enthousiaste sur les fondamentaux de la foi chrétienne.
Le mois de mai est le mois de Marie. Mais pourquoi les catholiques entretiennent-ils une dévotion si forte à la mère du Christ ? Les églises, cathédrales et sanctuaires qui lui sont dédiés sont innombrables. Les représentations de la Vierge aussi. Tableaux, icônes, statues... On représente Marie les bras ouverts, parfois coiffée d’une couronne, souvent vêtue de blanc ou d’un manteau de couleur bleue. Elle est l'image de la femme qui écoute, qui comprend, qui console. On en parle avec le Père Max Huot de Longchamp, théologien et responsable du Centre et de la société de vie apostolique Saint-Jean-de-la-Croix. Il est l'auteur du livre "La Vierge Marie" (éd. Artège, 2022).
Des trois vertus théologales - foi, espérance, charité - la charité est, selon saint Paul, la plus grande ! Quelle différence avec l'amour ? En quoi la charité est-elle, en tant que vertu théologale, une force ? Réponses du Père Gérard Berliet, prêtre du diocèse de Dijon, formateur au séminaire interprovincial de Lyon, au micro de Pauline de Torsiac.
Pour les chrétiens, l'Esprit saint donne aux baptisés une force. Une force qui s'exprime en nous, nous aide à bien vivre et à orienter notre vie vers Dieu. Les vertus théologales - la foi, l'espérance et la charité - en sont la manifestation. L'espérance, c'est celle que Charles Péguy aime définir comme "cette petite fille de rien du tout". Pour en parler, Pauline de Torsiac reçoit le Père Gérard Berliet, prêtre du diocèse de Dijon, formateur au séminaire interprovincial de Lyon.
Pour les chrétiens, l'Esprit saint donne aux baptisés une force. Une force qui s'exprime en nous, nous aide à bien vivre et à orienter notre vie vers Dieu. Les vertus théologales - la foi, l'espérance et la charité - en sont la manifestation. Pour parler de la première vertu théologale, la foi, Pauline de Torsiac reçoit le Père Gérard Berliet, prêtre du diocèse de Dijon, formateur au séminaire interprovincial de Lyon.
Prêcher dans le désert, pleurer comme une madeleine, mettre son grain de sel... La langue française regorge d’expressions sorties de la Bible, des traditions de l’Église catholique ou du langage de sacristie. Le père Gautier Mornas nous éclaire sur l’origine de ces expressions. Il est l'auteur, avec Loïc Bonisoli, du livre : "Ni sainte, ni touche ! Dictionnaire décalé du vocabulaire tiré de la Bible, de l’histoire de l’Église et de l’argot ecclésiastique" (éd. Cerf, 2023).
Les chrétiens viennent de célébrer Pâques, la Résurrection du Christ, sa victoire sur la mort. Cette fête qui constitue le cœur de la foi chrétienne est un temps de joie, de partage. Des cloches de Pâques, à la chasse aux œufs en passant par l’agneau pascal, les traditions qui entourent cette fête sont nombreuses. Mais saviez-vous que cette fête ne s’arrête pas le week-end de Pâques ? La résurrection du christ est célébrée pendant huit jours, c’est l’octave pascale. Explications du Père Matthieu Thouvenot, vicaire général du diocèse de Lyon.
On appelle triduum pascal les trois jours de la Semaine sainte que sont le Jeudi saint, le Vendredi saint et le Samedi saint. Lors des offices ces jours-là, les chrétiens sont invités à effectuer de nombreux gestes rituels, comme le lavement des pieds ou la vénération de la croix. Pour aller plus en profondeur dans le sens des jours saints, Pauline de Torsiac reçoit le Père Matthieu Thouvenot, vicaire général du diocèse de Lyon.
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