Commune planète en Moselle - page 2

Mauvaises herbes, ou plutôt « herbes folles » ? Indomptables, envahissantes parfois, et pourtant si merveilleuses…Valérie LOESCHER, fondatrice de l’association « le goût des herbes folles », nous communique sa passion des plantes sauvages aux vertus si variées, comme autant de « délicieux sortilèges ».

L’ Église verte » est un véritable label qui s’adresse aux communautés chrétiennes souhaitant s’engager pour une conversion écologique, vers « l’écologie intégrale ». Pour nous éclairer sur ces thèmes, Anne Sophie Vaxelaire, ambassadrice « Eglise verte » et référente diocésaine à l’écologie intégrale du diocèse de Metz depuis 2020.

Les abeilles butinent autour de nous depuis toujours. Si elles fournissent un délicieux trésor, le miel, elles assurent par ailleurs un « service gratuit » bien souvent méconnu : la pollinisation. Pour nous parler de cette fonction mystérieuse tout autant que fondamentale, rencontre avec Martine CLAUSSET, actuellement vice-présidente du Groupement de Défense Sanitaire des Abeilles.

Cultiver, semer, récolter, tous ces verbes et tant d’autres s’appliquent aux jardins, mais pas que ! Les humains bénéficient également de cette culture, celle qui est personnelle tout comme celle de la terre, qui nécessite de nombreuses compétences. Pour nous parler de jardins, d’insertion, et de nombreuses actions associées, rencontre avec Nathalie BAROTTE, porteur du projet et directrice de l’association « Une terre et un jardin pour demain ».

L'habitat léger ou alternatif, comme par exemple les roulottes, tipis et autres "Tiny House", représente un enjeu de société qui concerne les particuliers mais également tout un réseau d'artisans locaux. Pour nous en parler, rencontre avec Alex et Maxime PINOT, concepteurs et créateurs de la "Maisonnelle", leur vision de l'habitat de demain.

Mieux comprendre ce qu'est la biodiversité au travers d'une approche scientifique et poétique ? Rencontre avec Armand BEMER, administrateur et membre d'honneur du Conservatoire d'Espaces Naturels de Lorraine dont il a été vice-président pendant 21 ans.

Gilles Farcet est un écrivain français promoteur d'une spiritualité inspirée de l'enseignement d'Arnaud Desjardins. Il a soutenu sa thèse de doctorat sur la Littérature américaine en 1984. De 1984 à 1986, il vit à Montréal où il travaille pour une organisation universitaire internationale et écrit régulièrement des articles de critique littéraire pour la revue Spirale. De retour en France, il enseigne brièvement à l'université catholique de l'Ouest avant de s’installer à Paris.
Producteur à France Culture, il y réalise des émissions sur des thèmes littéraires ou spirituels, notamment dans le cadre des « Chemins de la Connaissance » sous l’égide de Claude Mettra, ou « Une Vie, une Œuvre » sous la direction de Michel Cazenave. Journaliste, il collabore à diverses revues.

Adaptation mutuelle, vie partagée, apprentissage de la langue et découverte culturelle, découvrez le récit d'expérience d'une famille qui, depuis début mai, accueille deux ukrainiennes dans sa maison d'Arradon, près de Vannes.

L'artiste Elisabeth Neumuller expose ses oeuvres au musée de la Cour d'or du 22 juin au 19 septembre 2022. L'exposition intititulée Illusions, chimères et bizarreries est une installation composée de 18 sculptures, 18 personnages inspirés par le monde des idées et la vie onirique à travers une esthétique issue des arts forains. Elle constitue un cabinet de curiosités du genre humain aux personnages extravagants, allégories et figures prophétiques, qui tous racontent le grande aventure de l’existence.
C'est une installation qui réunit art contemporain et art du cirque. Inspirés par la littérature, la philosophie, la musique, le monde du cirque et le quotidien, on y croise des êtres qui nous ressemblent. Jongleurs, acrobates, figures connues ou simples quidams, ils tentent de se maintenir, envers et contre tout, dans le fragile équilibre de la vie.

Climato-sceptique : "personne qui n'est pas convaincue qu'il y ait un réchauffement climatique, ou que celui-ci soit dû aux activités humaines". Même s'il existe aujourd'hui un large consensus scientifique sur la question, certains émettent encore des doutes au sujet du réchauffement de la planète. Comment leur répondre ? Quelle attitude ? Quels arguments ?

Belle rencontre avec une autrice messine dont c'est le premier roman. Le livre se passe en Moselle, au snowhall, à Amnéville, notamment.
Qui est Hélène Laurain? Originaire de Metz, cette jeune femme de 34 ans, petite-fille de l’ancien député et ministre socialiste Jean Laurain, est traductrice. Titulaire du master de création littéraire de Paris VIII, elle signe avec Partout le feu un premier roman parmi les plus remarqués de la rentrée de janvier.
Ça raconte quoi ? Un texte, en vers libres, retraçant le parcours de Laetitia, une jeune fille née dans l’Est de la France une poignée de minutes avant l’accident de Tchernobyl. Une plongée au cœur des activismes.

Nouvelle édition de Commune Planète axée sur la régulation des abeilles en villes animée aux côtés de l'apiculteur Romain Stiers.

Le compositeur, auteur et interprète Florian Claude sort son album ''Epitaphe'' en vinyle et cd. Pour Florian, la musique est un lien aux autres, une médiation, un chemin vers le meilleur de Soi. Ces sources d'inspiration sont sa famille, le deuil de ses parents, les bois de Marange-Silvange et de Norroy-le-Veneur en Moselle.
Le pouvoir de la musique c'est la liaison à tous.
C'est le lien à l'autre qui compte le plus.

Épitaphe raconte une histoire, celle que l'on est tous amenés à vivre. La perte, et surtout la reconstruction, l'acceptation de la place de ce vide dans nos vies jusqu'à en faire partie.

Marges des supermarchés, coopératives agricoles ou circuits courts (restauration collective, marchés, magasins de producteurs)... Comment trouver, localement, des accords commerciaux justes pour les agriculteurs ? Eléments de réponse avec Pierre-Yves Maret, co-porte-parole de la Confédération Paysanne en Ardèchet et producteur de fruits.

Cette semaine avec le street artiste messin Sébastien Siegwarth alias Esboner. Ses inspirations sont japonisantes, la culture du détail et de la ligne, mais aussi issue de la caricature sociale et de l’exagération des traits de la personnalité propre à l'école américaine. Arrivé par hasard dans le monde du graffiti à la fin des années 90, cette forme d’art va alors changer sa façon de dessiner. Il orientera son travail dans l’espace urbain, montrera son art et ses réflexions à tous, sans l’intermédiaire des galeries par le biais de collages qui embellissent l'espace public. La personnalisation du plateau de ses skate board est également arrivée tôt avec cet artiste, d’abord en tant qu’amateur lorsqu’il patinait plus jeune, puis professionnellement en tant qu’artiste de rue. Cela fait partie d’un processus de recyclage éthique; à partir d’objets qui n’ont plus leur fonction principale. Le skateboard est ensuite travaillé comme un objet d’art et rehaussé de son histoire, la tache colorée sur chaque planche montre l’endroit où la planche s’est cassée. Esboner travaille sur l’expression des sentiments universels, du doute, de la nostalgie, de la mélancolie ou même de la révolte, tous les paradoxes de l’être humain. Il travaille également sur de nombreux supports, exploitant les courbes, les angles comme à ses débuts dans le graff. « C’est le support qui m’apporte le dessin, c’est en l’observant que les idées grandissent ». Son travail est visible dans les rues de Metz, Paris et d'autres villes européennes. Il expose dans des galeries, et vend ses œuvres sur différents supports depuis son atelier de Metz.

Ariane et Henri Marès vivent depuis plusieurs années une conversion écologique. Avec leurs enfants, ils se sont installés au Moulin de Pinieux à Limerzel et transforment l'endroit en écolieu, propice à la décroissance, à la sauvegarde de la Création et à la vie chrétienne. Rencontre sur place, avec Henri Marès dans une édition présentée par Emilie Denizet.

Ou comment le monde de la gratuité gagne du terrain à Metz
Guillaume est un informaticien innovant qui, avec ses amis de l'association M Design, basée à TCRM Blida; a importé le concept écologique et solidaire de "repair café" à Metz depuis 2014. Il s'agit de proposer des réparations gratuites dans des lieux associatifs messins comme les centres sociaux-culturels de tous les objets électro-ménagers et informatiques en fonction des compétences des réparateurs bénévoles présents. Le but est de promouvoir un véritable éco-système convivial de limitation de l'obsolescence et du gâchis consuméristes, fondé sur une gratuité inconditionnelle et émancipatrice.
https://repaircafe.org/fr/a-propos/?gclid=Cj0KCQiAgP6PBhDmARIsAPWMq6lJ4PXnDUbCUtDZgcAklNW1xpi2RyXsIaQf45R_MAWjlWpDLwWSkYkaAjqGEALw_wcB

Jean-Pierre Chometon est directeur de la publication de la superbe revue Natives, la première revue française consacrée aux peuples racines. Il est le président de l'association Tchendukua, créée en 1995, qui accompagne les peuples indiens en Amérique du Sud, particulièrement les indiens Kogis du nord de la Colombie afin de racheter leurs milieux ancestraux, souvent expropriés, pour les leur restituer. Jean-Pierre se définit comme un amoureux de la vie dont le parcours spirituel a été marqué par les groupes Gurdjieff et la ferme volonté, en même temps que la nécessité intérieure, de s'ouvrir profondément à l'Autre dans ses dimensions subtiles et concrètes

Maxime est menuisier de formation mais c'est avant tout un créatif qui a réel engagement écologique et solidaire. Ces oeuvres sont fondées sur la récupération de skateboard dont il se sert comme support à ses oeuvres peintes ou la traçabilité écologique des bois qu'il utilise pour créer ses meubles innovants... Nous avons une fois de plus affaire à un passionné qui innove dans son domaine, à un véritable créateur qui est au carrefour de l'écologie, de la créativité et de la convivialité! Et ses créations s'en ressentent! https://www.facebook.com/mcconception.design/

Depuis les années 50, les pesticides de synthèse sont très utilisés en France, dans l'agriculture, les parcs et les jardins et aussi par les particuliers. Ces produits, qui ont pour fonction de tuer les champignons, les insectes ou les "mauvaises herbes", présentent également un risque toxique pour les êtres humains et pour l'environnement. De nombreuses études scientifiques en attestent aujourd'hui et il s'agit donc d'un problème de santé publique. Mais pouvons-nous vraiment nous en passer ? Pour en parler, Dorothée Falières reçoit Sylvie Dulong, œnologue et vigneronne en agriculture biologique.