Chaque mardi à 8h45, Guillaume Goubert et Simon de Monicault présentent une exposition ou un événement qui raconte l'histoire de l'art.
Le musée des Beaux Arts d'Orléans accueille l'artiste contemporain Pierre Buraglio pour célébrer par le dessin la richesse de ses collections.
Simon de Monicault revient de la Big Apple.La Frick Collection, un des incontournables musées new-yorkais, vient de rouvrir ses portes. On peut y admirer la remarquable collection d’un homme d’affaires très controversé. Parmi les œuvres emblématiques, des panneaux peints attribués à François Boucher.
Un excellent livre de Laurence Durieu qui vient de paraître aux éditions Fage et intitulé « Le Christ interdit ». Dès 1951, à la suite de violentes critiques, cette sculpture en bronze fut retirée du choeur et resta reléguée dans des locaux annexes pendant près de 20 ans. Un Christ qui fait scandale.
Simon de Monicault explique qu'un simple brin de paille peut devenir un matériau magique, sublimé par des mains expertes. Celles-ci furent longtemps celles des prisonniers et des bagnards. Rencontre entre l’histoire et de l’histoire de l’art.
Quand nous regardons une œuvre d’art, une peinture, une sculpture, une photo, est-il préférable que l’image soit bien nette ou au contraire floue ? Cette question est le ressort d’une passionnante exposition à Paris, intitulée « Dans le flou, une autre vision de l’art de 1945 à nos jours ». Elle se tient au Musée de l’Orangerie, un lieu qui n’est pas indifférent. Ce bâtiment, voisin de la place de la Concorde, héberge les vastes toiles des Nymphéas de Claude Monet qui sont, précisément un admirable exemple du flou en peinture.
Louis Cane a une œuvre polymorphe. Il est connu pour ses toiles qui ont marqué la peinture française des cinquante dernières années. Mais il a mené, parallèlement, un travail de création de meubles et objets d’art qui gagne à être célébré.
Simon de Monicault revient sur l'œuvre de l'artiste.
A partir de demain, les cardinaux vont se réunir à huis-clos dans la chapelle Sixtine afin d'élire le nouveau pape.
Les musées du Vatican se distinguent par la richesse inouïe de leurs collections. Parmi les chefs-d’œuvre conservés dans leurs murs, "La mise au tombeau" du Caravage. Ce tableau illustre la remarquable maîtrise des contrastes lumineux de ce peintre aussi admiré que controversé. Ironie de l’histoire, c’est grâce à Napoléon que ce tableau est visible au Vatican.
Tout au long de son pontificat, le pape François s'est inscrit dans l'histoire de l'art, en entretenant notamment une amitié avec les artistes. Sa contribution à l'art s’est manifestée d’abord par la profondeur de sa réflexion sur la vocation des artistes, mais aussi par des initiatives notables dans le domaine des arts plastiques.
Pour encore trois mois, on peut admirer au musée de Laval l'un des tableaux les plus importants du XXe siècle, un chef-d’œuvre du Douanier Rousseau. Cet accrochage inattendu s’explique par le thème de ce musée qui fait l’éloge de l’anticonformisme.
Cap vers le château de Chambord. A priori, ce magnifique palais royal du XVIe siècle ne semble pas le lieu idéal pour accueillir de l’art sacré, qui plus est sous forme de vitraux contemporains conçus par un prêtre dominicain. Pourtant, l’alchimie fonctionne. Cette exposition des œuvres de Kim En Joong, né en Corée il y a 84 ans, mérite vraiment le détour.
En 1910, une toile fait sensation au Salon des indépendants. D’autant plus que le manifeste qui l’accompagne fait la promotion d’un nouveau mouvement, l’excessivisme. Dans cette histoire abracadabrantesque, il est question d’un journaliste, de fous rires, d’un cabaret et même d’un âne.
Aujourd'hui, Guillaume Goubert revient sur la figure de Geneviève Asse, qui a donné son nom à une couleur le bleu Asse.
De Palerme à Maastricht, itinéraire d’un trésor. La TEFAF (the european fine art fair), plus grande foire d’art au monde, se tient actuellement à Maastricht. Parmi les chefs d’œuvre exposés, une tenture en argent et en corail illustre les fastes de la Sicile au XVIIIe siècle.
Aujourd’hui, Guillaume Goubert revient sur la façon dont le pouvoir nazi s’est attaqué aux artistes.
"Les artistes et la France 1939-1945", tel est le titre de l’exposition qui vient d’ouvrir ses portes au musée de l’armée. L’œuvre la plus emblématique est un mobile de l’américain Alexander Calder, artiste qui a révolutionné la sculpture. Véritable métaphore, cette œuvre reflète l’engagement d’un des plus grands artistes du XXe siècle.
Aujourd’hui, Guillaume Goubert nous en apprend plus sur un tissu typiquement africain, le wax, à l’occasion d’une remarquable exposition qui se tient au Musée de l’Homme à Paris.
Dans les collections du plus grand musée américain, le précieux buste d’une princesse africaine révèle bien des mystères. La provenance et l’usage de cette sculpture sont des plus inattendus. Un objet d'art français au cœur de la Big Apple.
Aujourd'hui, Guillaume Goubert présente la nouvelle exposition de la Bibliothèque nationale de France sur l'Apocalypse d'hier et de demain se tenant à Tolbiac dans le 13ème arrondissement de Paris. Cette institution était certainement la mieux placée pour présenter des oeuvres évoquant ce dernier texte du Nouveau Testament particulièrement habité par les symboles et les images. Cette exposition mêlant tradition et modernité.
L’arrivée, hier, du nouveau président américain à la Maison-Blanche est une bonne occasion de revenir sur une époque où le président des États-Unis faisait appel à un décorateur français pour en rénover les intérieurs. Entre 1961 et 1967, c’est la célèbre maison Jansen et son brillant directeur, Stéphane Boudin, qui redécorent ce haut lieu du pouvoir.
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