C'est notre histoire
Émission présentée par Laetizia Puccio, Bernard Wilkin
Bernard Wilkin et Laetizia Puccio, historiens et archivistes de l'Etat, nous plongent dans des sujets d’Histoire locale, nationale ou internationale. Pour approfondir certaines thématiques, ils invitent des spécialistes de notre passé commun et nous font vivre ou revivre des événements à travers les témoignages récoltés.
Retrouvez C'est notre histoire en radio sur RCF Liège le mardi à 16h30 et en rediffusion le même jour à 22h30.
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Rencontre avec Philippe Denis, dominicain et historien (3)
10 octobre 20242024 est placée sous le signe de la commémoration. L’année 1994 signe en effet la mort de plus de 800 000 rwandais, majoritairement Tutsis mais aussi des Hutus modérés. Trente ans plus tard, plusieurs publications ont vu le jour pour faire mémoire à ce tragique évènement, un génocide des plus meurtriers du 20e siècle.
Philippe Denis, dominicain, historien liégeois et professeur émérite de l’histoire du christianisme à l’Université du KwaZulu-Natal en Afrique du Sud (1993), sort un ouvrage où est examinée l’attitude – qualifiée d’ambigüe – de l’Église catholique et de l’Église presbytérienne face au génocide. Derrière le micro, ce Liégeois d’origine nous entretient sur son parcours mêlant les études d’histoire, de théologie et l’entrée dans l’ordre des Frères Prêcheurs. Après sa thèse portant sur ""Les Églises d’étrangers en pays rhénans (1538-1564)"" et ses premiers jobs en tant qu’archiviste à la Jeunesse Ouvrière Chrétienne de Belgique (1984-1988) et que chroniqueur religieux au journal Le Soir de Bruxelles (1985-1989), il part pour l’Afrique du Sud en 1989. Il conjugue depuis une carrière universitaire (1993) et un engagement humanitaire pour venir en aide, principalement, aux enfants atteints du sida. Père d’adoption et aimant voyager, Ph. Denis nous raconte ses liens avec le Rwanda et comment, en tant qu’historien, il a étudié et abordé la question du génocide.
Ph. DENIS, « Le génocide des Tutsis et les églises rwandaises. Entre deuil et déni », Karthala, 2024.Rencontre avec Philippe Denis , dominicain et historien (2)
3 octobre 20242024 est placée sous le signe de la commémoration. L’année 1994 signe en effet la mort de plus de 800 000 rwandais, majoritairement Tutsis mais aussi des Hutus modérés. Trente ans plus tard, plusieurs publications ont vu le jour pour faire mémoire à ce tragique évènement, un génocide des plus meurtriers du 20e siècle.
Philippe Denis, dominicain, historien liégeois et professeur émérite de l’histoire du christianisme à l’Université du KwaZulu-Natal en Afrique du Sud (1993), sort un ouvrage où est examinée l’attitude – qualifiée d’ambigüe – de l’Église catholique et de l’Église presbytérienne face au génocide. Derrière le micro, ce Liégeois d’origine nous entretient sur son parcours mêlant les études d’histoire, de théologie et l’entrée dans l’ordre des Frères Prêcheurs. Après sa thèse portant sur ""Les Églises d’étrangers en pays rhénans (1538-1564)"" et ses premiers jobs en tant qu’archiviste à la Jeunesse Ouvrière Chrétienne de Belgique (1984-1988) et que chroniqueur religieux au journal Le Soir de Bruxelles (1985-1989), il part pour l’Afrique du Sud en 1989. Il conjugue depuis une carrière universitaire (1993) et un engagement humanitaire pour venir en aide, principalement, aux enfants atteints du sida. Père d’adoption et aimant voyager, Ph. Denis nous raconte ses liens avec le Rwanda et comment, en tant qu’historien, il a étudié et abordé la question du génocide.
Ph. DENIS, « Le génocide des Tutsis et les églises rwandaises. Entre deuil et déni », Karthala, 2024.Rencontre avec Philippe Denis, dominicain et historien (I)
26 septembre 20242024 est placée sous le signe de la commémoration.
L’année 1994 signe en effet la mort de plus de 800 000 rwandais, majoritairement Tutsis mais aussi des Hutus modérés. Trente ans plus tard, plusieurs publications ont vu le jour pour faire mémoire à ce tragique évènement, un génocide des plus meurtriers du 20e siècle.
Philippe Denis, dominicain, historien liégeois et professeur émérite de l’histoire du christianisme à l’Université du KwaZulu-Natal en Afrique du Sud (1993), sort un ouvrage où est examinée l’attitude – qualifiée d’ambigüe – de l’Église catholique et de l’Église presbytérienne face au génocide. Derrière le micro, ce Liégeois d’origine nous entretient sur son parcours mêlant les études d’histoire, de théologie et l’entrée dans l’ordre des Frères Prêcheurs. Après sa thèse portant sur ""Les Églises d’étrangers en pays rhénans (1538-1564)"" et ses premiers jobs en tant qu’archiviste à la Jeunesse Ouvrière Chrétienne de Belgique (1984-1988) et que chroniqueur religieux au journal Le Soir de Bruxelles (1985-1989), il part pour l’Afrique du Sud en 1989. Il conjugue depuis une carrière universitaire (1993) et un engagement humanitaire pour venir en aide, principalement, aux enfants atteints du sida. Père d’adoption et aimant voyager, Philippe Denis nous raconte ses liens avec le Rwanda et comment, en tant qu’historien, il a étudié et abordé la question du génocide.
Philippe DENIS, « Le génocide des Tutsis et les églises rwandaises. Entre deuil et déni », Karthala, 2024.
"Laurent Brück et la ville de Liège (II)
19 septembre 2024Passionné par le fait urbain, géographe de formation, Laurent Brück est une figure connue à la ville de Liège. Auteur de deux ouvrages et de nombreuses contributions, il écrit « le choix des études de géographie a été particulièrement motivé par le fait que cette formation légitime, voire encourage, ce sain « défaut » qu’est la curiosité ». En sa qualité d'urbaniste au sein du Département de l’Urbanisme de la Ville de Liège et conseiller en aménagement du territoire, le patrimoine n’a aucun secret pour lui. Par ailleurs, guide-conférencier et formateur pour les futurs guides touristiques, ses balades vous plongent dans l’histoire, de la grande Histoire aux anecdotes en passant surtout par l’architecture et l’histoire de l’art. Nous vous recommandons pour les amateurs de photographie ancienne : Liège années 50. Le paysage urbain et son évolution en 300 photographies d’époque, éditions de la Province de Liège, 2019 ; et pour les amoureux des quartiers des Vennes-Fetinne : Vennes Fetinne : promenades patrimoniales dans Liège, ALTURA, 2023.Laurent Brück et la ville de Liège (1/2)
12 septembre 2024Passionné par le fait urbain, géographe de formation, Laurent Brück est une figure connue à la ville de Liège. Auteur de deux ouvrages et de nombreuses contributions, il écrit « le choix des études de géographie a été particulièrement motivé par le fait que cette formation légitime, voire encourage, ce sain « défaut » qu’est la curiosité ». En sa qualité d'urbaniste au sein du Département de l’Urbanisme de la Ville de Liège et conseiller en aménagement du territoire, le patrimoine n’a aucun secret pour lui. Par ailleurs, guide-conférencier et formateur pour les futurs guides touristiques, ses balades vous plongent dans l’histoire, de la grande Histoire aux anecdotes en passant surtout par l’architecture et l’histoire de l’art. Nous vous recommandons pour les amateurs de photographie ancienne : Liège années 50. Le paysage urbain et son évolution en 300 photographies d’époque, éditions de la Province de Liège, 2019 ; et pour les amoureux des quartiers des Vennes-Fetinne : Vennes Fetinne : promenades patrimoniales dans Liège, ALTURA, 2023.Les Archives font leur rentrée
5 septembre 2024Les Archives font leur rentrée, c’est l’occasion de dresser un topos des activités du dépôt des Archives de l'Etat à Liège pour les mois à venir, qui, la plupart du temps, sont en connexion directe avec les actualités historiques et culturelles régionales. Laetizia reviendra sur l'historique du centre d'archives et de son asbl CELIDA (Centre liégeois de documentation archivistique) dont l'objectif principal est de mettre en avant l’histoire, la généalogie et le patrimoine liégeois. La table des matières du 4e numéro de la "Revue d’Histoire liégeoise" sera dévoilé et un numéro spécial sera présenté puisque 2025 signe le 230e anniversaire de la fin de la principauté de Liège.Un génocide en héritage (II)
6 août 2024Donatille Karurenzi, rescapée du génocide de 1994 et co-autrice d' "Un génocide en héritage", revient sur son parcours dans le Rwanda raciste et sur son expérience de survivante durant les massacres.La condition juridique des femmes à Liège sous l'Ancien Régime (2/2)
2 juillet 2024L’histoire des femmes peut nous embraquer dans bien des directions. À travers le parcours et les recherches doctorales d’une juriste et historienne du droit de l’Université de Liège, la condition juridique des liégeoises d’Ancien Régime est à l’honneur. Marie-Sophie Silan, aspirante du F.R.S.-FNRS, signe une thèse intitulée "La veuve, l’épouse et le notaire. Une histoire de la condition juridique des femmes à Liège. Du droit à la pratique (16e et 17e siècle) ". Durant quatre années, à force de détermination et de courage, la lecture et l’analyse de plus d’un millier d’actes, dénommés convenances et testaments, enregistrés par la Souveraine Justice des Échevins de Liège ont permis à la chercheuse de proposer un travail totalement original sur le statut des jeunes filles, des épouses et des veuves en principauté de Liège.La condition juridique des femmes à Liège sous l'ancien régime (1/2)
25 juin 2024Marie-Sophie Silan, juriste et historienne du droit, est l'invitée de Laetizia Puccio pour ce premier volet dédié à la condition juridique des femmes sous l'ancien régime. "La veuve, l'épouse et le notaire. Une histoire de la condition juridique des femmes à Liège, du droit à la pratique entre les 16e et 17e siècles." est le titre de la thèse de doctorat de notre invitée."Art public et controverses (XIXe-XXIe siècle)" rencontre avec Julie Bawin (II)
21 mai 2024Avec « Art public et controverses (XIXe-XXIe siècle) », Julie Bawin s’essaye à « Un champ aussi vaste que difficilement définissable (p. 21) » auquel peu de chercheurs se sont risqués.
Après des études en histoire de l’art à l’Université de Liège, un DEA à l’Université Paris 1-Sorbonne et une thèse soutenue en 2004 à l’Institut national d’Histoire de l’art à Paris dans le cadre d’une cotutelle entre l’Université de Liège et l’Université Paris 1-Sorbonne, Julie Bawin a été successivement Chargée de recherche FNRS, Première assistante et Cheffe de travaux à l’Université de Liège. Spécialisée dans l’étude des collections et des expositions d’artistes, elle publie, en 2014, aux Éditions des archives contemporaines à Paris, un ouvrage de référence sur l’histoire des expositions d’artistes. Julie Bawin est également, depuis 2017, Directrice du Musée d’art contemporain en plein air du Sart-Tilman.
Dans « Art public et controverses (XIXe-XXIe siècle) », il est question de l’art public autorisé (en opposition à l’art public non-programmé), un art qui ne répond à aucun contexte d’exposition (salons, galeries ou musées). Cet ouvrage parce qu’il traite de l’art dans la sphère et les lieux publics ouvre le débat autour de sujets d’actualité très sensibles que cristallise la notion de controverses, à savoir la censure, le scandale, l’iconoclasme et le vandalisme étudiés entre la fin du 19e siècle et jusqu’aux évènements tout récents du 21e siècle."Art public et controverses", rencontre avec Julie Bawin (1)
14 mai 2024Avec « Art public et controverses (XIXe-XXIe siècle) », Julie Bawin s’essaye à « Un champ aussi vaste que difficilement définissable (p. 21) » auquel peu de chercheurs se sont risqués.
Après des études en histoire de l’art à l’Université de Liège, un DEA à l’Université Paris 1-Sorbonne et une thèse soutenue en 2004 à l’Institut national d’Histoire de l’art à Paris dans le cadre d’une cotutelle entre l’Université de Liège et l’Université Paris 1-Sorbonne, Julie Bawin a été successivement Chargée de recherche FNRS, Première assistante et Cheffe de travaux à l’Université de Liège. Spécialisée dans l’étude des collections et des expositions d’artistes, elle publie, en 2014, aux Éditions des archives contemporaines à Paris, un ouvrage de référence sur l’histoire des expositions d’artistes. Julie Bawin est également, depuis 2017, Directrice du Musée d’art contemporain en plein air du Sart-Tilman.
Dans « Art public et controverses (XIXe-XXIe siècle) », il est question de l’art public autorisé (en opposition à l’art public non-programmé), un art qui ne répond à aucun contexte d’exposition (salons, galeries ou musées). Cet ouvrage parce qu’il traite de l’art dans la sphère et les lieux publics ouvre le débat autour de sujets d’actualité très sensibles que cristallise la notion de controverses, à savoir la censure, le scandale, l’iconoclasme et le vandalisme étudiés entre la fin du 19e siècle et jusqu’aux évènements tout récents du 21e siècle.Liège dans le cinéma (2)
7 mai 2024Un confinement, une curiosité d’historien, une passion pour les films, une compilation qui n’en finit pas… Liège en toile de fond. Alexandre Alvarez, attaché au Trésor de Liège, vient partager avec nous son expérience. Du blockbuster aux films d’auteurs en passant par des comédies romantiques ou dramatiques, Liège n’a pas fini de figurer dans des productions cinématographiques. Pourquoi ? Découvrez-le en nous écoutant !Un génocide en héritage (III)
23 avril 2024Donatille Karurenzi, rescapée du génocide de 1994 et co-autrice d' "Un génocide en héritage", revient sur son parcours dans le Rwanda raciste et sur son expérience de survivante durant les massacres.Un génocide en héritage (I)
9 avril 2024Dans cette émission, Bernard Wilkin revient sur l'histoire mouvementée du Rwanda depuis la présence coloniale belge jusqu'à la révolution sociale de 1959 et les prémices du génocide perpetré contre les Tutsis. Trente ans après les faits, il récolte les témoignages de rescapés vivant en Belgique et publie un magnifique et poignant ouvrage, donnant la parole à ces hommes et ces femmes qui, aujourd'hui encore, tentent de se reconstruire.Alain Colignon (3)
2 avril 2024Arrivé à l'âge de la pension, Alain Collignon (1959) fait un retour sur sa carrière d'historien. Licencié-agrégé en histoire de l’université de Liège (1981) et bibliophile éclectique, il entre en 1989 au Ceges, futur CegeSoma (le Centre d’études, guerres et sociétés contemporaines). A partir de 1992, il occupe le poste de responsable de la bibliothèque qui, depuis un demi-siècle, constitue un des piliers majeurs de cette institution. Alain Colignon débute ses recherches sur la médecine sociale et se spécialise, une fois au Ceges, en géopolitique, dans l’étude des mouvements identitaires, la radicalité de droite et de gauche durant l’entre-deux-guerres mais aussi dans l’histoire de la Collaboration, de la Résistance et de la vie quotidienne en 14-18 et en 39-45. Il est également attaché à des travaux d’ethnographie régionale et de philologie wallonne.Alain Colignon (2)
26 mars 2024Arrivé à l'âge de la pension, Alain Collignon (1959) fait un retour sur sa carrière d'historien. Licencié-agrégé en histoire de l’université de Liège (1981) et bibliophile éclectique, il entre en 1989 au Ceges, futur CegeSoma (le Centre d’études, guerres et sociétés contemporaines). A partir de 1992, il occupe le poste de responsable de la bibliothèque qui, depuis un demi-siècle, constitue un des piliers majeurs de cette institution. Alain Colignon débute ses recherches sur la médecine sociale et se spécialise, une fois au Ceges, en géopolitique, dans l’étude des mouvements identitaires, la radicalité de droite et de gauche durant l’entre-deux-guerres mais aussi dans l’histoire de la Collaboration, de la Résistance et de la vie quotidienne en 14-18 et en 39-45. Il est également attaché à des travaux d’ethnographie régionale et de philologie wallonne.Alain Colignon (1)
19 mars 2024Arrivé à l'âge de la pension, Alain Collignon (1959) fait un retour sur sa carrière d'historien. Licencié-agrégé en histoire de l’université de Liège (1981) et bibliophile éclectique, il entre en 1989 au Ceges, futur CegeSoma (le Centre d’études, guerres et sociétés contemporaines). A partir de 1992, il occupe le poste de responsable de la bibliothèque qui, depuis un demi-siècle, constitue un des piliers majeurs de cette institution. Alain Colignon débute ses recherches sur la médecine sociale et se spécialise, une fois au Ceges, en géopolitique, dans l’étude des mouvements identitaires, la radicalité de droite et de gauche durant l’entre-deux-guerres mais aussi dans l’histoire de la Collaboration, de la Résistance et de la vie quotidienne en 14-18 et en 39-45. Il est également attaché à des travaux d’ethnographie régionale et de philologie wallonne.Les noms de rues à Liège
12 mars 2024Comment nommer une rue dans l'Ancien Régime ? Quels changements lors de l'annexion française et des réformes communales du 19e et 20e siècle ? Un historique des rues de Liège montre quels sont les noms privilégiés et une évolution vers une "féminisation" de ces dénominations, preuve que les lieux où nous habitons font également partie de notre histoire.Liège et son histoire en compagnie du professeur Bruno Demoulin III
5 mars 2024S’il est une personnalité qui incarne Liège, son histoire comme son tempérament, c’est bien celle de Bruno Demoulin. Bruno Demoulin a été durant près de 30 ans professeur à l’Université de Liège. Il a assuré le cours d’Histoire de la principauté de Liège mais aussi les cours d’Histoire culturelle de la Wallonie, des Relations internationales aux Temps modernes et d’Histoire du livre et des bibliothèques. Véritable Liégeois, il a également été directeur de la bibliothèque publique des Chiroux-Croisiers puis directeur général de la Culture à la Province de Liège. Une double casquette qui donne à sa carrière un parfum original mêlant l’histoire, la recherche et la culture. Soucieux de promouvoir les plus jeunes, de diffuser et de mieux faire connaître l’histoire liégeoise, il montre un attachement tout particulier à son Université. À l’occasion de son départ à la retraire de cette même institution, un ouvrage justement intitulé « Passions liégeoises » lui a été offert par 37 contributeurs, collègues et amis. C’est avec sa voix légendaire que Bruno Demoulin retrace sur les ondes de RCF les grands faits de l’histoire liégeoise.
À ses côtés, quelques livres dont deux références en la matière : « Histoire de la principauté de Liège », ouvrage écrit en collaboration avec le professeur Jean-Louis Kupper en 2002 et « Histoire de Liège : une cité, une capitale, une métropole », magnifique somme sortie en 2017 et traduite dans quatre langues.Liège et son histoire en compagnie du professeur Bruno Demoulin II
27 février 2024S’il est une personnalité qui incarne Liège, son histoire comme son tempérament, c’est bien celle de Bruno Demoulin.
Bruno Demoulin a été durant près de 30 ans professeur à l’Université de Liège. Il a assuré le cours d’Histoire de la principauté de Liège mais aussi les cours d’Histoire culturelle de la Wallonie, des Relations internationales aux Temps modernes et d’Histoire du livre et des bibliothèques. Véritable Liégeois, il a également été directeur de la bibliothèque publique des Chiroux-Croisiers puis directeur général de la Culture à la Province de Liège. Une double casquette qui donne à sa carrière un parfum original mêlant l’histoire, la recherche et la culture. Soucieux de promouvoir les plus jeunes, de diffuser et de mieux faire connaître l’histoire liégeoise, il montre un attachement tout particulier à son Université. À l’occasion de son départ à la retraite de cette même institution, un ouvrage justement intitulé « Passions liégeoises » lui a été offert par 37 contributeurs, collègues et amis.
C’est avec sa voix légendaire que Bruno Demoulin retrace sur les ondes de RCF les grands faits de l’histoire liégeoise. À ses côtés, quelques livres dont deux références en la matière : « Histoire de la principauté de Liège », ouvrage écrit en collaboration avec le professeur Jean-Louis Kupper en 2002 et « Histoire de Liège : une cité, une capitale, une métropole », magnifique somme sortie en 2017 et traduite dans quatre langues.
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