Le sermon sur la montagne, des clefs de compréhension par le Dr Emmet Fox-Part 1

Bonjour,
Une chronique qui touche tous les niveaux de notre être. Le sermon sur la montagne ne laisse aucun lecteur chrétien ou non indifférent et le Dr Emmet Fox a, à mon sens, su merveilleusement nous le traduire et l’interpréter. Comme il le dit lui-même en préambule « Affirmez que la Sagesse Divine vous illumine » est  une bonne façon d’être inspiré. J’ajouterai, quoique vous lisiez ou écoutiez, accueillez ce qui résonne en vous et  Dieu fera le reste !

Je vous invite à lire le livre dans son entièreté pour une meilleure compréhension et un approfondissement plus pertinent. Vous donnez envie de le lire est une gageure en 14 mn. J’ai découpé en 3 chroniques la 1ère partie du livre qui traite les 8 premières béatitudes.
Dans cette 1ière partie, je vous propose un résumé de l’introduction du livre du Dr E. Fox « Le sermon sur la montagne, les clés du succès dans la vie », afin de comprendre le cheminement de l’inspiration du Dr Emmet Fox.

Je résume  également l’interprétation que le Dr E. Fox donne de la 1ière béatitude bien qu’il m’en est coûté car chaque phrase est d’importance.

Qui est le Dr Emmet Fox ? Il est né en Ireland en juillet 1886, il fit ses études en Angleterre, étudia au Collège jésuite de Stamford Hill et devint ingénieur électricien. Il découvrit qu’il pouvait soigner les gens, il apprit avec Thomas Troward. Il partit aux Etats Unis et devint ministre de l’Eglise du Christ Guérisseur à New York. Il était très populaire et donnait de nombreuses conférences dans tout le pays. Il fut ordonné dans la branche de la Science Divine de la Nouvelle Pensée. Il écrivit de nombreux livres qui connurent un grand succès, succès qui perdure toujours car ses écrits s’ouvrent à tous, athées ou non,  quel que soit l’horizon philosophique,  spirituel, religieux ou les traditions observées par le lecteur.
Il mourut en France en août 1951.

Il nous rappelle que la Bible n’est pas un ouvrage théologique mais au contraire elle enseigne que nous sommes essentiellement spirituels et éternels et que nous ne sommes pas prédestinés aux tourments éternels.  

Jésus nous avertit, pas une fois mais très souvent, que s’obstiner dans le péché peut entrainer une punition très sévère et qu’un homme qui se sépare de l’intégrité de son âme, même s’il possède le monde entier, est tragiquement un imbécile.

Jésus enseigna que nous ne sommes punis que pour, et en fait punis que par nos propres erreurs.
Jésus enseigna que chaque homme ou femme, aussi imprégné soit-il par le mal et les impuretés, a toujours un accès direct à un Dieu-Père tout-aimant et tout-puissant, qui lui pardonnera et lui fournira sa propre force pour lui permettre de se retrouver, et jusqu’à soixante-dix fois sept, s’il le faut.

Pendant toute la vie publique de Jésus, il fut en guerre avec les ecclésiastiques et autres religieux officiels dans son propre pays.
Il n’autorisait pas les hiérarchies et les rituels et était anti-ecclésiastique.

Jésus a  mis un point d'honneur particulier à décourager l'accent mis sur les observances extérieures et en fait, sur des règles et des règlements stricts de toutes sortes. Ce sur quoi il insistait, c'était un certain esprit dans la conduite, et il prenait soin de n'enseigner que des principes, sachant que lorsque l'esprit a raison, les détails prendront soin d'eux-mêmes : « la lettre tue, mais l'esprit donne la vie ».

La Sagesse Divine est l’auteur de la Bible.

La parabole est utilisée pour transmettre la vérité spirituelle, métaphysique et psychologique. 

L’ensemble du monde extérieur – que ce soit le corps physique, les choses communes de la vie, les vents et la pluie, les nuages, la terre elle-même – se prête à la pensée de l'homme, et qu'il en a la  domination quand il le sait.

Le monde extérieur, loin d'être la prison des circonstances qu'il est communément censé être, n'a en fait aucun caractère propre, qu'il soit bon ou mauvais. Il n'a que le caractère que nous lui donnons par notre propre pensée, il est naturellement plastique à notre pensée, et il en est ainsi, que nous le sachions ou non, et que nous le souhaitions ou non.

Toute la journée, les pensées qui occupent notre esprit, notre Lieu Secret, comme Jésus l'appelle, façonnent notre destinée pour le bien ou le mal ; en fait, la vérité est que toute l'expérience de notre vie n'est que l'expression extérieure de la pensée intérieure. A titre personnel, j’ajoute que cette phrase est à elle seule tout un enseignement !

Jésus nous indique clairement tout au long de son enseignement que le temps est venu pour l'homme de faire de chaque jour un sabbat spirituel en conscience  et en faisant toutes choses à la lumière spirituelle.

Jésus ne s'intéressait pas aux croyances et aux superstitions actuelles de son temps, qu'il les tenait plus ou moins pour acquis passivement parce que ce qui l'intéressait vraiment, c'était le caractère, caractère qui doit inclure des croyances et des convictions précises sur des sujets qui importent.

Quant aux miracles, ils se sont produits.

Toutes les actions liées à Jésus dans les quatre Évangiles se sont produites, et beaucoup d'autres aussi. Il est allé plus loin et a dit, se référant à ceux qui étudient et pratiquent son enseignement : « Les œuvres que je fais, vous les ferez, et encore plus grandes. »

Si quelqu'un peut élever sa conscience au-dessus des limites du plan physique en relation avec sa problématique – et ce n'est qu'une description scientifique de ce qu'on appelle communément la prière – alors les conditions sur ce plan changeront, et, d'une manière totalement imprévue et normalement impossible, la tragédie ou la difficulté disparaîtra, et à l'avantage, qu'il soit noté, de toutes les parties à l'affaire,  ou que le patient sera guéri au lieu d'avoir à subir l'opération, ou d'avoir à mourir.
En d'autres termes, les miracles, au sens populaire du terme, peuvent se produire et se produisent à la suite de la prière.

La prière change les choses.

La prière fait que les choses se produisent tout à fait autrement qu'elles ne se seraient produites si la prière n'avait pas été faite. Cela ne fait aucune différence quel genre de difficulté vous pourriez rencontrer. Peu importe les causes à l’origine des effets. La prière vous sortira de votre difficulté si seulement vous êtes assez persévérant dans votre appel à Dieu.

La prière, cependant, est à la fois une science et un art, et c'est à l'enseignement de cette science et de cet art que Jésus a consacré la plus grande partie de son ministère « Qu’il en soit fait selon ta foi ».
Les miracles de l'Évangile se sont produits parce que Jésus avait la compréhension spirituelle qui lui a donné plus de pouvoir dans la prière que quiconque avant ou depuis.

A nous de choisir nos pensées et les sentiments qui y sont associés. Sans entrer dans les querelles de chapelles de savoir si nous disposons d’un libre arbitre ou non, il est certain que nous avons le pouvoir de choisir nos pensées. J’ajoute que cela demande beaucoup de vigilance, de volonté et du désir de dépasser ses limitations. Cela exige aussi un travail intérieur sérieux.

C’est en essence l’enseignement de Jésus. C'est, comme nous le verrons, le message sous-jacent de toute la Bible

 mais il n'est pas exprimé avec la même clarté tout au long des textes. Dans la première partie du livre de la Bible, il apparait faiblement, comme la lumière d'une lampe fortement enveloppée. Au fil du temps, voile après voile la lumière brille de plus en plus fort  jusqu'à ce que l'enseignement de Jésus-Christ se répande clairement et sans entrave.
La vérité ne change jamais, mais ce à quoi nous devons faire face sur ce plan, c'est l'appréhension de la Vérité par l'homme, et, tout au long du temps historique, cela s'est amélioré régulièrement et continuellement. En fait, ce que nous appelons le progrès n'est que l'expression extérieure correspondant à l'idée de Dieu qui s'améliore continuellement dans l'humanité.
Jésus-Christ a résumé cette Vérité, l'a enseignée complètement et en profondeur et, surtout, l'a démontrée en sa propre personne.

Accepter la Vérité est le premier grand pas, mais ce n'est que lorsque nous avons prouvé la Vérité que nous la faisant nôtre.
Jésus a prouvé tout ce qu'il a enseigné, en surmontant toutes sortes de limitations auxquelles l'humanité est soumise, et en particulier en surmontant la mort, a accompli une œuvre d'une valeur unique et incalculable pour la race humaine, et est donc à juste titre appelé le Sauveur du monde.

Chaque fois que vous surmontez une difficulté par la prière, vous aidez l'ensemble de la race humaine, passée, présente et future, d'une manière générale et vous l'aidez à surmonter le genre particulier de difficulté que vous avez dépassé.

C’est Matthieu qui nous donne la version la plus complète.

Sa présentation du Sermon sur la montagne est une codification presque parfaite de l’enseignement de Jésus-Christ, raison pour laquelle le Dr Emmet Fox a choisi ce texte pour son livre car il couvre l'essentiel.

L’enseignement commence ainsi dans Mathieu V :

« Voyant les foules, il monta sur la montagne. Lorsqu’il se fut assis, ses disciples s’approchèrent de lui, et ouvrant la bouche, il les enseignait ».
Et le sermon commence par les 8 Béatitudes qui ne sont pas souvent bien comprises par manque d’une clé, la clé spirituelle, dit le Dr E. FOX.

Les Béatitudes sont en fait un poème en prose en huit vers complet en soi, et il constitue ce qui est pratiquement un résumé général de tout l'enseignement chrétien. C'est un synopsis spirituel, plus qu'un synopsis littéraire, résumant l'esprit de l'enseignement plutôt que la lettre. Un résumé général, comme celui-ci, est très caractéristique de l'ancien mode oriental d'approche d'un enseignement religieux et philosophique, et il rappelle naturellement le Chemin octuple du bouddhisme, les Dix Commandements de Moïse et d'autres groupes d'idées compacts.

Jésus s'occupait exclusivement de l'enseignement des principes généraux, et ces principes généraux avaient toujours à voir avec les états mentaux, car il savait que si les états mentaux d'une personne sont bons, tout le reste doit être juste aussi, alors que, si ceux-ci sont mauvais, rien d'autre ne peut être juste.
Contrairement aux autres grands enseignants religieux, il ne nous donne aucune instruction détaillée sur ce que nous devons faire ou ne pas faire; il ne nous dit pas quoi manger ou boire, ni de nous abstenir de manger ou de boire certaines choses; ou d'effectuer diverses observances rituelles à certains moments et à certaines saisons.
En effet, tout le courant de son enseignement est anti-ritualiste, anti-formaliste. Il n’a jamais montré de la patience avec la prêtrise juive et sa théorie du salut à travers les observances du Temple.
«Dieu est esprit et ceux qui l'adorent doivent L'adorer en esprit et en vérité. »

Les pharisiens, avec leur code épouvantable d'observances extérieures détaillées, étaient les seuls à l'égard desquels il était vraiment intolérant. Leurs observances étaient très très nombreuses et ne pas pouvoir toutes les observer donnait aux croyants le sentiment d’être pécheur. Et se croire pécheur, c'est être pécheur, avec toutes les conséquences que cela implique.

Un pharisien consciencieux de cette époque – et la plupart d'entre eux étaient extrêmement consciencieux, selon leurs lumières et compréhension– avait un nombre énorme de détails extérieurs à observer chaque jour avant de pouvoir sentir qu'il avait satisfait aux exigences de Dieu. Un rabbin moderne a estimé le nombre de ces détails à pas moins de six cents, et comme il est évident qu'aucun être humain ne pouvait vraiment effectuer ce genre de chose dans la pratique, le résultat naturel est de devenir victime, avec la conscience d'être loin de pouvoir accomplir ses devoirs, et de devoir travailler nécessairement avec un sens chronique du péché.

La politique de Jésus contraste avec cela en ce que son objectif est plutôt de sevrer le cœur d’avoir à compter sur des choses extérieures, soit pour une gratification agréable, soit pour le salut spirituel, et d'inculquer une nouvelle attitude d'esprit, politique exposé dans les Béatitudes.

La 1ère béatitude « Bienheureux les humbles en esprit, car c’est à eux qu’est le royaume des cieux »

Dès le tout début de cette phrase, nous devons prendre en compte un point d'une grande importance pratique dans l'étude de la Bible, à savoir, qu’elle  est écrite dans un idiome particulier qui lui est propre, et que les termes et expressions, et parfois les mots réels, sont utilisés dans un sens qui est nettement différent de celui de l'usage quotidien.
La Bible est vraiment un manuel de métaphysique et de psychologie pratique, un manuel pour la croissance de l'âme, et elle examine toutes les questions de ce point de vue. Il est impossible de ne pas trop insister sur ce point.
Par exemple, le mot « pain » dans la Bible signifie non seulement n'importe quel type de nourriture physique, qui est l'interprétation la plus large qui y est donnée dans la littérature générale, mais toutes les choses dont l'homme a besoin – toutes les choses physiques, comme les vêtements, le logement, l'argent, l'éducation, la compagnie, et ainsi de suite ; et surtout, le « pain » concerne des choses spirituelles telles que la perception spirituelle, la compréhension spirituelle et principalement la réalisation spirituelle. « Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien. » « Je suis le pain de vie. » « À moins que vous ne mangiez de ce pain... ».

Un autre exemple avec le mot « prospérité ». Au sens scriptural, « prospérité » et « prospérer » signifient beaucoup plus que l'acquisition de biens matériels. Ils signifient vraiment le succès dans la prière. Du point de vue de l'âme, le succès dans la prière (la pratique de la Présence de Dieu) est le seul type de prospérité qui vaille la peine d'être; et si nos prières sont couronnées de succès, nous aurons naturellement toutes les choses matérielles dont nous avons besoin.

Une certaine quantité de biens matériels est essentielle sur ce plan, bien sûr, mais la richesse matérielle est vraiment la chose la moins importante dans la vie, et c'est ce que la Bible implique en donnant au mot « prospère » son vrai sens.

Être pauvre en esprit ne signifie en aucun cas ce que nous appelons « pauvre d’esprit » de nos jours.
Être « pauvre en esprit » signifie s'être vidé de tout désir d'exercer sa propre volonté personnelle et, ce qui est tout aussi important, est avoir renoncé à toutes les opinions préconçues même de tout notre cœur dans la recherche de Dieu. Cela signifie être prêt à mettre de côté ses habitudes actuelles de pensée, ses points de vue et préjugés actuels, son mode de vie actuel si nécessaire; pour abandonner, en fait, tout ce qui peut empêcher de trouver Dieu.
L'un des passages les plus tristes de toute la littérature est l'histoire du jeune homme riche

qui a manqué l'une des grandes opportunités de l'histoire et « s'est détourné tristement parce qu'il avait de grands biens ». C'est vraiment l'histoire de l'humanité en général.

Nous rejetons le salut que Jésus nous offre – notre chance de trouver Dieu – parce que nous « avons de grandes possessions » ; non pas du tout parce que nous sommes très riches en termes d'argent, car en effet la plupart des gens ne le sont pas, mais parce que nous avons de grandes possessions dans la voie des idées préconçues – la confiance en notre propre jugement et dans les idées avec lesquelles nous sommes familiers : l'orgueil spirituel né de la distinction académique; l'attachement sentimental ou matériel aux institutions et aux organisations; des habitudes de vie auxquelles nous n'avons aucun désir de renoncer; le souci du respect humain, ou peut-être la peur du ridicule public; ou un intérêt direct dans les honneurs du monde et les distinctions. Et ces possessions nous maintiennent enchaînés au rocher de la souffrance qu'est notre exil de Dieu.
Le jeune homme riche est l'une des figures les plus tragiques de l'histoire; non pas parce qu'il était riche, car la richesse en elle-même n'est ni bonne ni mauvaise, mais parce que son cœur a été asservi par cet amour de l'argent dont Paul nous dit qu'il est la racine de tout mal. Il aurait pu être multimillionnaire en argent et en or, mais tant que son cœur n'était pas attaché à cela, il aurait pu être aussi libre que le mendiant le plus pauvre  pour entrer dans le Royaume des Cieux. Sa confiance, cependant, était dans ses richesses, et cela a fermé la porte.

Pourquoi le Message du Christ n'a-t-il pas été acclamé par les ecclésiastiques de Jérusalem?
Parce qu'ils avaient de grandes possessions – des possessions d'apprentissage rabbinique, des possessions d'honneur et d'importance publiques, des fonctions faisant autorité en tant que maîtres officiels de la religion –possessions qu'ils auraient dû sacrifier pour accepter l'enseignement spirituel.
Les gens humbles et incultes qui entendaient volontiers le Maître n’avaient pas de telles possessions pour les éloigner de la Vérité.

Pourquoi est-ce que dans les temps plus modernes le même simple Message du Christ de l'immanence et de la disponibilité de Dieu, et de la Lumière Intérieure qui brûle pour toujours dans l'âme de l'homme, avait de nouveau fait son apparition dans le monde ?
Parce qu’il était à nouveau reçu avec joie par beaucoup de simples et d’illettrés (dans le sens sans instruction académique orientée) ?
Pourquoi les évêques et les doyens, et Modérateurs, ministres et presbytères, ne l’avait pas donné au monde ?
Pourquoi de grands centres d’informations, d’éducation n’ont pas délivré cette connaissance la plus importante de toutes ? Et là, encore une fois, la réponse est – parce qu'ils avaient de grandes possessions – de grandes possessions d'orgueil intellectuel et spirituel, de grandes possessions d'autosatisfaction et d'assurance, de grandes possessions d'engagement académique et de prestige social.
Les pauvres en esprit ne souffrent d'aucun de ces embarras, soit parce qu'ils ne les ont jamais eus, soit parce qu'ils se sont élevés au-dessus d'eux sur la marée de la compréhension spirituelle. Ils se sont débarrassés de l'amour de l'argent et de la propriété, de la peur de l'opinion publique et de la désapprobation des parents ou des amis. Ils ne sont plus impressionnés par l'autorité humaine, ou même  par d’augustes personnages. Ils ne sont plus attachés à leur propre opinion. Ils en sont venus à voir que leurs croyances les plus chères ont peut-être été et ont probablement été erronées, et que toutes leurs idées et leurs points de vue sur la vie peuvent être faux et ont besoin d'être remaniés. Ils sont prêts à recommencer depuis le début et à apprendre la vie à nouveau.
Fin de la 1ere béatitude.
Un lien que j'ai trouvé intéressant : https://www.jepense.org/heureux-les-pauvres-en-esprit-interpretation/

La 2ième Béatitude ? « Bienheureux les affligés car ils seront consolés » que je vous propose dans une prochaine chronique. Je vous invite à lire avec un cœur ouvert, un esprit neuf, ce livre du Dr E Fox « le sermon sur le mont », d’une grande aide car le "sermon sur la montagne" est « la perle de grand prix ».

Si vous voulez vraiment changer votre vie, si vous voulez vraiment vous changer vous-même – devenir une personne complètement différente aux yeux de Dieu et de l'homme – si vous voulez vraiment la santé et la paix de l'esprit, et le développement spirituel, alors Jésus, dans son Sermon sur la montagne, vous montre clairement comment cela doit être fait. La tâche n'est pas facile, mais nous savons qu'elle peut être accompli, parce qu'il y a ceux qui l'ont fait – mais le prix doit être payé, et le prix est la mise en œuvre réelle de ces principes dans tous les recoins de sa vie, et dans chaque transaction quotidienne, que vous le souhaitiez ou non, et plus particulièrement là où vous préféreriez ne pas le faire. Si vous êtes prêts à payer ce prix, à rompre vraiment  avec le vieil homme, et à commencer par la création du nouveau, alors l'étude du grand Sermon sera en effet pour vous la Montagne de la Libération, explique le Dr E. Fox
Belle et douce semaine à tous dans la paix du cœur.