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Le don, source de bonheur et de santé ?

Un article rédigé par Aurore Sessa - RCF Vaucluse, le 22 novembre 2022 - Modifié le 17 juillet 2023
Astuces santéLe don, source de bonheur et de santé ?

Le don….  Je donne de l’argent, du temps. Mais aussi le don d’organes, de sang, des capacitĂ©s artistiques, des savoirs-faire. Qu’est-ce que le don ? Est-ce un acte de pure gĂ©nĂ©rositĂ©, induit, calculĂ© ? D’oĂą vient notre goĂ»t Ă  donner ? Est-ce que donner peut amĂ©liorer notre vie, notre mieux ĂŞtre, voire notre santĂ© ?

le don © pixabayle don © pixabay

Bonjour Ă  tous,
 

Avant de pouvoir répondre à toutes ces questions sur le don, mettons-nous d’accord sur la définition du don.

Je vous en propose une :
- l’action de donner gratuitement et volontairement, d’offrir mais aussi de renoncer, d’abandonner, de se dévouer.
 

Allons plus loin : « Un don sans amour ne vaut guère mieux qu'un refus » (Vladimir Jankélévitch, "Le Je-ne-sais-quoi et le Presque-rien", 1957, p. 99) : ce qui implique que le don se fait sans attendre de recevoir en retour. C’est un acte désintéressé.


Donc si je donne pensant en tirer un bénéfice égoïste « moi, moi, moi », ce n’est plus du don. En donnant par exemple à une association, je lui permets de poursuivre sa mission parce que j’estime que ce qu’elle porte est important, je souhaite que le plus grand nombre puisse en profiter, ce n’est pas uniquement pour un bénéfice personnel même si je peux en profiter malgré tout. Le don est là.


Et le don d’organe ? Un magnifique sacrifice.

don © pixabay


Donc le don,  ne ressemblerait-t-il pas Ă  une offrande ?
Dans une foi religieuse, chaque jour n’est-il pas un don de Dieu ? Ne reconnaissons-nous pas le don des langues, de voyance, d’ubiquité, de l’Esprit Saint, de guérison ?


Ne dit-on pas que Dieu nous donne le don de vie ? Son Amour est si inconditionnel qu’Il nous laisse nous découvrir et tels des enfants faire nos bêtises, nos erreurs, nos égarements. Mais dès que nous souhaitons rentrer à la « maison » si je puis dire, Il nous accueille à bras ouverts, tel qu’évoqué dans "la parabole du fils prodigue".
 

Ce don nous habite. D’ailleurs en tant que parents aimants, nous acceptons que nos enfants fassent leurs propres expériences et nous les accueillons même si à un moment ils ont pu nous rejeter. Ce don d’amour même si imparfait sur le plan humain n’en reste pas moins une offrande désintéressée.
 

bénévolat © pixabayN’avons-nous pas chacun d’entre nous d’autres dons, exprimés, exploités ou non : artistiques, mathématiques, d’écoute, d’aimer, en cuisine, avec les plantes, les animaux, les gens, les enfants, enfin dans tous les aspects de la vie ? Ne donnons-nous pas nos dons et talents même si monnayé ? Et le bénévolat ? N’est-ce pas un don à autrui de son temps, de ses talents pour partager, aider, faire du lien, …. ?
 
Finalement le don n’aurait-il pas une seule origine ? Celle liée à notre Origine elle-même ? Ainsi, que l’on en est conscience ou non, ne sommes-nous pas alors comme programmés à donner ?


Je m’explique :

  • Dans la  Genèse 1, 26-31, il est dit :

« Dieu donne à l'homme le souffle, la vie, et la maîtrise sur la terre, les animaux.
Dieu dit : « Faisons un Adam  Ă  notre image comme notre ressemblance
».
Ce n’est pas rien, nous véhiculons la possibilité d’abandonner le petit soi pour le Vrai Soi et d’être à l’image et à la ressemblance de la Source donc dans le don de la vie, de l’amour, de la sagesse, notamment.

  • -    Dans 2 Corinthiens 9:7 :

« Que chacun donne comme il l'a résolu en son coeur, sans tristesse ni contrainte; car Dieu aime celui qui donne avec joie. »
 

  • Dans l’Évangile selon Saint Jean, 6, 30-40 que dit-on ?

"Jésus se donne en nourriture, et il donne sa vie". Jésus incarne le Fils, il est le pouvoir du Père et sa Sagesse, donc aussi ce que chacun d’entre est porteur, à exprimer évidemment.
On y lit : "....... Tout ce qui vient à moi m'a été donné par le Père, je ne repousserai pas un de ceux qui me rejoignent, car je ne suis pas venu du ciel pour faire ce que je veux mais ce que veut celui qui m’envoie. Or la volonté de celui qui m'envoie est que de tout ce qu'il me donne je ne perde rien, ni personne, et qu'au dernier jour je le relève....."
 

  • Et dans Luc, 21, 1-4, on y trouve

L'obole de la veuve et son éloge par Jésus.
« Il a levé les yeux et a vu des riches qui portaient leurs dons dans la salle du trésor. Il a vu aussi une veuve pauvre qui déposait deux petites pièces et il a dit : Je vous l'affirme, cette pauvre veuve a donné plus que tous les autres : eux ont donné de leur superflu mais elle a prélevé de sa pauvreté tout ce qui la fait vivre. »
 

Dans Actes 20:35 :
« Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. »
 

Il y a une raison à l’évocation de ces quelques versets et vous allez comprendre pourquoi.


Donc maintenant on est peut être tous d’accord, le don est donc bien un acte désintéressé, d’amour pur, volontaire, que ce soit offrir une certaine somme d’argent, du temps, du sang, un organe, partager ses talents quels qu’ils soient.

Et dont l’origine pourrait s’expliquer à la Création elle-même.
 

lien don © pixabay


J’ai pris de nombreux raccourcis pour arriver à cette conclusion, certes mais je n’ai pas beaucoup de temps et je voudrais aussi parler des bienfaits du don sur notre capacité à être plus heureux et qui dit « plus heureux » dit aussi en meilleure santé.

Et peut-ĂŞtre aurez-vous aussi envie de faire vos propres recherches et propres conclusions sur l'origine du don ?
Je laisse les psychanalystes, les philosophes, les sociologues, les théologiens vous offrirent d’autres propositions.

 

langage © pixabay

Au final, le plus important ne sont pas les dĂ©finitions, les polĂ©miques, c’est l’acte lui-mĂŞme : le don.  Les actes nĂ©s du cĹ“ur sont le langage de l’âme et non de la bouche.

 

 


Grâce à ce don je m’enrichis de quelque chose de plus grand, de plus impalpable.


Certains vont m’objecter que l’on peut donner à une association, un mouvement, une institution, peu importe, mais qui sont porteurs d’entropie. Alors est-ce que ce type de don est également associé à rendre plus heureux ?
Oui si on ne connait pas les objectifs réels.
 

Si on connait les projets entropiques.... ? C’est une autre histoire… et peut-être serons-nous heureux si les valeurs liées à l’amour ne nous habitent pas ? S'il n’y a pas de culpabilité ou du remord ou de la honte en nous ! Il est vrai que l’enfer est pavé de bonnes intentions.


Il nous est demandé « Qui voulons-nous servir ? » Le petit soi ou le JE SUIS en majuscule ?
Il s'agit, pour chacun d’entre nous, d'apprendre à développer le discernement et sa responsabilité.


Effectivement donner, rend heureux et la science le confirme.

A-t-on besoin de la science pour nous le dĂ©montrer ? Non, en fait !  Mais peut-ĂŞtre est-il important de comprendre comment « ĂŞtre heureux » peut amĂ©liorer notre santĂ©, quels sont les mĂ©canismes mis en place par le corps contribuant Ă  un mieux-ĂŞtre ?


saisonnalitĂ© © pixabayA savoir :  la gĂ©nĂ©rositĂ© aurait ses saisons.
C’est ce que suggère un article paru dans LA VIE ( cet article paru dans La Vie,) qui pointe avec justesse les nombreuses variables auxquelles doivent faire face les associations qui reposent sur la générosité du public pour perdurer. S’il y a bien une saisonnalité des comportements, n’oublions pas que les besoins, eux, se font sentir toute l’année !
 

Donner rend donc heureux !
MichaĂ«l Mangot explique que le don a un impact considĂ©rable sur les 3 niveaux du bonheur :  (MickaĂ«l Mangot est Ă©conomiste et confĂ©rencier, ses domaines d’intervention privilĂ©giĂ©s sont la finance comportementale, l’économie du bonheur et l’économie gĂ©nĂ©rationnelle, il dĂ©crypte les recettes du bien-ĂŞtre des individus pour questionner le bien fondĂ© des choix Ă©conomiques : “Faisons-nous ce qu’il faut pour ĂŞtre heureux ?”)

o    le bonheur Ă  court terme : Ă©motions ressenties en temps rĂ©el,
o    Ă  moyen terme : satisfaction face Ă  sa vie,
o    et Ă  long terme : bien-ĂŞtre psychologique profond.

 

La générosité du geste donateur active en effet plusieurs leviers qui boostent l’estime de soi, notre sensation de bien-être et de liens avec les autres, le sentiment d’autonomie et de faire un geste porteur de sens et de changement positif.


Donc donner gĂ©nère du plaisir 
Donner fait ressentir des Ă©motions positives bien  supĂ©rieures Ă  celles gĂ©nĂ©rĂ©es  aux dĂ©penses faites pour soi-mĂŞme.
 

raisons d'aimer © https://www.commeon.com/blog/donner-rend-heureux-1912

Donner fait aimer sa vie.
Selon l’étude pro-social "spending and well-being", (dépenser et mieux être) on se sent plus riche en donnant !
En effet, utiliser librement son argent pour soutenir des causes qui nous sont chères augmente la sensation de richesse.


Donner alimente un bien-être durable : car quand on donne, on se sent bien, on donne du sens à sa vie en réalisant une action qui a un impact pour quelqu’un, sur la société et l’on crée de nouveaux liens autour d’un projet commun.
 

Et tous les effets bénéfiques du don s’appuient sur des études psychologiques et neurologiques : une étude de 2013 démontrait ainsi les ressorts cognitifs et affectifs pour lesquels donner rend heureux.

 

Vue du côté de la science...


Que se passe-t-il dans le cerveau lorsque l’on donne? Pourquoi donner, ĂŞtre gĂ©nĂ©reux, altruiste nous rend heureux ?  

donner © www.donnefaitdubien.org


Je vous signale la confĂ©rence du 29  nov 2022  donnĂ©e aussi par zoom par l’Institut Imagine dont l'objet est "donner rend heureux, explications par les neurosciences"

Si vous ĂŞtes ou si vous voulez vous abonnez : https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/neurobiologie/pourquoi-etre-genereux-rend-heureux-12636.php


Une libération d'hormones ....

Ă©motion cerveau © pixabayDonner sans arrière-pensĂ©e, gĂ©nère un sentiment de bonheur qui se traduit par la libĂ©ration d’hormones comme la dopamine, l’hormone libĂ©rĂ©e par notre centre de  rĂ©compense du cerveau, elle exprime aussi notre joyeuse expectative du meilleur. Autre hormone la sĂ©rotonine, l’hormone du bonheur et l’ocytocine, l’hormone de l’amour, du lien.
 

Des neurobiologistes ont, pour la première fois, trouvé le lien cérébral qui explique pourquoi la générosité engendre du bonheur.
Des rĂ©sultats d'imagerie mĂ©dicale ont dĂ©jĂ  rĂ©vĂ©lĂ© que les personnes gĂ©nĂ©reuses prĂ©sentent une activitĂ© cĂ©rĂ©brale supĂ©rieure  dans certaines parties du cerveau  (notamment la jonction temporo-pariĂ©tale et d’autres).


Le bonheur, liĂ© au plaisir et aux rĂ©compenses, met en jeu d’autres aires du cerveau, celles du circuit de la rĂ©compense, (notamment le striatum ventral). Mais on ignorait jusque-lĂ  si ces structures Ă©taient liĂ©es. Elles le sont, c’est ce que Soyoung Park et ses collègues, des universitĂ©s de LĂĽbeck en Allemagne, de Chicago aux États-Unis et de Zurich en Suisse, ont dĂ©montrĂ©.  

En quoi consistait l'étude :

  • Ils ont donc Ă©tudiĂ© 50 volontaires pour tenter de rĂ©soudre cette Ă©nigme.
  • Ă€ leur arrivĂ©e Ă  l’universitĂ© de Zurich, les participants ont rempli un questionnaire pour Ă©valuer leur ressenti personnel de bonheur, puis les chercheurs leur ont annoncĂ© qu’ils allaient recevoir 25 francs suisses (environ 23 euros) chaque semaine pendant un mois.
  • La moitiĂ© des sujets devaient dĂ©penser cet argent pour eux, en allant au restaurant ou en se faisant des cadeaux,
  • et l’autre moitiĂ© devait l’utiliser pour des personnes de leur entourage, en les invitant Ă  dĂ®ner ou en leur offrant quelque chose.


Dans la seconde partie de l’expérience,

  • Tous les sujets ont rĂ©alisĂ© une tâche de prise de dĂ©cision pendant qu’on observait leur cerveau en imagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique fonctionnelle.
  • Lors de cet exercice, les participants devaient choisir s’ils acceptaient ou non de donner une certaine somme d’argent (qui variait Ă  chaque essai) Ă  une personne qu’ils avaient au prĂ©alable choisie – mais qui ne devait pas ĂŞtre une de celles pour qui ils dĂ©penseraient effectivement leurs 23 euros dans les semaines suivantes.
  • Après cette tâche dans le scanner, les chercheurs ont réévaluĂ© le niveau de bonheur subjectif de chaque volontaire.
     

Les résultats de cette étude n’étonnent pas :

  • les personnes qui se sont engagĂ©es Ă  dĂ©penser leurs 23 euros pour autrui se sont montrĂ©es plus gĂ©nĂ©reuses que les autres lors de la tâche de prise de dĂ©cision et sont reparties du laboratoire plus heureuses (alors qu’elles n’avaient encore rĂ©ellement rien donnĂ© Ă  qui que ce soit). Dans leur cerveau, leur jonction temporo-pariĂ©tale s’activait davantage que celle des sujets moins gĂ©nĂ©reux. Et plus, ces volontaires donnaient (fictivement) de l’argent, plus la connexion entre cette jonction et le striatum Ă©tait stimulĂ©e. Enfin, plus le striatum Ă©tait actif lors de la tâche, plus les gens Ă©taient heureux Ă  la fin de l’expĂ©rience.
     

Pour faire court, le bonheur et la générosité sont donc liés dans le cerveau via une modulation de différentes aires du cerveau (du striatum par la jonction temporo-pariétale).


Est-ce la raison pour laquelle nous sommes enclins Ă  donner ?
 

D’un point de vue économique, sacrifier ses propres ressources pour autrui n’est pas rationnel. Certains chercheurs ont supposé que le don augmente le prestige de celui qui fait ce geste au sein du groupe ou encore favorise la cohésion et la coopération, D’autres ont suggéré que nous sommes généreux parce que nous attendons quelque chose en retour. Donc cela n’est un acte désintéressé !


Or nous disposons maintenant de preuves comportementales et neurologiques qui révèlent que donner rend simplement – et biologiquement – heureux et que donner est inné. Cela remonterait-il à la Création ?


Il n'est désormais plus possible de l'ignorer, le corps et l'esprit sont indissociables. L’âme aussi. Nous ne pouvons plus concevoir la santé physique sans prendre en compte le mental, les émotions, mais aussi l’âme !

 

lien coeur esprit © pixabay

Bien que la question des liens entre l'esprit et le corps ait traversé l'histoire de la médecine et de la science, ce n'est que récemment que les mécanismes de la médecine corps-esprit ont commencé à être mieux compris. Ces processus sont depuis quelques dizaines d'années au centre de très nombreux travaux de recherche. Un jour on étudiera officiellement le lien corps, esprit, âme ? Même si les dites anciennes traditions nous ont déjà tout révélé !

 

On y arrive...

Donner, en nous rendant heureux, aide à avoir une meilleure santé !

 

  • Ce serait un gage de longĂ©vité… selon la conclusion de chercheurs de l'University College de Londres.
     

Ils ont découvert que les gens heureux réduisaient leur risque de mort prématuré de plus de 35 %. L'étude s'est intéressée à 4 000 participants, âgés de 5 à 79 ans, suivis pendant cinq ans. Laps de temps durant lequel les scientifiques ont enregistré le nombre de décès. Au cours de ces 5 ans, les sujets devaient évaluer à quatre moments de la journée leur état d'anxiété ou de bien-être. Au bout de cinq ans, il est apparu que les personnes qui s'estimaient les plus heureuses avaient moins de chances de mourir que celles qui se sentaient malheureux : 3,6% des "heureux" étaient décédés contre 7,3 % des gens "malheureux".

 

  • Les gens heureux sont globalement en meilleur santĂ© et souffrent moins de certaines pathologies comme le rhume et la grippe.
     

Des chercheurs de l'université américaine Carnegie Mellon de Pittsburgh en Pennsylvanie ont souligné l'impact positif des pensées positives contre ces deux pathologies.
193 patients âgés de 21 à 55 ans ont eu droit à un check-up médical complet. Leur état émotionnel a également été passé en revue, les chercheurs faisant le distingo entre les traits positifs des patients (calme, joyeux, énergique) et négatifs (déprimés, tristes, anxieux, agressifs). Les participants ont consenti à être exposés à des virus responsables du rhume ou de la grippe. Ils ont ensuite été placés en quarantaine pendant six jours pour voir qui contractait l'une ou l'autre de ces pathologies. Résultat, les patients les plus "forts" émotionnellement avaient tendance à moins attraper le rhume ou la grippe. S'ils étaient malades, ils présentaient moins de symptômes et étaient plus résistants que les patients à la personnalité plus "négative".


Un grand coupable dans nos problèmes de santé : le stress !
Le stress est le mécanisme au centre des relations corps-esprit. Le problème est la chronicité du stress.


Je ne vous apprends rien, notre quotidien peut être très stressant. Depuis plus de 2 ans nous vivons une époque de crise grave et on peut constater :

•    soit l’individu devient plus Ă©goĂŻste : toutes les sortes de peur,  la peur de manquer, d’être rejetĂ©, l’incomprĂ©hension, la dissociation cognitive, mais cela reprĂ©sente une minoritĂ© de personnes et nos bĂ©nĂ©dictions doivent les accompagner
 

personnes unies © pixabay

•    soit l’individu devient plus "ouvert", dĂ©veloppe plus de compassion, devient plus lucide, plus gĂ©nĂ©reux car il comprend la fragilitĂ© des relations humaines, des institutions et que c’est ensemble que l’on peut survivre, que l’on peut ĂŞtre le changement que l’on veut voir et vivre et renaĂ®tre Ă  plus grand que l’égo.

 

Donc notre relation au monde dépend de nos regards, de la manière dont nous cultivons notre jardin intérieur.


Aménageons-nous des portes de sortie en nous offrant des moments de bonheur.
bouquet © pixabayLa générosité, l’altruisme, l’amour désintéressé en sont. Offrons ce magnifique bouquet de l’Amour composé de la fleur des dons, de celle de la générosité, de celle de la joie et de celle du bonheur. A vous de composer un magnifique bouquet à offrir quelle que soit la période de l’année.

 

Belle et douce semaine  dans la paix  et le don du coeur.

 

 

Astuces santé
Cet article est basé sur un épisode de l'émission :
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