Louis et Zélie

Après dix années d’infertilité, Lucianna et Rafael, un couple catholique de Brasilia, est venu rendre grâce auprès de la petite Thérèse pour la naissance de leur fille Marie-Céline. Ils ont découvert à Alençon la grâce des lieux, la figure du saint couple Martin, et un sanctuaire à l’esprit très « famille ». Ils racontent leur histoire et témoignent au micro de RCF. Traduction assurée par Sr Janaïne, supérieure des Carmélites Messagères de l’Esprit Saint d’Alençon.

Pour cette dernière émission, nous prenons du recul sur la manière d’éduquer, tant celle des Martin que celle que nous avons à vivre. L’éducation n’a pas été de tout repos, ni un « long fleuve tranquille » dans la famille Martin. Il est bon de prendre de la hauteur, et de comprendre quelle finalité doit être celle de l’éducation (qui reste un moyen) …. ? Pour quel but ?

Sans doute, faire des hommes et des femmes qui ne nous appartiennent pas et qui vont faire eux-mêmes leur propre chemin. L’éveil à la liberté, et au respect du jeune qui grandit dans ses choix, a été ainsi une donnée importante. Chez les Martin, l’éducation fut un long chemin, un combat, mais balisé par des marqueurs qui reviennent sans cesse : la joie, la foi, l’éducation à la liberté, l’éducation par l’exemple, l’aide pour l’enfant à trouver le juste discernement, la non-démission face à l’exercice de l’autorité, une autorité matinée de confiance.

Dans ce nouveau volet, Guy Fournier évoque la difficulté d’élever et d’éduquer ses enfants quand on est seul, séparé, divorcé, veuf, dans une recomposition de famille. On prend ainsi conscience des conséquences et des défis nouveaux avec le veuvage de Louis, qui se retrouve seul dans sa stature d’éducateur à Lisieux. Exemples. Il y a bien sûr nécessité de chercher des appuis et des relais éducatifs. Louis est-il devenu plus laxiste et plus tranquille avec ses filles, dans une situation monoparentale forcément plus fragile pour lui… ?

Quelle fut l’importance de Pâques dans la vie de la famille Martin, Saints Louis et Zélie, leurs filles, et notamment Thérèse ? Comment le mystère pascal de l’offrande et du salut offert va-t-il s’incarner, et se déployer chez eux ? Réponse avec le Père Thierry Hénault-Morel, recteur du Sanctuaire Louis et Zélie d’Alençon.

Dans cette émission, une question prégnante à l’époque des Martin, comme à la nôtre : comment éduquer face à un monde à la fois attirant, mais aussi dangereux, face à une société qui bouge et qui évolue ? Les valeurs des Martin face aux valeurs du Monde. Comment les Martin ont montré à leurs filles quelles étaient leurs valeurs, les clefs de leur unité de vie pour finalement les « éduquer à la sainteté » ? L’éducation est aussi un reflet du monde, d’une époque…comment Zélie par exemple a opéré, face à ses enfants, une relecture critique des choix éducatifs parentaux.

Dans ce troisième volet, Guy Fournier évoque la personne de Léonie, enfant difficile, moins « gâtée » par la nature, enfant plus seule car son binôme (Hélène) disparait assez vite. On découvre que même chez les Martin, éduquer n’est pas une science exacte. Le pire n’est souvent pas programmé. Comment ont été surmontées les épreuves face aux échecs « apparents », comment a été gardé le cap ? Le cas de Léonie comme d’autres cas d’enfants difficiles, a forgé quelque part l’éducateur lui-même, l’a transformé pour le garder dans une posture d’humilité et non de toute puissance.

Dans ce second volet, nous évoquons plus en détail les choix éducatifs chez les Martin avec de nombreux exemples. On découvre ainsi au cœur de la vie de famille, la place importante du dialogue, du pardon donné, de la correction fraternelle. L’éducation à l’âge de l’adolescence amène aussi son lot de défis.

Dans ce premier volet, sont évoqués les héritages éducatifs de chacun des parents Martin, des apports positifs comme les lourdeurs. Qu’est-ce qu’ont gardé les Martin dans leurs méthodes éducatives pour les aider à éduquer et à transmettre auprès de leurs enfants ? Quelle place pour l’affection et pour le dialogue, le développement de la capacité d’adaptation ? Comment en couple, Louis et Zélie se sont-ils accordés pour un projet éducatif commun ? Comment ont-ils évolué aussi dans leur approche éducative en fonction des personnalités de leurs enfants et des évènements ?

Comment Louis et Zélie martin vivaient-ils leur carême ? De la même manière que les catholiques d'aujourd'hui ? Ou d'une manière plus radicale ? A quels aspects étaient-ils plus attachés ? Le Père Thierry Hénault-Morel, recteur du sanctuaire d'Alençon, tente de répondre...

Considérée comme la troisième plus grande figure spirituelle au Brésil, sainte Thérèse de l'Enfant Jésus continue à attirer les âmes pour les guider vers Dieu. Qu'en est-il de ses parents, les saints louis et Zélie d'Alençon, canonisés voici presque dix ans ? Eléments de réponse avec frère Jean Victor, brésilien et carme messager de l'Esprit Saint.

Entre deux années jubilaires (2023, 100 ans de la béatification de sainte Thérèse, et 2025, 100 ans de sa canonisation et 10 ans de la canonisation de ses parents), le sanctuaire d'Alençon réfléchit à améliorer ses propositions envers les pèlerins de passage ou encore les jeunes générations, d'autant plus qu'un réseau de groupes " Louis et Zélie " émerge ici et là dans l'Hexagone.

Pascal et Judith Andreani sont un autre couple qui vit de la spiritualité des Saints Louis et Zélie Martin depuis une dizaine d’années. Ils ont même créé, dans leur diocèse d’Avignon, les « fraternités Louis et Zélie Martin ».

Depuis 8 ans, une trentaine de couples ont expérimenté ces « maisonnées » qui méditent et vivent des choix concrets de vie des saints époux alençonnais. Trois maisonnées » existent sur le Vaucluse. Pour prendre contact avec les Andreani et se renseigner sur ces fraternités : contact@flzm.fr

Une intreview proposée par Grégoire Moreau, secrétaire général du sanctuaire d'Alençon.

Frère Léandro et frère Jean-Victor sont brésiliens, et carmes messagers de l'Esprit Saint. ils viennent d'arriver à Alençon pour aider aux oeuvres du sanctuaire Louis et Zélie, et aussi pour remplir des missions dans les paroisses du lieu. Découvrons la vocation originale de leur communauté.

Frère Léandro et frère Jean-Victor sont brésiliens, et carmes messagers de l'Esprit Saint. ils viennent d'arriver à Alençon pour aider aux oeuvres du sanctuaire Louis et Zélie, et aussi pour remplir des missions dans les paroisses du lieu. Découvrons la vocation originale de leur communauté.

Des couples chrétiens de plus en plus nombreux vivent de l’exemple des saints Louis et Zélie Martin, et se nourrissent de leur compagnonnage spirituel. Gilles et Chantal Gautier, couple breton, prient et s’inspirent de Louis et Zélie depuis 2015. Ils ont découvert que chacun des membres du couple avait la mission de conduire l’autre vers la sainteté. Une vision et une dimension du couple chrétien toute nouvelle.

Les saints d'Alençon, ou plutôt leurs reliques accompagnées de membres de l'équipe du sanctuaire, sont partis 10 jours à la rencontre d'enfants, d'ados, de couples, de familles, de paroissiens, personnes âgées et communautés religieuse de marientahl, Strasbourg, Forbach ou encore Bitche. Voici le second épisode relatant ce périple.