Halte spirituelle
L'émission de référence de RCF ! Un format court et quotidien, complété par une version intégrale le samedi, pour engager une réflexion spirituelle profonde et accessible, autour d'une thématique d'actualité.
Episodes
Une théologie textile, c'est ce qu'a élaboré le dominicain Alberto Fabio Ambrosio en s'intéressant aux vêtements de Jésus décrits dans les évangiles. Car de sa naissance à sa mort, les vêtements qu'il portait sont mentionnés avec soin. Au-delà de l’aspect purement pratique, ils sont le signe visible de l’incarnation et un moyen de comprendre la mission du Christ.
Droits image: L'adoration des bergers ,Georges de La Tour (1593-1652), détail ©WikicommonUne théologie textile, c'est ce qu'a élaboré le dominicain Alberto Fabio Ambrosio en s'intéressant aux vêtements de Jésus décrits dans les évangiles. Car de sa naissance à sa mort, les vêtements qu'il portait sont mentionnés avec soin. Au-delà de l’aspect purement pratique, ils sont le signe visible de l’incarnation et un moyen de comprendre la mission du Christ.
Droits image: "La crucifixion" par Jan van Eyck ©Wikimedia Commons- La nouvelle vie promise par le Christ n'est pas tout à fait là mais elle est certaine. Et c'est ce qui s'appelle l'espérance. A quoi ressemble-t-elle ? Michael Edwards , académicien, vient nous redire comment la paix de Dieu n'est pas le repos tel que nous le comprendre mais une joie qui existe au milieu des horreurs.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
- Pour comprendre ce qu'est être chrétien, il est important de saisir la puissance de la résurrection en nous. Il s'agit de vouloir faire la volonté de Dieu, sur la terre comme au ciel. Mais est-ce si facile ? Michael Edwards se penche sur la question.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
- Que voyaient ceux qui demandaient à Jésus de les guérir ? Sûrement quelque chose d'autres ne percevaient pas. Lorsque le Christ est ressuscité, à nouveau, il doit se faire reconnaitre. Et il le fait dans le concret de notre existence quotidienne.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
- Jésus n'était pas qu'un homme formidable, un sage remarquable, un maître auquel nous essaierions de ressembler. Il est le Fils de Dieu, et il est ressuscité. Qu'est ce que cela change ? L'académicien Michael Edwards vient nous l'expliquer.
.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF Sans la perspective de la résurrection, la passion et la mort de Jésus n’ont pas de sens. Au cours de la Semaine sainte, l’Église fait mémoire de la Cène, de la Passion et de la mise au tombeau à travers la liturgie. Mais ces célébrations portent déjà en elles-mêmes la lumière de Pâques et forment un tout.
Droits image: Croix triomphale, église San Clemente al Laterano à Rome ©V. Alzieu
17 avril 2025La résurrection, l’horizon de la semaine sainte 4/5 Dieu, entre absence et présence
Sans la perspective de la résurrection, la passion et la mort de Jésus n’ont pas de sens. A cours de la semaine sainte, l’Eglise fait mémoire de la Cène, de la Passion et de la mise au tombeau à travers la liturgie. Mais ces célébrations portent déjà en elles-mêmes la lumière de Pâques et forment un tout.
Droits image: ©PixabaySans la perspective de la résurrection, la passion et la mort de Jésus n’ont pas de sens. A cours de la semaine sainte, l’Eglise fait mémoire de la Cène, de la Passion et de la mise au tombeau à travers la liturgie. Mais ces célébrations portent déjà en elles-mêmes la lumière de Pâques et forment un tout.
Droits image: Duccio di Buoninsegna (1255-1319), Lavement des pieds (tempera sur bois, entre 1308 et 1311), Musée de l'Œuvre de la Cathédrale, Sienne (Italie) ©Wikicommon
15 avril 2025La résurrection, l’horizon de la semaine sainte 2/5 Un Christ souriant
Sans la perspective de la résurrection, la passion et la mort de Jésus n’ont pas de sens. A cours de la semaine sainte, l’Eglise fait mémoire de la Cène, de la Passion et de la mise au tombeau à travers la liturgie. Mais ces célébrations portent déjà en elles-mêmes la lumière de Pâques et forment un tout.Droits image: Christ en croix souriant, abbaye de Lérins @Véronique Alzieu
14 avril 2025La résurrection, l’horizon de la semaine sainte 1/5 Le mystère pascal est un tout
Sans la perspective de la résurrection, la passion et la mort de Jésus n’ont pas de sens. A cours de la semaine sainte, l’Eglise fait mémoire de la Cène, de la Passion et de la mise au tombeau à travers la liturgie. Mais ces célébrations portent déjà en elles-mêmes la lumière de Pâques et forment un tout.
Droits image: Hans Isaacson ©Unsplash- A l'occasion de l'année jubilaire, le Pape marque le 1700ème anniversaire du concile de Nicée à l'origine de l'un des deux credo. Il a mis en avant le credo comme signe d'espérance pour le monde. Pourquoi ?Droits image: Un chrétien qui prie peut inspirer ceux qui entrent dans une église / Photo de Pixabay
- Après le scandale des indulgences, l'Inquisition, le silence de l'Eglise face à des questions politiques ou sociétales majeures, il est difficile pour certains croyants de proclamer une Eglise sainte. Comment comprendre cette dernière phrase du credo, aujourd'hui, en pleine crise face aux abus ?Droits image: Les dérives de l'Eglise rendent parfois difficile sa crédibilité / Photo de cottonbro studio
- Le Concile de Nicée-Constantinople a été convoqué par l'empereur Constantin, sur fond de projet politique. Ce contexte et l'Histoire en général ont-ils pu influencer la rédaction du credo ? Explication avec soeur Moïsa.Droits image: L'empereur Constantin souhaitait unifier les chrétiens / Photo de Nika Benedictova
- A la messe, le dimanche, il y a le choix entre deux textes : pourquoi ? Et qu'est ce que le credo apporte de plus que la Bible ou l'homélie ?Droits image: Le texte vient compléter les Ecritures / Photo de RDNE Stock project
- Le credo est un texte que récitent les chrétiens pour dire leur foi. ESt-il obligatoire d'adhérer pour devenir un catholique ? La réponse avec Soeur Moïsa, des fraternités de Jérusalem.Droits image: Le credo n'est pas un document où il faudrait cocher toutes les cases / Photo de Cytonn Photography
- Les indulgences renvoient, dans la pensé collective, au commerce des indulgences qui a suscité l’indignation de Luther et provoqué la Réforme au XVIème siècle. Mais les indulgences existent toujours, elles ont un sens spirituel et elles sont particulièrement liées au pardon et à l’année jubilaire. Une indulgence consiste à recevoir une grâce pour réparer les marques que le péché a laissé en nous et autour de nous. Quand Dieu nous accorde son pardon, il rétablit avec nous la relation. Mais il nous demande de réparer, dans la mesure du possible, en nous et autour de nous, ce que le péché a blessé, telle relation abîmée, tel élément matériel qui aurait, lésé l’autre, etc.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
- Le sacrement de réconciliation est un signe posé à un moment précis. mais un sacrement n’est pas magique : il implique un vrai désir de changement de la part de celui ou celle qui demande pardon. C’est un sacrement donc il est célébré par l’Eglise. Cela signifie que nous avons besoin d’un autre pour recevoir le pardon de Dieu. L'intervention d'un tiers me rappelle que le péché blesse toujours le corps de l’Eglise et qu'il y a une dimension sociale associée au péché.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
- Le pardon n'est pas un remède à toute situation de mal. On peut subir un mal dans sa vie sans qu’il y ait quelque chose à pardonner à quelqu’un. En régime chrétien, on pardonne le péché. Le péché implique un acte volontaire. Quand il n’y a pas acte volontaire, il s’agit plus de faire miséricorde à celui qui a été vecteur du mal que de lui pardonner. Faire miséricorde signifie reconnaître le mal subi et nommer celui qui en a été vecteur, y compris auprès de la justice dans les cas les plus graves.Droits image: Émission Halte spirituelle © RCF
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