L'oreille en poésie

la saison de l’été se replie peu à peu… le temps des vacances s’éloigne nous laissant des souvenirs, qqs photos, une carte postale..
ah les vacances ! Un temps libre que nous voulons habiter avec plaisir, en laissant s’étirer le temps, en mettant de côté le quotidien, en s’inventant un monde parfois ailleurs mais toujours autrement.

la saison de l’été se replie peu à peu… le temps des vacances s’éloigne nous laissant des souvenirs, qqs photos, une carte postale..
ah les vacances ! Un temps libre que nous voulons habiter avec plaisir, en laissant s’étirer le temps, en mettant de côté le quotidien, en s’inventant un monde parfois ailleurs mais toujours autrement.

Aujourd'hui, empruntons avec les poètes, la machine à voyager dans le temps. C'est avec cet extrait du Lac de Lamartine, dans la tristesse du plus jamais, que nous avons entrepris notre voyage. Continuons le avec Marcel Proust en regrettant que le temps dont on dispose-encore le temps ! - nous oblige à faire des coupures dans ce texte mythique

La chanson est un excellent et très séduisant moyen de transport pour le
poème, les charmes de la musique le transfigurent et lui donnent une
résonnance bien plus large. En même temps la puissance évocatoire et
émotionnelle du poème suscite la musique, appelle le chant
Compositeurs classiques ou compositeurs de chansons n’ont cessé de
mettre des poèmes en musique.
Il est un autre mouvement, plus rare peut-être, qui fait que les auteurs-
compositeurs de chansons, abandonnent les notes et la mélodie pour
publier des recueils de poèmes où toute la musique et le rythme sont
confiés aux seuls mots, au verbe.
Pas si rare pourtant, ces chanteurs qui se revendiquent aussi poètes,
avec rien que les mots.
En voici quelques exemples anciens ou très récents

Des mots douloureux pour dire l’exil, la guerre, la souffrance, des mots audacieux
pour dire l’amour, la sensualité, la liberté, telle est la poésie de Maram Al-Masri, une
voix incontournable de la poésie arabe contemporaine.

Aujourd’hui, notre émission est consacrée à Estelle
Dumortier, qui est venue en mars à Tours dans le cadre du Printemps des Poètes, et que nous avons pu
interviewer avant sa performance au cellier St Julien.
Le texte que vous venez d’entendre est extrait de son livre « Où l’air ne chute pas »
Pendant cette émission, vous entendrez d’autres textes d’elle, mais aussi des textes de poètes qu’elle
apprécie particulièrement.

Sous la pluie, A la claire fontaine, au bord du lac, dans le courant de la rivière ou les
remous du torrent, le long des fleuves , sur mille rivages aux mille visages, l’eau devient
miroir, temps qui s’écoule, vie qui passe. Elle est source de vie, reflet des sentiments,
nostalgie d’un bonheur perdu. L’eau est symbole et le poète la chante et la célèbre
dans toutes les tonalités de ses émotions.

Les frontières sont faites pour être traversées, abolies...frontières spatiales
entre les pays bien sûr, mais aussi entre soi et l’autre, frontières temporelles entre le
passé et le présent, l’enfance et l’âge adulte, frontière entre la vie et la mort, frontière
entre le jour et la nuit, frontière entre le réel et l’imaginaire , entre les mots et le
silence... que de pistes explorées par les poètes !

Présentation de 7 poètes invités pour fêter la poèsie lors de rencontres, lectures, concerts, ateliers, dans tous les quartiers, pour tous les publics.

Lorsque l'esprit des hommes te paraîtra étroit, dis-toi que la terre est vaste. N'hésite
jamais à t'éloigner,

« Je voudrais que tu te souviennes
Cette chanson était la tienne
C’était ta préférée je crois
Qu’elle est de Prévert et Kosma »
Et vous quelle chanson préférez-vous ?

En ce mois de janvier, L’oreille en poésie se met au diapason de la saison
hivernale, en vous proposant des textes autour de l’hiver !

La poésie a toujours célébré les liens qui unissent l’homme à la nature.
La mer et les montagnes ; les îles et les déserts, la forêt , les rivières, les saisons ou les
éléments, la ville et la campagne, chacun garde en mémoire les paysages traversés
au fil du temps . Ses infinies variations admirées, décrites, dépeintes dans les mots
du poème ne sont pas seulement un décor, mais toujours une invitation au voyage.

Quand nous étions très jeunes, ou maintenant que nous le sommes
encore, peut-être avons-nous écrit des poèmes d’amour à l’être aimé. Sans doute ne les a-t-on jamais envoyés, ou jamais lus à leur destinataire, mais nous ne pouvions imaginer de parler d’amour sans la poésie, en vers, rimés ou pas, mesurés ou pas, libres quoi qu’il en soit ! Seule façon de délabyrinther nos sentiments ! : c’était L’amour la poésie, comme l’écrit Paul Éluard : sans virgule. Et tous les poèmes ne sont-ils pas des poèmes d’amour ?

"le Printemps des Poètes à Tours se présente à vous entre poèmes et chansons"

Non,non, chercher du ferme au mouvant de ce monde,
C’est appuyer ses pieds sur une boule ronde,

Des carnets de route en musique pour découvrir la poésie venue d'Afrique.

Poésie et mélodie française : une rencontre avec François Le Roux, baryton et grand spécialiste de la mélodie française dont le Festival aural lieu à Tours du 16 au 26 août.
François Le Roux est le fondateur et Directeur Artistique du Centre International de la Mélodie Française, et de l'Académie Francis Poulenc de Tours.

Aujourd’hui, cap sur la Méditerranée, et plus précisément sur la Grèce, pays où depuis l’antiquité, la
poésie occupe une grande place, d’Homère et Sappho à Ritsos, mais aussi Séféris et Elytis, tous deux
prix Nobel de littérature, en passant pat Kavafy…

Autour du poête Marocain Abdellatif Laabi.
Quelques escales poétiques vers le sud et vers l'orient.