LE KIOSQUE À MUSIQUE

A découvrir, des immenses succès de Straus tout spécialement composés pour deux vénérables institutions de Vienne, l'une de 1843 pour le choeur d'hommes et l'autre du 16ème siècle pour le choeur d'enfants.

Ce sont deux vénérables institutions de Vienne, l'une de 1843 pour le choeur d'hommes et l'autre du 16ème siècle pour le choeur d'enfants que nous allons découvrir.

Johann Strauss (fils) composa spécialement valses, marches, polkas pour le choeur d'hommes.

Ecoutons différents orchestres du monde entier avec des interprétations classiques et variées que l'on pouvait écouter en plein air, par exemple dans les kiosques à musique dès le 19ème siècle.

Le kiosque des places publiques accueille depuis sa création au 19ème siècle des spectacles d'artistes et des concerts de musiciens. Ainsi des concerts en plein air y sont joués.

De la guerre de sécession au gospel, Des chants baptistes des esclaves noirs dans les plantations de coton aux vieilles chansons irlandaises, vous découvrirez l'amalgame qui engendra le jazz dixieland. Une émission toujours aussi riche en découverte !

La Nouvelle-Orléans, ancien coin de Terre Francaise vendue en 1803 par Napoléon. C'est dans cette cité portuaire multiraciale et multiculturelle qu'a pris naissance le Jazz. Une émission pleine de découvertes !

C'est le « gentleman » des grands orchestres, une machine à succès ! Né Franck Marius Louis Pourcel le 14 août 1913 à Marseille, il est mort le 12 novembre 2000 à Neuilly-sur-Seine à l'âge de 87 ans.
Sa discographie très importante fut vendue en tant qu'orchestre français de musique légère et de variétés.
Nous retrouverons à nouveau aujourd'hui quelques uns de ses immenses succès de variétés.

Franck Pourcel (1913-2000), fabuleux arrangeur, compositeur et chef d'orchestre français, fut le premier en France à réorchestrer des succès chantés pour grands orchestres.
Ses nouveaux arrangements deviennent... d'autres succès.

L'addition de ses microssillons vendue sur la planète serait, dit-on l'équivalent de cinq Tour Eiffel !

Quand la chanson ou la mélodie est belle, elle passe à la postérité. Découvrons des succès comme "La mer", "Comme d'habitude" ou encore "J'attendrai", tous réinterprétés et dépoussiérés par des orchestres. Un formidable voyage Musical dans ces immortels succès Français.

Quand la chanson est belle, elle passe à la postérité. Découvrons des succès comme "Le soleil et la lune", "C'est si bon", "La vie en rose" réinterprétés, dépoussiérés par des orchestres.

Coup de projecteur à nouveau sur ces instruments en général qui ne sont pas les vedettes dans l'orchestre : hautbois, basson, saxophone, clarinette ou encore tuba.

Un Kiosque didactique comme toujours plein de découvertes !

Basson, hautbois, clarinette, saxophone, tuba, des instruments en général qui ne sont pas les vedettes dans l'orchestre.
Ils sont pourtant indispensables à la cohésion de ces ensembles musicaux.

Nous retrouvons les premiers émigrés anglais dans les Appalaches avec leur violon, puis nous les suivront dans le middle ouest et dans le Sud, au Texas ou la country fut assimilée à cet Etat avec le western.

Nous allons avoir un sérieux coup de soleil en écoutant ce kiosque à musique consacré une nouvelle fois a des reprises version exotique, de grands airs par l'orchestre Edmundo Ros dans les années 40 et 70.

L'orchestre sud-américain Edmundo Ros qui a étudié à la prestigieuse Royal Academy of Music de Londres, fit danser le tout Londres jusqu'en 1970 en adaptant des airs de son époque en leur insufflant un gout exotique.

Cette émission sera le moment d'écouter quelques fabuleuses trouvailles interprétées par des Big Band sur un un style jazzy, swing, une partie intégrante du jazz pour danser...

Le swing c'est la musique des big band ces ensembles dont le nom que l'on retient est lié à l'époque de la dernière guerre : Glenn Miller.

Ils s’appelaient : KOMZAK, se prénommaient tous, Karel. Il y avait, le père, le fils et le petit-fils.
Comme la tradition le voulait, ils ont tous été mi-militaires mi civils, ils sont totalement oubliés de nos jours et pourtant…

Il est encore impossible de savoir à qui revient la paternité de ce qu’ils ont écrits, tant ils furent prolifiques et exceptionnellement audacieux dans leur recherche harmonique !

Ils s’appelaient : KOMZAK, se prénommaient tous, Karel. Il y avait, le père, le fils et le petit-fils.

Ils étaient de Bohême du Sud et ils ont enflammé Vienne durant la fin de l’empire Austro-hongrois au XiXème siècle.
Ils étaient appelés les Bohémiens de Vienne.

Un grand moment historico-musical… de musique viennoise.

Opéra ne signifie pas hermétisme.
Lle rendez-vous d'aujourd'hui sera à nouveau celui des plus beaux airs de cet art lyrique.