Déclaré bienheureux en novembre 2016, le père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus a fasciné de son vivant notamment par ses antinomies, ses apparentes contradictions qui finalement trouvent leur synthèse d’une manière surnaturelle grâce à l’ES : carme contemplatif avide de solitude et actif prédicateur et fondateur de l’Institut séculier international Notre Dame de Vie, imprégné de vie surnaturelle et attentifs au moindre détail de la vie matérielle, extraordinaire par certaines grâces et ordinaire dans le quotidien, mystique et aimant rire, inspirant parfois la crainte et attirant par ses puissants charismes, souffrant souvent et rebondissant toujours, héritier de la grande tradition catholique et ouvert sur le monde moderne. Dans ce 4ème et dernier épisode de votre feuilleton spirituel des Pèlerins de Dieu en l’honneur ce mois-ci du père carme Marie Eugène de l’Enfant-Jésus, essayons de découvrir ensemble la très belle spiritualité de ce paysan devenu grand théologien et écrivain prolixe, auteur notamment d’un très grand livre, best-seller déjà traduit en 8 langues : Je veux voir Dieu.
Bibliographie : - Mgr GAUCHER (Guy), La vie du Père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus, Carmel-Cerf, 2007. - Frère Louis-Marie de Jésus, o.c.d., « Père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus (1894-1967) Quelques éléments biographiques » dans Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus, Je veux voir Dieu, Editions du Carmel, 2014, p. 19-30. - ENCREVE (André), GADILLE (Jacques) et MAYEUR (Jean-Marie), « La France des années 1860 à la première guerre mondiale » dans Histoire du Christianisme, t. 11 Libéralisme, industrialisation, expansion européenne (1830-1914), Desclée, 1995, p. 501-544.
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