Anselm Kiefer : une œuvre poético-mélancolique au couvent de la Tourette
Un article rédigé par Alice Forges - - Modifié le 25 septembre 2019
L’artiste allemand est invité au couvent dans le cadre de la Biennale d’Art contemporain.
Salle vitrines, 2019 © Anselm Kiefer et Jean-Philippe SimardLe choix d’un tel artiste ne résulte en rien du hasard. Le frère Marc Chauveau, commissaire de l’exposition, avait découvert qu’Anselm Kiefer avait séjourné au couvent dans sa jeunesse.
À cette occasion, l’artiste s’était sensibilisé à la « spiritualité du béton », se dégageant de la bâtisse construite par Le Corbusier dans les années cinquante. Cela influença fortement son œuvre par la suite.
Une œuvre symbolisant l’espoir
Anselm Kiefer travaille beaucoup autour de la question de la ruine et de la résilience. Ses installations en témoignent.
Le frère Marc Chauveau nous présente trois œuvres à admirer au sein du couvent :
- Résurrection
â

- La Jérusalem Céleste
â

- Les Femmes Martyres

