Le Secours Catholique en Franche-Comté

L'association a récemment publié un rapport statistique autour des difficultés d'accès à l'alimentation. Dominique Fichet habite Gray en Haute-Saône. Elle a bénéficié de l'aide du Secours Catholique en s'occupant d'un jardin partagé. Elle peut donc cultiver ses propres légumes.

La parole est donnée à François Bernot de Poligny dans le Jura.
Depuis juin 2021, il travaille 20 heures par semaine pour le Secours Catholique en tant qu’ouvrier en charge du jardin partagé. Une attribution qui dépasse largement la tâche de planter des légumes.

A son arrivée à Belfort, Lynn a poussé la porte du Secours Catholique. Depuis, elle y est restée en tant que bénévole.

Valère va maintenant raconter son histoire.
A son arrivée en France à l'été 2021, il s'est tourné vers le Secours Catholique à Besançon.

Nous allons dans le Jura à la rencontre d’Agnès. Cette mère de famille en situation de handicap peut compter sur l’association et ses bénévoles. Elle fait partie des foyers qui ont rejoint le dispositif des paniers solidaires, mis en place après le premier confinement.
En échange de quelques euros, elle a accès à des produits alimentaires variés de qualité, fournis par des producteurs locaux.

« Faim de dignité » est le titre du rapport statistique annuel du Secours Catholique sur l’état de la pauvreté en France.

L’association alerte sur les difficultés d’accès à l’alimentation suite à la crise sanitaire, et sur le nombre de demandes d’aides en hausse. 

Chloé Vernet a interrogé Antoine Aumonier, le délégué du Secours Catholique en Franche-Comté.