La 25ème heure: les villes sanctuaires de France ouvrent leurs portes

Dans la nuit de samedi à dimanche, la France pourra dormir une heure de plus avec le passage à l'heure d'hiver. Cette 25ème heure, l'association Villes sanctuaires de France en a fait un événement. A l'occasion du changement d'heure, elle organise dans les villes sanctuaires de l'hexagone des visites originales, destinées à faire découvrir ces endroits emprunts de spiritualité.

Martine Pasquuier, présidente de l'association Villes sanctuaires:

Pour Martine Paquier, présidente de l’association Villes sanctuaires, c'est l'occasion de toucher un public large. "La 25ème heure s’adresse à tous les publics, croyant ou non, dans le but de mettre en évidence le patrimoine qu’on n’a pas l’habitude de voir en temps normal. Les villes sanctuaires jouent sur des originalités, des bâtiments qu’on a peu ou pas visités. On essaie de jouer sur l’originalité pour attirer du monde et pour montrer le patrimoine à travers ça. Évidemment on reste dans le spirituel en essayant de dégager toujours quelque chose d’original par rapport à ces sites religieux" explique-t-elle au micro d'Etienne Pépin.

"Le programme est différent selon les villes, mais cela reste toujours dans l’originalité. On ne visitera pas forcément un édifice religieux, mais on montrera peut-être un tableau, un siège, un autel, qu’on expliquera dans les détails. Le thème de la 25ème heure cette année est celui de la lumière. Dans nos villes sanctuaires on met l’accent sur la lumière avec par exemple une visite aux flambeaux. On joue sur la lumière dans la pénombre. Dans la liste, il y a 17 villes sanctuaires en France. Dans ces 17 villes, il y a des gros sanctuaires très connus, et d’autres moins connus. Mais les gros essaient de mettre en valeur les petits" conclut la présidente de l'association.

Pour rappel, à 20h25, dans les 17 villes sanctuaires que compte l’association, sonneront les cloches de toutes les églises. Elles annonceront le départ pour une visite pittoresque. Plus d'informations sur le site de l'association en cliquant ici.