Un juif nommé Jésus RCF - page 4

Selon l'historien américain John Paul Meier, c'est l'inadéquation entre les 2 commandements d'amour exprimé par Jésus en Marc 12 et le projet comme le style de ce même évangéliste qui plaide en faveur de l'historicité de ces paroles du Christ. A moins que des telles paroles se retrouvent dans l'Ancien Testament ... Dominique Villars et Laurent Verpoorten partent aujourd'hui à la recherche de ces passages.

Logique narrative, vocabulaire, thématique, rien ne correspond au style de Marc dans l'épisode de Jésus discutant avec un scribe raconté au chapitre 12 de son évangile. Il s'agit là d'éléments qui plaident en faveur de l'historicité de ce récit, comme nous l'explique Dominique Villars et Laurent Verpoorten..

En Matthieu 12, 28-34, lors d'une discussion avec un scribe, Jésus fait référence à 2 passages de l'Ancien Testament. Or, cette manière de faire, qui correspond à une technique juive d'exégèse appelée la gezerâ sawâ, apporte un crédit supplémentaire à l'historicité de cet épisode.

C'est en Matthieu 12, 28-34, que, répondant à une question posée par un scribe, Jésus exprime l'un de ses plus célèbres commandements d'amour. Une réponse dans laquelle il fait référence à deux passages de l'Ancien Testament. Dominique Villars et Laurent Verpoorten en font aujourd'hui l'analyse historique afin d'identifier le type d'amour professé ici par le Christ.

"Quels est le plus grand des commandements ?" (Marc 12, 28) A cette célèbre question qui lui posée par un scribe, Jésus apporte une réponse de laquelle apparaît la notion d'amour. Reste à déterminer, à l'aide de la critique historique, de quel amour il s'agit et dans quelles circonstances cette réponse a-t-elle été proférée. C'est ce que vous propose de découvrir Dominique Villars et Laurent Verpoorten dans cette seconde émission consacrée aux paroles de Jésus qui parlent d'amour.

La religion chrétienne fait de l'amour sa pierre d'angle. Toute la vie du christ en témoigne. Mais qu'en est-il de ses paroles ? Dominique Villars et Laurent Verpoorten se lancent dans un nouveau sicle consacré au discours tenu par Jésus sur l'amour.

Dominique Villars et Laurent Verpoorten exposent les conclusions des 15 dernières émissions qui étaient consacrées à la recherche historico-critique de la position de Jésus quant aux questions de pureté et d'impureté dans le judaïsme de son temps.

Les 5 premiers versets de Marc 7, 1-23 présenteraient-ils plus d'éléments historiquement avérés que n'en comporte le reste de ce chapitre ? Avec l'historien John Paul Meier, Dominique Villars et Laurent Verpoorten procèdent aux dernières observations critiques de ce passage fort important en ce qui concerne la problématique de la pureté religieuse.

L'absence de référence à Marc 7, 15 dans les écrits de la première église, notament dans les Actes des Apôtres et dans les Epitres, ne plaide pas en faveur de l'historicité de ce verset. Dominique Villars et Laurent Verpoorten examinent les arguments en présence.

Pour l'école historique dite "de la troisième quête", c'est dans l'évangile de Matthieu et dans l'évangile apocryphe de Thomas - et non dans l'évangile de Marc - qu'est exprimée la véritable position du Jésus historique concernant les questions de pureté. Pourtant, comme nous l'explique aujourd'hui Dominique Villars et Laurent Verpoorten, les preuves avancées par cette école historique ne sont pas recevables.

Le verset 15 du chapitre 7 de l'Evangile de Marc correspond-t-il à une parole historique de Jésus ? La réponse a varié au fil du temps. John Paul Meier se fixe donc pour tâche d'évaluer les arguments de toutes les parties en présence. Un travail historico-critique exposé dans l'émission d'aujourd'hui par Dominique Villars et Laurent Verpoorten.

Dominique Villars et Laurent Verpoorten tirent les ultimes conclusions de l'enquète historico-critique des paraboles. En refermant le cinquième volume de l'oeuvre de l'historien John Paul Meier, c'est aussi une page qui se tourne pour RCF puisqu'il s'agit de la dernière émission de "Un juif nommé Jésus."

Dominique Villars et Laurent Verpoorten débusquent dans la parabole des talents, telle que racontée par Luc, les traces de l'évangéliste afin d'en faire apparaître le récit primitif.

Dominique Villars et Laurent Verpoorten débusquent dans la parabole des talents, telle que racontée dans Matthieu, les traces de l'évangéliste afin d'en faire apparaître le récit primitif.

Dominique Villars et Laurent Verpoorten poursuivent dans l'analyse historico-critique de la dernière parabole traitée par John Paul Meier dans son 5e volume : la parabole des mines, également connue sous le nom de la parabole des talents. Ils se penchent aujourd'hui sur sa version matthéenne.

Dominique Villars et Laurent Verpoorten se lancent aujourd'hui dans l'analyse historico-critique de la dernière parabole traitée par John Paul Meier dans son 5e volume : la parabole des mines.

Dernière émission consacrée à l'analyse comparée de la parabole du grand festin. Après un travail leur permettant de retrouver le récit primitif derrière les versions de Luc et de Matthieu, Dominique Villars et Laurent Verpoorten tirent leurs conclusions ultimes au sujet de l'évangile copte de Thomas qui possèdent lui aussi sa version de cette parabole.

En retranchant du récit du grand festin les traits stylistiques propres aux évangélistes Luc et Matthieu, Dominique Villars et Laurent Verpoorten parviendront-ils à retrouver la ou les versions primitives de cette parabole ? C'est tout l'enjeu de cette émission.

Suite et fin de l'analyse historico-critique de la parabole du grain de sénevé suivie de l'analyse de la parabole des vignerons homicides.

La parabole du grain de moutarde, que l'on retrouve dans les 3 évangiles synoptiques, peut-elle être attribuée à Jésus selon les critères de la critique historique ? La réponse avec Dominique Villars et Laurent Verpoorten.