Temps spirituel (Rennes) - page 5

Chaque jour, RCF Alpha vous propose un moment hors du temps, un moment pour découvrir la parole de Dieu, un moment pour prier.
Le temps spirituel de RCF Alpha vous offre la chance de vivre un temps de communion en union de prière avec la communauté des auditeurs de RCF Alpha, grâce à la lecture et au commentaire de l'Evangile du jour. Le temps spirituel de RCF Alpha s'adresse à tous, chrétiens ou non et vous permet de vivre quotidiennement un temps de méditation pour démarrer la journée.

Temps spirituel (Rennes) - page 5
Chaque jour, RCF Alpha vous propose un moment hors du temps, un moment pour découvrir la parole de Dieu, un moment pour prier.
Le temps spirituel de RCF Alpha vous offre la chance de vivre un temps de communion en union de prière avec la communauté des auditeurs de RCF Alpha, grâce à la lecture et au commentaire de l'Evangile du jour. Le temps spirituel de RCF Alpha s'adresse à tous, chrétiens ou non et vous permet de vivre quotidiennement un temps de méditation pour démarrer la journée.
Evangile du 17 janvier Chantal BAGOT

Evangile du 16 janvier Rosalinda MERINO

Evangile du 15 janvier Henri MASSON

Evangile du 14 janvier Michel YVET

Evangile du 13 janvier Dany MICHON

Evangile du 12 janvie Danièle MARECHAL lu par Sylviane MARECHAL

Evangile du 11 janvier Nathalie DAVAULT

Dans les quelques lignes de cet Evangile, je perçois un condensé de la mission du Christ et de ses amis, un chemin, une progression dans le temps et l’espace.
Je suis la journée de Jésus et ses amis depuis la sortie de la synagogue dans la matinée jusqu‘au soir après le coucher du soleil et enfin le matin suivant bien avant l’aube. Je le suis dans son parcours qui me mène de la synagogue de Capharnaüm, la ville où il habite, à la maison de son ami Simon, puis dans un endroit désert et enfin ailleurs, dans les villages voisins et dans toutes les synagogues de Galilée. Je rencontre d’abord ses amis proches, Jacques, Jean, Simon, André et la mère de Simon, puis la ville entière qui se presse à la porte de la maison de Simon.
Au petit matin, je pars avec Jacques, Jean, Simon et André à la recherche de Jésus. Nous le trouvons en prière dans un endroit désert et nous lui disons : « Tout le monde te cherche ». Jacques, Jean, Simon, André et la mère de Simon te cherchent, les villageois guéris te cherchent et, moi-même, je te cherche. Alors, tu nous invites à te suivre ailleurs dans les villages voisins. Pour te trouver, il faut te suivre, vivre avec toi, ne pas rester chez nous à Capharnaüm mais aller témoigner de ce que nous avons vu et de ce que tu as fait pour nous.
Tu es en mouvement. A tes amis qui te disent « Tout le monde te cherche », tu réponds « Allons ailleurs, dans les villages voisins ». Chercher Dieu, ce n’est pas un but à atteindre. Quand je te trouve, tu m’invites à aller ailleurs avec toi. Chercher Dieu, c’est me mettre en mouvement, te suivre où tu m’emmèneras. Tu te dévoileras à moi en chemin dans le temps et l’espace de ma vie si j’y prête attention.
Pour cela, Jésus, apprend-moi à prier comme toi avant de commencer ma journée pour me laisser envoyer par Dieu le Père et guider par l’Esprit Saint auprès des personnes que je vais rencontrer aujourd’hui.
Evangile du 10 janvier Monique MERLY

Questions qu'on peut se poser:
Mais d'où vient l'autorité de Jésus, dans son enseignement et son agir, au nom de quoi la Lui reconnaître? S'appuie-t-il sur la Loi, Lui aussi?? certes Jésus est juif, mais ni scribe ni pharisien …et que penser de son acte, un jour de sabbat??
Mais plus encore, Dieu a-il des exigences à notre égard? Attend-Il de nous que nous exécutions la Loi, le mieux possible ? Cela en nous pliant à un pouvoir quasi dictatorial ou tyrannique..? Notre Dieu serait-il un Père-fouétard, un tyran cherchant à nous soumettre?
Jésus ne va pas dissocier son enseignement (dont Marc ne nous dit rien! ) d'un acte, chargé de sens, qui manifeste son autorité et de Qui il la reçoit: une autorité qui ne Lui vient pas d'une interprétation des Ecritures; et c'est à travers cet acte qu'Il la signifie et signifie sa source, qui est ce Père dont Il se dira l'Envoyé et l'expression. Et ce qu'Il exprime à nos yeux dans cet acte, c'est essentiellement une libération! La libération de ce qui en chacun est possédé, manipulé par un démon! (...c'est sans doute là l'image de tous les démons qui nous habitent et nous privent d'une liberté réelle!!) nos actes peuvent parler davantage que nos discours savants..
En tous cas, Dieu n'est pas ce tyran que nous pourrions redouter: un tyran qui attendrait de nous que nous renoncions à jouïr de notre pouvoir de décision, que nous renoncions à notre liberté , que pourtant Lui-même nous a donnée...Est-ce là le Dieu de Jésus? non! Seulement notre Père veut réelle notre liberté ..! Dans son acte, Jésus, nous met en garde contre tout ce qui nous donne l'illusion d'être réellement libres,( nous- mêmes, comme nous aimons le dire) , comme par exemple nos impulsions, notre tentation de défendre seulement notre intérêt ou notre point de vue très personnel, notre tentative de n'en faire qu' à notre tête...
Finalement Jésus, Lui qui reçoit son autorité de son Père et non de la Loi strictement appliquée, Lui qui nous trace un chemin vers son Père, ne nous apprend-il pas ici que comprendre les Ecritures c'est toujours, avant tout, admettre que le Père nous veut véritablement humains. Dieu n'attend rien des hommes sauf assûrement ce qui révèle en eux ce qui pourait les ouvrir à Son Amour!..et leur permettre d'y répondre!!
Aujourd'hui, comme hier, nous avons un Sauveur, Jésus, qui nous libère de toutes nos illusions, en particulier celle d'être libres, quand nous cèderions à ce qui nous habite et satisfait notre part d'ombre!!
Evangile du 9 janvier Isabelle LAURENT

Evangile du 8 janvier Luc BOUGE

Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui
Ces mages, ces savants, ces étrangers païens venus d'Orient ont fait une découverte totalement inattendue : une nouvelle étoile est apparue dans le ciel et cette étoile annonce la naissance du roi des Juifs. Cette découverte est tellement extraordinaire qu'ils se mettent en route malgré toutes les questions qu'elle pose.
L'étoile est apparue à l'orient, à l'est, comme toutes les étoiles. Et pourtant ces mages se mettent en route vers le pays des Juifs, plein ouest.
Le peuple juif est sous administration romaine, avec un roi, Hérode, nommé par les Romains qui a fait assassiner sa femme et plusieurs de ses enfants pour consolider son pouvoir. Et pourtant, ces mages viennent voir le roi des juifs qui vient de naître, celui qui doit donc devenir roi à sa place.
Ils ne connaissent visiblement rien de cet enfant. Et pourtant ces mages lui ont préparé de précieux cadeaux soigneusement choisis : de l'or, de l'encens et de la myrrhe.
Et voici que l’étoile qu’ils avaient vue à l’orient les précédait
Ces mages, ces savants, ont été bouleversé par un événement incompréhensible, hors de toute logique ordinaire. Mais une fois en route, ils agissent de manière tout à fait logique, en utilisant toute leur expérience de savants. Ils mènent l'enquête et ils arrivent à une conclusion tout à fait inattendue. Ce n'est pas dans la capitale, Jérusalem, qu'ils trouveront le roi des Juifs, mais dans une tout petite ville, Bethléem.
Et c'est alors, au terme de toute cette enquête déroutante, qu'un signe de confirmation leur est donné : l'étoile qu'ils avaient vu se lever à l'est s'est déplacée juste au-dessus de Bethléem. Eux qui se sont mis en route avec toute leur intelligence, toute leur expérience de savants sont confirmés dans leur démarche de chercheurs. Et c'est pour eux une très grande joie !
Quand ils virent l’étoile, ils se réjouirent d’une très grande joie
Ces mages font ainsi l'expérience de l'unité profonde de l'ensemble de leurs vies, du sens profond de leur mise en route La révélation extraordinaire de cette naissance converge avec la démarche rationnelle de savants rigoureux et persévérants. C'est une expérience à la fois personnelle pour chacun d'entre eux, et communautaire pour l'ensemble de leur groupe. À la fois les 3 cadeaux sont complètement différents, et en même temps ils sont déposés ensemble, aux pieds du même enfant.
Cette grâce d'unité, à la fois personnelle et communautaire, porte du fruit. Ces mages choisissent tous ensemble de retourner chez eux par un autre chemin sans que cette décision soit cause de division.
C'est aujourd'hui le dimanche de l'Épiphanie, c'est-à-dire de la manifestation du Christ dans le monde. Que nous puissions nous aussi recevoir la grâce de cette grande joie de l'unité profonde, à la fois personnelle et communautaire, tous ensemble prosternés au pieds du même sauveur, Jésus le Christ.
Evangile du 6 janvier Agnès PERSEHAIE

Evangile du 5 janvier Gilles DE COURREGES

Evangile du 4 janvier Jean-Baptiste MORIN

Evangile du 3 janvier Patrick PUECH

Evangile du 2 janvier Naomi BUICK

Jourdain ceux qui répondaient à son appel à la repentance et à un changement de vie. Cela faisait des siècles qu’il n’y avait pas eu de prophètes dans le pays, et les autorités religieuses ressentaient le besoin d’en savoir plus sur lui. Qui était cet homme qui attiraient ainsi les foules ?
La réponse de Jean à leurs questions est claire : « Non, non, non » leur répond-il. Il n’est pas le Messie, il n’est pas Élie, il n’est pas le prophète. Les autorités religieuses voulaient savoir qui était Jean et pourquoi il croyait qu’il avait l’autorité de pratiquer des baptêmes. En réponse à leur insistance, Jean cite le prophète Esaïe : « Je suis la voix de celui qui crie dans le désert. Je prépare un chemin bien droit pour le Seigneur. » Jean ne cherche pas à se défendre ou à se justifier. Il se contente de montrer celui qui vient, celui pour qui il prépare le chemin.
Sa réponse ne satisfait pas les pharisiens envoyés pour le questionner, qui
estiment que Jean n’a pas l’autorité de pratiquer ces baptêmes. Plutôt que de se réjouir parce que les gens reviennent à Dieu, ils se préoccupent des
qualifications de celui qui les baptise. La réponse de Jean est toujours de
détourner leur regard de lui vers celui qui est plus grand que lui. Celui qui est
tellement plus grand que lui qu’il ne se considère pas digne même de délier la
lanière de ses sandales.
Jean avait compris qu’il ne s’agissait pas de se mettre en avant. Il savait que ce n’était pas lui qui jouait le rôle principal. Sa mission était d’indiquer celui qui
venait – celui qui est le Sauveur. Il savait quelle était sa juste place et n’essayait pas d’aller au-delà. Il trouver son épanouissement dans l’annonce de celui qui est l’agneau de Dieu qui enlève le péché du monde.
Evangile du 1er janvier David BUICK

Au milieu de tout le brouhaha du premier Noël voilà que Marie la mère de Jésus
émerge immuable, au premier plan dans l’action mais semble-t-il avec le don du
recul. Nous lisons qu’elle retient tous ces événements et les médite dans son cœur.
Elle se rend compte que beaucoup de choses sont en train de se passer en très peu de temps, et que sa vie est en train de changer profondément.
Comme toute maman ou papa peut l’attester, le simple fait de devenir parent vous change déjà la vie. Et là ce n’est pas n’importe quel enfant. Son nom, Jésus, donné non seulement lors de sa circoncision mais aussi au préalable par un ange, en est le rappel. La mère de Jésus commence certainement à prendre conscience du fait qu’elle est en train de remplir un rôle particulier dans une histoire qui va retentir bien au-delà du cercle familial pour toucher le monde entier.
Marie retient donc tous ces événements ; de plus elle a l’intelligence de ne pas
réagir dans l’impulsivité, dans le feu de l’action ; elle prend plutôt le temps de les méditer dans son cœur. Après ce temps d’activité intense et de multiples
rencontres viendra un temps de silence. Les visiteurs s’en vont, la cérémonie
religieuse se termine, chacun rentre chez lui. Sans doute ce sera un soulagement pour la jeune famille qui jusqu’à là n’avait pas un seul moment pour elle toute seule ; dans le même temps, ce texte marque pour elle le début d’une transition vers plusieurs décennies d’une vie plus normale, loin de l’actualité et loin aussi des temps forts spirituels.
Mis à part quelques rares épisodes, une trentaine d’années dans la vie de Jésus et de sa famille vont s’écouler sans que nous en sachions le moindre détail ; les Ecritures n’en font aucune mention. On pourrait se dire que ce sont autant d’années inutiles, stériles, pourtant elles aussi ont été nécessaires pour que notre Sauveur vienne, qu’il grandisse, qu’il s’incarne non seulement en chair et en os mais aussi dans un foyer, dans une culture, et en société, pour qu’il puisse ensuite accomplir pleinement son ministère public.
De telles années sont certes moins hautes en couleur, mais ce sont ces années-là qui sont propices à la méditation, la relecture des temps forts spirituels de notre vie, et à leur traduction dans notre quotidien. Marie l’avait bien compris.
Evangile du 31 Décembre Thierry LAMY

Evangile du 29 Décembre Isabelle DELTOMBE

Evangile du 28 décembre Pierrette MAIGNE

Evangile du 27 Décembre LE TOUZE
