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Temps spirituel (Rennes)
Temps Spirituel

Temps spirituel (Rennes) - page 22

Chaque jour, RCF Alpha vous propose un moment hors du temps, un moment pour découvrir la parole de Dieu, un moment pour prier.

Le temps spirituel de RCF Alpha vous offre la chance de vivre un temps de communion en union de prière avec la communauté des auditeurs de RCF Alpha, grâce à la lecture et au commentaire de l'Evangile du jour. Le temps spirituel de RCF Alpha s'adresse à tous, chrétiens ou non et vous permet de vivre quotidiennement un temps de méditation pour démarrer la journée.

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Episodes

  • Temps Spirituel

    Evangile du 25 juillet Maryvone NIVOIT

    25 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 23 juillet Père André Davenel lu par Bertrand Jardin

    23 juillet 2022

    Commentaire de l’Evangile du samedi 23 Juillet 2O22 pour la fête de Sainte brigitte de Suéde Marc 3/31-35  préparé par le père André DAVENEL et lu par Bertrand  JARDIN ;

    Jésus disait : ‘ Celui qui fait la volonté de Dieu.,celui-là est mon frère,ma sœur,ma mère.’

    Sainte Brigitte de Suède, que nous fêtons en ce jourfait partie de de ‘gigantesque cortège des frères et sœurs du Christ…elle qui a su vivre dans la pauvreté,,se donner à laprière, et œuvrer pour la  RECONCILIATION ;

    Parce qu’elle a fait la vollonté du Père, elle est sœur du Christ, et,en cela réside sa sainteté…Notre vrai famille se fonde,non pas d’abord dans les liens de sang, mais dans la volonté de Dieu,si nous vivons de l’Esprit Saint….Nous sommes faits pour l’infini de Dieu…et rien d’autre ne pourra nous satisfaire…Nous vivons cette parenté avec Dieu.. ; dans tout ce qui fait notre vie : dans nos relations avec notre Cité,,nos amitiés,,notre culture..La grandeur de la ‘ CIVILISATION EUROPEENNE ‘,avectout ce qu’elle peut avoir de ‘douloureux,d’horrible, de sombre dans son passé et dans son présent…sa ‘grandeur’ s’enracine’ dans l’amour de Dieu…’

    Que Sainte Brigitte de Suède,,co-patronne de l’Europe, nous fasse vivre de cette ‘volonté de Dieu’

    Quel’Europe puisse se ‘nourrir’ des  racines chrétiennes’,dans un esprit de PAIX, defraternité universelle, dans le respect des  droits de l’Homme, pour porter ainsi les ‘fruits de l’Esprit’ et accomplir ainsi la volonté du Père…

     

  • Temps Spirituel

    Evangile du 22 juillet Pierre GIAUME

    22 juillet 2022

    Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 20,1.11-18.

    Mes amis, voilà une sacrée page d’évangile à commenter ! Je trouve qu’elle vient merveilleusement illustrer les trois vertus théologales de l’Église Catholique, à savoir : la Foi, la Charité et l’Espérance. La Foi de Marie-Madeleine, la Charité de Jésus et l’Espérance de la résurrection incarnée par le Christ vainqueur de la mort.

    Ce texte est si riche de fait relatés, d’expressions, ou plus simplement de mots qui m’interpellent : La scène se passe le premier jour de la semaine, comme pour nous signifier qu’il s’agît d’un nouveau départ. De grand matin certes, mais c’était encore les ténèbres. Il y a aussi la présence à deux reprises de cette question : « Femme, pourquoi pleures-tu ? ». Elle fait directement écho en moi avec cette autre question posée par Jésus à sa mère, la vierge Marie, lors des Noces célébrées à Cana : « Femme, que me veux-tu » ?

    Une femme qui voit le Christ ressuscité pour la première fois et non l’un des 11 apôtres restants. Là aussi, il y a matière à être interpelé. Et pourquoi Marie-Madeleine pense reconnaître le jardinier ? Jésus n’avait-il pas le même visage que sur terre une fois ressuscité ? Ou bien était-ce tout bonnement inconcevable pour Marie-Madeleine d’imaginer qu’elle avait Jésus en face d’elle, puisque celui-ci était mort et enterré ? J’aime aussi la façon avec laquelle Jésus « réveille » en quelque sorte Marie-Madeleine en l’interpelant alors qu’elle s’est déjà vraisemblablement retournée. « Marie ! ». Comme si d’être à nouveau appelée par le Christ lui avait enfin ouvert les yeux.

    Pour moi, cette page d’évangile résonne comme une interrogation : m’arrive-t-il de ne pas reconnaître Jésus alors qu’il est proche de moi ? Cette interrogation me fait d’ailleurs penser à deux versets de l’évangile selon St-Matthieu : « Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi ! ». Jésus, c’est l’autre, c’est mon prochain. Suis-je en capacité d’accueillir ce dernier en reprenant les paroles du Seigneur : « Pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » ?

    Je voudrais partager avec vous un moment que j’ai vécu il y quelques mois, et qui m’a profondément marqué. La scène se passe dans notre maison alors que nous finissons un bon dîner avec des amis nous sont chers, à mon épouse et moi-même. Quelqu’un sonne à la porte à 23h passées, et nous n’attendions personne. Courageux mais pas téméraire, je passe la tête par la fenêtre et découvre au pied de notre maison un homme de la rue, probablement aviné et qui semble me réclamer quelque chose à manger. Il n’avait pas l’air trop agressif mais je n’étais pas rassuré. Je renonce à lui envoyer de la nourriture depuis le 1er étage (quand j’y repense, je me sens tellement honteux d’avoir envisagé cette possibilité) et me décide à aller lui ouvrir la porte. Je découvre alors un homme abîmé par la vie, avec une grande barbe et de profonds yeux bleus. Je lui tends du pain et un saucisson qu’il jette à terre, m’expliquant dans un français alcoolisé qu’il ne va pas se rabaisser à accepter de la nourriture, mais qu’il aimerait en revanche que je lui donne de l’argent. Ce que je refuse de faire. Je lui ai dit que j’étais prêt à discuter avec lui, mais pas à cette heure tardive et pas s’il était autant alcoolisé. Il a fini par s’en aller, en me répétant à voix basse et les yeux humides : « Je n’ai pas bu Monsieur, je n’ai pas bu »

    Voilà, cet homme, c’était le Christ. Et a priori, je ne l’ai pas reconnu du premier coup, moi non plus…

    Belle journée à vous mes amis.

     

  • Temps Spirituel

    Evangile du 21 juillet Reine de KERDANET

    21 juillet 2022

    Matthieu 13 (10-17)

    La période de l’été peut être un moment propice pour nous asseoir sur le rivage, et, comme cette foule rassemblée auprès de Jésus, ouvrir nos yeux et nos oreilles, prendre le temps de nous réjouir de voir et d’entendre ce qui est beau.

    Par la parabole du semeur, Jésus vient de rappeler que Dieu donne inlassablement, même si le grain semé ne germe pas toujours. Le désir de Dieu est de nous guérir de nos surdités et de nos aveuglements. Pour pouvoir toucher nos cœurs, il passe par nos 5 sens, et nous fait signe. Il ne s’impose pas mais veut que nous soyons libres d’aller vers lui, de faire germer les graines qu’il nous a confiées.

    Cette part de liberté, le prophète Isaïe déplore qu’elle nous conduise parfois à nous boucher les yeux et les oreilles.

    En ce moment, dans notre entourage, y a-t-il des choses que nous refusons de regarder ou d’entendre ?

    Dans les différents domaines de notre vie, quels sont les sols pierreux, les ronciers, les lieux où il y a de la bonne terre ?

    En écoutant nos proches, nous pourrions être surpris de constater que ce qui leur apparait fécond ou au contraire stérile dans notre vie ne correspond pas forcément à notre propre regard.

    On peut regarder sans voir, écouter sans comprendre.

    Les disciples osent poser cette question à Jésus : « pourquoi leur parles-tu en paraboles ? » Ils semblent même lui reprocher son mode de communication. 

    Craignent t’ils que son message ne soit pas clair ? inaudible ?

    Nous pourrions aussi parfois rêver que Dieu se manifeste à tous de façon évidente, que sa parole touche tous les cœurs. 

    Mais Jésus nous surprend en répondant que cela ne nous concerne pas. 

    Que l’important n’est pas de convaincre mais que chacun puisse vivre intérieurement une conversion. 

    En toute situation, il y a ce qui dépend de nous (ne pas nous boucher les oreilles et les yeux) et ce qui ne dépend pas de nous (ce que nous avons reçu : des graines à semer, une foi à respecter, des valeurs à transmettre…).

    Connaître les mystères du royaume des cieux, c’est peut-être voir et entendre la présence de Dieu dans tout ce qui est bon, dans les personnes que nous croisons, et choisir de faire confiance, d’espérer, d’aimer, quoi qu’il arrive. 

    Nous ne choisissons pas le type de graines que nous ferons germer, ni le lieu de la plantation, nous ne verrons pas les fruits. 

    Mais nous pouvons choisir de creuser un sillon, de refléter l’amour reçu car il nous a rendu heureux. Le bonheur de notre Dieu est de prendre soin de nous, pour que nous prenions soin les uns des autres. 

    Aide nous, Seigneur, à ne pas chercher à nous comparer aux autres, à accepter de ne pas tout comprendre, donne-nous d’accomplir seulement la petite part que tu espères de nous.

     

  • Temps Spirituel

    Evangile du 20 juillet Julien BISCHOFF

    20 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 19 juillet Jean-Pierre GUOIN

    19 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 18 juillet Jean-Pierre POMMIER

    18 juillet 2022

     

    Commentaire Mt ch 12 v 38 à 42

    16ème Semaine du Temps Ordinaire de la férie

     

    Bonjour à tous,

    Nous venons d'entendre que certains scribes et pharisiens demandaient un signe venant de Jésus mais étaient-ils disposés à le recevoir? Ils avaient été témoins de miracles mais ils ne leur convenaient pas! 

    Un autre signe leur conviendrait-t-il ? On peut en douter et Jésus le sait.

    Alors, à la lumière de ce récit, je vous propose de nous poser deux questions : comment reconnaître un signe venant de Jésus et comment puis-je être signe pour mon entourage ?

    Les scribes et pharisiens cités par Matthieu "voudraient" un signe, c'est au conditionnel. En réalité, ils ne veulent pas reconnaître Jésus en tant que Dieu car ils pensent qu'ils perdraient les pouvoirs qu'ils se sont arrogés, au-delà de ce que nécessite leur fonction et en élargissant leur zone de confort.

    Alors, pour reconnaître un signe de Dieu, il ne faut pas poser de conditions mais se disposer à l'accueillir en préparant son intelligence et son cœur. 

    Jésus a dit qu'Il était venu accomplir les Écritures, donc, pour préparer son intelligence, une certaine connaissance de la Bible et de la Tradition chrétienne aidera à la re-connaissance. Voyez la reine de Saba qui est venue consulter Salomon.

    Pour préparer son cœur, la pratique de la prière et des sacrements est aussi une grande aide pour percevoir et reconnaître la présence de Dieu.

    Mais, aujourd'hui, une grande majorité de nos concitoyens ne connaissent rien de Dieu.

    Pourtant, tout être humain, au plus profond de son cœur, a soif de Dieu car c'est en Dieu seul qu'il trouvera le vrai bonheur.

    Alors, c'est là que la deuxième question prend toute son importance : comment, moi, personnellement, suis-je signe de Dieu pour ceux qui m'entourent ?

    Comme Jonas, je commence souvent par refuser ma mission mais quand, finalement, même sans avoir reçu un autre signe de Dieu, je l'accepte enfin, alors je vois ce que Dieu peut faire à travers moi … comme Jonas qui traverse Ninive trois fois plus vite. 

    Si je laisse Jésus demeurer en moi, si je laisse Jésus me piloter, si j'accepte de sortir de ma zone de confort, alors Jésus peut me faire faire des choses inimaginables ! Allez lire Jean 14,12 !

    En fait, si je fais des choses ordinaires pour moi mais emplies de l'Esprit Saint, elles seront signes pour celles et ceux qui y reconnaîtront la présence de Dieu.

    Alors, profitons de cette période de vacances pour être plus réceptifs aux signes de Dieu et en faire profiter ceux que nous rencontrerons … à Ninive ou ailleurs. Et b onnes vacances !






     

  • Temps Spirituel

    Evangile du 15 juillet Alain GARRIC

    15 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 13 juillet Joseph BLANCHARD

    13 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 12 juillet Philippe NOURRIT

    12 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 11 juillet Gwennaëlle GARY

    11 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 10 juillet Rémy Senant

    10 juillet 2022

     

    Luc 10, 25-37

        En ce temps-là un docteur de le Loi mit Jésus à l’épreuve nous dit Sait Luc. Chaque péché, c'est-à-dire, chaque acte contraire à l’amour, que nous posons, met quelque part Dieu à l’épreuve. Le premier péché, le péché d’Adam fut une mise à l’épreuve de Dieu, un manque de confiance en sa parole, qui demandait de ne pas manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Et jusqu’à la fin du monde, l’homme subira les conséquences de ce premier manque de confiance en Dieu, que l’Église appelle le péché originel.

     

         « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur … et ton prochain comme toi-même. » Jésus accrédite cette réponse du docteur de la Loi, et il l’invite à mettre en pratique cette façon d’agir. L’Évangile, les Commandements, explicitent, précisent les moyens à prendre, pour mettre en œuvre cet amour, ils ne disent rien d’autre, que cette nécessité vitale d’aimer Dieu et d’aimer son prochain.

     

        La question du « Qui est mon prochain ? » posée par le docteur de la Loi fait peut-être référence à l’ancienne Loi qui disait : « Tu aimeras ton prochain, tu haïras ton ennemi » cette Loi que Jésus est venu non pas abolir, mais accomplir en la menant à sa perfection, quand il a déclaré : « Moi, je vous dis : aimez vos ennemis ! »

     

        Jésus nous donne ici l’exemple du prêtre et du lévite pour bien montrer que ce n’est pas notre fonction dans l’Église, notre responsabilité dans la société, qui ont de l’importance aux yeux de Dieu, mais bien les actes que nous posons. De plus, il met en garde ceux qui ont des responsabilités, des engagements importants, ceux qui ont reçu des grâces particulières, en disant : «À celui qui a beaucoup reçu, il sera demandé davantage ».

     

        La demande du samaritain à l’aubergiste : « Prends soin de lui. » est le pur reflet de tout l’Évangile. Prends soin de celui qui t’est donné comme prochain pour aujourd’hui, ici et maintenant, dans les circonstances actuelles, selon tes moyens du moment, c’est lui qui est ton prochain pour aujourd’hui, alors, prends soin de lui ! Aimer ton prochain, c’est déjà commencer à aimer Dieu, lui que tu dois aimer par-dessus tout, parce que son amour à lui, envers toi, est sans mesure, sa miséricorde envers toi est sans mesure, et l’éternité de bonheur, cette vie éternelle dont parle le docteur de la Loi, cette vie éternelle, que ton Dieu t’a préparée, ne peut se mesurer. À toi de l’accueillir, en aimant tout simplement tes frères, en aimant tout simplement ton Dieu, en aimant tout simplement ton Dieu à travers tes frères. Amen.       


     

     

  • Temps Spirituel

    Evangile du 9 juillet Suzanne THOMAS

    9 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 8 juillet Anne-Marie DURAND

    8 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 7 juillet Chantal OVIGNEUR

    7 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 6 juillet Marc SERIZAY

    6 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 4 juillet Jeanne-Françoise HUTIN

    4 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 3 juillet Pierrick DESDOIGTS

    3 juillet 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 2 juillet Marie-Thérèse MARCHAND

    2 juillet 2022

     

        Commentaire de Matthieu 9/14-17

                                                      

     

    Au temps de Jésus, le jeûne était une pratique courante chez les juifs. On ne mangeait pas, on ne travaillait pas les jours de jeûne… en parcourant les livres du premier Testament, et celui des Actes des Apôtres, on découvre souvent le recours au jeûne , accompagné de la prière comme attitude de foi, d’humilité devant Dieu ; on lui demande ainsi pardon, on lui fait des offrandes, on le supplie …ce n’est pas une hygiène corporelle, comme certains nous le proposent aujourd’hui.

    On comprend donc aisément l’incompréhension des disciples de Jean le baptiste…

    Jésus ne réfute pas cette pratique ; il l’a vécue au désert ; mais il demande que le jeûne garde son sens, qu’il soit discret par exemple : « ce jour là, parfumez-vous la tête » « prie ton Père dans le secret »

    A ceux qui l’interrogent, Jésus répond que ce n’est pas le temps pour ses disciples de vivre le jeûne car en sa présence et en vivant avec lui, ils sont tout proches de Dieu , ils sont déjà dans le temps des épousailles promises par Dieu. Ses auditeurs connaissent les prophètes qui parlent de leur peuple comme de l’épouse, fidèle ou infidèle… Ainsi Jésus s’affirme comme l’Epoux … jeûner, ce sera pour ses disciples, être privés de sa présence… 

    Ce l’est pour nous, lorsqu’il nous semble qu’il est absent à notre monde qui va mal, qui souffre de divisions, de non sens …. quand les guerres continuent malgré nos prières incessantes … ne faut-il pas alors retrouver le sens que les juifs donnaient à leurs journées de jeûne : acte de foi, d’humilité, de confiance que pourtant Dieu demeure inlassablement Père plein de tendresse pour chacun ; à chacun de nous donc  de découvrir de quelle manière il est appelé dans son quotidien pour se renouveler afin d’accueillir dans son coeur purifié le fruit de la Promesse : la joie et la paix au-delà de l’épreuve. Bonne journée

     

    musique : « Silent Partner »

     

    N° 6 du CD : Songes d’une nuit d’été



     

     

     

  • Temps Spirituel

    Evangile du 1er juillet Chantal BAGOT

    1 juillet 2022

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