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Temps spirituel (Rennes)
Temps Spirituel

Temps spirituel (Rennes) - page 18

Chaque jour, RCF Alpha vous propose un moment hors du temps, un moment pour découvrir la parole de Dieu, un moment pour prier.

Le temps spirituel de RCF Alpha vous offre la chance de vivre un temps de communion en union de prière avec la communauté des auditeurs de RCF Alpha, grâce à la lecture et au commentaire de l'Evangile du jour. Le temps spirituel de RCF Alpha s'adresse à tous, chrétiens ou non et vous permet de vivre quotidiennement un temps de méditation pour démarrer la journée.

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Episodes

  • Temps Spirituel

    Evangile du 26 octobre Antoine PELLETIER

    26 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 25 octobre Xavier GOUX

    25 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 23 octobre Maryvonne NIVOIT

    23 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 21 octobre Père André DAVENEL (lu par Bertrand Jardin)

    21 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 20 octobre Pierre GIAUME

    20 octobre 2022
    Mes amis, il y a un fait assez étonnant pour être relevé concernant cette page d’évangile, c’est qu’elle nous a déjà été proposée cette année, un dimanche qui plus est ! En effet, notre texte du jour était aussi celui du 14 août dernier. Je m’en souviens bien car nous étions en vacances à ce moment-là et lors de la messe dominicale qui avait lieu dans la chapelle où nous nous sommes dit « oui » pour la vie il y a 17 ans avec mon épouse, le prêtre avait commencé son homélie en nous expliquant qu’il valait mieux être un beau-père ou un gendre en ce 14 août, puisque ce sont les seuls à ne pas devoir se diviser selon Jésus. Au-delà du petit trait d’humour, cette parole m’avait tout particulièrement touchée car mes propres beaux-parents se sont séparés il y a plus de dix ans, et pour tout un tas de raisons diverses, il se trouve qu’aujourd’hui je n’ai plus aucun contact avec mon beau-père avec lequel j’entretenais pourtant une belle relation jadis. Finalement, pour se diviser, il faut au préalable être en contact, se voir, se parler, et quelque part s’aimer... Sans amour (humain), pas de division. Et sans division, est-ce que l’amour humain est possible ?
    Comme pour beaucoup d’entre nous je suppose (enfin plutôt je l’espère), je trouve que cette page d’évangile n’est pas la plus simple à appréhender : un feu qui n’est pas encore allumé, un baptême qui représente avant tout une source d’angoisse et puis en bouquet final, la division plutôt que la paix. Merci Jésus pour un tel programme à commenter !
    Reprenons dans l’ordre : le feu, l’eau et la division.
    Au premier abord, le feu n’a pas forcément une connotation très joyeuse : le feu qui tue, le feu qui brûle tout, le feu qui sème la mort sur son passage. Mais aussi le feu qui purifie, le feu qui permet de cuire la nourriture et donc de la rendre plus nutritive, le feu qui réchauffe le corps et l’âme. J’imagine qu’il s’agît du feu de l’Esprit Saint évoqué par Jésus à travers les mots de Saint-Luc dans notre texte du jour.
    Puis vient le tour de l’eau et du baptême. Cependant, à y regarder de plus près, Jésus ne doit pas parler de son propre baptême dans le Jourdain par Saint Jean-Baptiste, puisque celui-ci a déjà eu lieu… neuf chapitres plus tôt dans ce même évangile ! Il doit donc s’agir ici de sa propre résurrection. Plongée dans la mort puis renaissance après l’avoir vaincue. On imagine alors aisément toute l’angoisse que doit représenter ce « passage » pour Jésus.
    Enfin la division dans les familles. Là, j’ai beau chercher, difficile de trouver quelque chose de réellement positif dans ce passage : Jésus prône habituellement la paix et l’amour et voilà qu’il vient en fait pour nous diviser. Et si on n’a pas compris le message, il insiste avec un exemple bien concret : dans la famille divisée, je voudrais le Père. Bonne pioche !
    Plus sérieusement, j’imagine que Jésus nous met au défi avec cette parole. Être chrétien, c’est en quelque sorte vivre le défi de l’amour au cœur d’un monde qui n’est pas fait pour ça et au cœur de familles blessées par le péché originel. La division, si elle a pour but de faire triompher l’Amour (avec un grand « A ») est probablement salutaire. Il nous faut ainsi cesser de croire en une unité familiale parfaite car la première des évangélisations commence au sein de nos propres cercles familiaux. Et à y réfléchir, ce n’est déjà pas une mince affaire.
    « On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille » comme le chantait Maxime Le forestier dans sa magnifique chanson « Né quelque part ». On ne choisit pas sa famille mais on peut choisir de se diviser (un peu), pour aimer (beaucoup) le Christ à travers elle.
    Je vous souhaite une belle journée mes amis.
  • Temps Spirituel

    Evangile du 19 octobre Reine de KERDANET

    19 octobre 2022
    Jésus a répondu indirectement à la question de Pierre.
    Oui, le Seigneur s’adresse à tous en disant « tenez-vous prêt », mais tous n’entendent pas les mêmes appels en écoutant cependant la même parole,
    car ce qui est à convertir au cœur de chacun est différent.
    La vigilance à avoir, pour tous, c’est de ne pas laisser le mal envahir la maison, car le mal vient « comme un voleur ».
    Notre chance, c’est que Dieu aussi vient à l’improviste dans nos vies. Comme à la Pentecôte, il traverse les murs, ceux de nos indifférences et de nos manques d’amour. Il nous surprend en venant parfois mettre de la vie là où nous ne voyons que souffrance et mort.
    Dieu ne demande peut-être pas la même chose à chacun, mais il demande à chacun de s’engager en conscience, en tant que serviteur fidèle à la parole reçue de lui.
    Chacun reçoit sa vie, des talents à développer, des responsabilités à assumer.
    Je peux me demander ce que j’ai reçu comme travail.
    A qui je suis chargé de donner, en temps voulu, sa part de blé ?
    Dans quels domaines je peux nourrir les autres, être porteur d’espérance, témoin de la bonté et de la joie d’aimer?
    Si j’ai reçu des responsabilités, suis-je attentif à la manière d’appliquer avec bienveillance les règles qui régissent la maisonnée ?
    Dans le débat actuel en France sur les conditions de la fin de vie, chacun de nous peut essayer de clarifier ce qui, en conscience, l’invite à agir : cela peut retentir comme des appels différents, selon ce qui nous touche le plus :
    Certains diront qu’ils veulent :
    -protéger la vie par respect de la création, reçue en tant que don de Dieu.
    - d’autres diront qu’il veulent avant tout soulager la souffrance
    -D’autres encore qu’il leur revient d’être présent, par la parole ou le silence, afin de partager ces moments douloureux mais si vivants, où nos fragilités deviennent source d’humanité, peuvent nous faire grandir, et parfois même devenir mystérieusement germes de résurrection.
    Seigneur, fais -nous connaître ta volonté, apprends-nous à être responsables : que nos paroles et nos actes soient manifestation de ta présence au cœur des vies blessées. Rends-nous plus humains, plus fraternels.
    Que ceux qui croient te connaître s’appliquent à te servir tout en se laissant surprendre par le « davantage » que tu leur demanderas.
    Sachant que tu attends de ton serviteur qu’il ne se pose pas en juge des actes d’autrui, mais que chaque jour il soit vigilant pour se remettre en cause lui-même, en se posant toujours cette question: « qu’est-ce que je fais aujourd’hui pour être fidèle à ta parole ? pour servir la vie ?»
  • Temps Spirituel

    Evangile du 18 octobre Julien BISCHOFF

    18 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 17 octobre Jean-Pierre GOUIN (lu par Bertrand Jardin)

    17 octobre 2022
    « Gardez-vous bien de toute avidité, car la vie de quelqu’un ne dépend pas de
    ce qu’il possède ». Les richesses matérielles ne donnent pas la vie, elles sont
    davantage sources de tracas, d’amertume entrainant soucis et repli sur soi.
    Nous savons bien que l’argent est utile à notre vie quotidienne, et les
    personnes qui en manquent ont d’autres soucis.
    Tout est en rapport avec l’usage qui en est fait, si ce n’est qu’un moyen
    l’essentiel de la vie est préservé. Si c’est l’objectif final il y a une dérive qui
    conduit le plus souvent à une absence de relations vraies avec autrui. Chacun
    de nous, dans la vie, a pu constater que l’amas de richesses pour elles-mêmes
    ne conduit pas au bonheur. La personne ainsi affairée à la gestion de ses
    biens a la tentation de sa toute puissance et la possibilité de se suffire à elle-
    même sans tenir compte de son entourage. La tentation de l’être humain est
    parfois forte et il faut bien remarquer que notre société aurait plutôt tendance
    à encourager cette façon de faire. La vie ensemble et par conséquent la vie
    avec Dieu doit nous inciter à nous poser la question : « qu’est-ce qui est
    essentiel dans ma vie ?  En quoi ou en qui je mets ma confiance ? ». Le sens
    de notre vie se fait jour peu à peu dans les priorités que nous avons, dans ce
    qui nous parait nous donner la vie, dans ce qui nous rend heureux dans les
    relations que nous avons en vérité. Nos relations nous donneront vite l’image
    de notre vie, notre écoute et nos paroles en seront un témoignage vivant. La
    parole comme le débordement de ce qui est dans notre cœur ne pourra pas
    nous tromper et chassera toutes illusions que nous pouvons encore avoir.
    Sans avoir des biens considérables nous pouvons nous réfugier dans une
    apparence suffisante. Nous sommes des êtres fragiles et nous tenons à une
    certaine sécurité es-ce bien ou mal tout est un problème de dosage mais
    surtout n’y mettons pas notre cœur. Aller à l’essentiel, avoir foi en ce Dieu qui
    ne fait qu’aimer ses créatures et qui l’a montré en Jésus mort et ressuscité
    doit nous inciter à voir dans les frères et sœurs des personnes qui peuvent
    avoir besoin de nous. Ce qui nous permet de nous décentrer de nous-mêmes
    afin d’être attentif à leur besoin. Seule la foi en ce Dieu compatissant peut
    nous inspirer l’attention et l’entraide pour les personnes qui nous sont
    proches, dans la gratuité pour le bien de tous.
  • Temps Spirituel

    Evangile du 16 octobre Jean-Pierre POMMIER

    16 octobre 2022
    Bonjour à tous,
    "En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples de toujours prier sans se décourager." C'est une nécessité et on peut l'examiner en deux points : "toujours prier" et "ne jamais se décourager"
    D'abord "toujours prier", qu'est-ce que c'est ? Je ne vais quand même pas passer tout mon temps en prière ! Et pourtant, c'est possible !
    Quand vous voulez faire un cadeau à quelqu'un que vous aimez, vous commencez par penser à lui ou à elle en vous demandant ce qui lui ferait plaisir.
    Une fois que vous avez trouvé quoi lui offrir, par exemple quelque chose à confectionner ou quelque chose à acheter, vous allez effectivement réaliser cette chose ou l'acheter.
    Mais pendant la réalisation ou l'achat, est-ce que vous arrêtez de penser à votre ami ? Non, bien sûr, et cette pensée va durer au moins jusqu'au moment où vous allez offrir le cadeau et, en fait, elle continuera après.
    Votre pensée sera la joie expérimentée au moment de donner le cadeau et qui durera encore dans votre cœur et dans votre mémoire. Vous serez heureux ou heureuse d'avoir pu offrir ce cadeau et la relation avec votre ami n'aura pas cessé, pas un seul instant, mais sous des aspects différents, adaptés à chaque instant.
    Et prier sans cesse, toujours prier, c'est quoi ? Prier Dieu, c'est être en relation avec Lui par Jésus, en direct ou par l'intermédiaire de Marie et des saints, avec l'aide de l'Esprit Saint.
    Le premier cadeau à faire à Dieu, c'est lui consacrer du temps.
    Le deuxième point, c'est ne pas se décourager.
    Pour continuer sur le parallélisme avec la relation amicale, le premier obstacle qui risque de nous décourager, c'est de ne pas arriver à bloquer un moment pour réfléchir à ce cadeau, pour commencer à prier : qui de nous n'a jamais pratiqué la procrastination, le report répété du temps de prière ? Le remède, c'est le rendez-vous dans l'agenda.
    Un deuxième obstacle c'est "je ne sais pas quoi lui offrir" ou l'équivalent "je ne sais pas prier". Le remède, c'est observer les goûts de l'ami, pour la prière, c'est relire l'Évangile pour voir comment Jésus priait. Jésus priait en pensée, en parole, par action et sans omission.
    Un autre obstacle enfin est la fatigue. Alors reprenez le psaume qui dit que lorsque mon corps dort, mon esprit veille. Donc, mettez-vous en attitude d'adoration et pratiquez l'adodoration et votre ange gardien vous réveillera frais et dispo, le cœur en Joie.
    C'est dommage que je n'ai pas plus de temps pour vous parler de la Joie de la prière mais pratiquez la prière en vérité et vous allez la recevoir.
    Alors je termine avec le mot foi, la foi que Jésus souhaite trouver quand il reviendra. Là encore, il s'agit d'imiter Jésus, Lui qui a dit en Jean 11, 42 : "Père, Je sais que Tu m'exauces toujours". Alors, courage et prions les uns pour les autres.
  • Temps Spirituel

    Evangile du 15 octobre Marie-Anne FOURNEL

    15 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 13 octobre Alain GARRIC

    13 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 13 octobre Alain GARRIC

    13 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 11 octobre Pierrik DESDOIGTS

    11 octobre 2022

    Quand Dieu a créé le monde, il y a mis tout ce qu’il avait : son amour.
    Quand Dieu a créé les hommes, il s’est réservé une petite place au cœur de nous-
    mêmes.
    Voilà que Jésus nous dit que le plus important c’est ce que le cœur voit, entend, vit.

    Nous aurons beau nous cacher derrière des rites et des coutumes, nous aurons beau
    observer toutes les recommandations du bien vivre, si le cœur pense, dit ou fait le
    contraire, à quoi cela peut-il nous mener ?
    Certes, il est bon de se laver les mains que l’on porte à la bouche pour se nourrir. Mais
    si notre cœur est empli d’inimitié, de rancœur, voire de haine, quel bénéfice aurait-on à
    déjeuner avec notre invité ?

    Le pharisien a-t-il invité Jésus par amitié, par reconnaissance pour tout ce qu’il
    accomplit sur les chemins de Palestine ?
    Si cela avait été le cas, pourquoi s’attache-t-il au manque de ce qu’il faut bien appeler
    un détail protocolaire ?
    Voilà qu’il juge Jésus sur ce détail. Il ne voit que le geste d’ablution non accompli, et il
    s’enferme dans sa critique.

    Jésus, lui, voit aussi tous ces détails qui encombrent la vie de ses concitoyens, des
    pharisiens tellement attachés à la loi et tous les préceptes qui y sont attachés. Mais il
    voit, avec son cœur, ce qu’il y a dans le cœur de l’homme qui l’invite à sa table.
    Il sait combien il est observé, combien on cherche à le prendre en défaut vis-à-vis de la
    loi qu’il prétend accomplir.
    Mais il comprend que cette loi, ces rites, sont devenus des paravents qui cachent la
    cupidité, la méchanceté de ceux qui refusent de l’écouter se dire, de voir tant de bonté
    jaillir de son cœur.

    Et Jésus de nous rappeler qu’il est aux origines de la création ; qu’il y a mis tout son
    cœur ; que l’homme vit par Lui, Jésus, qui est présent au fond de lui-même.
    Et, comme lui-même n’a pas retenu sa qualité divine pour mieux se donner aux hommes,
    ainsi nous devons, nous aussi donner en oubliant notre condition humaine pour que la
    pureté divine habite en nous.

    Aujourd’hui, serons-nous de ces hommes cupides, enfermés dans leurs règles comme
    d’incontournables préceptes qui nous enferment en nous-même ?
    Aussi longtemps que le pharisien qui vit en nous n’a pas compris l’importance de se
    détacher des pouvoirs et des plaisirs, il ne pourra pas vivre libre, écouter Dieu se dire, et
    aller par le monde, le cœur comblé de la miséricorde divine.

  • Temps Spirituel

    Evangile du 10 octobre Philippe NOURRIT

    10 octobre 2022
    lundi 10 octobre 2022 Lc 11, 29-32

    Dans cette page d’Évangile, Jésus rappelle les deux épisodes de Jonas et de la reine de Saba pour nous parler des signes du Royaume ;
    Le Royaume de Dieu pour aujourd’hui, qu’est-ce que c’est ?
    - C’est de faire aujourd’hui la volonté de Dieu comme nous disons parfois ;
    - Moi je préfère dire « répondre au projet d’amour, de vie que Dieu a sur moi aujourd’hui »
    - Et dans cette page d’Évangile, on entend « écouter la sagesse », « se dresser », « se lever »

    Dans le signe de Jonas, ici, Jésus ne développe pas l’aspect merveilleux de l’histoire, Jonas dans le ventre du poisson pendant 3 jours, mais il en donne tout de suite la conclusion : les habitants de Ninive se sont convertis en réponse à la proclamation faite par Jonas

    Ce qu’il faut retenir, c’est la conversion, non pas le signe ; Le signe doit nous renvoyer directement à la conversion elle-même ; et pour revenir sur le commentaire que j’ai donné il y a une minute, le royaume de Dieu, c’est de me convertir à sa Parole chaque instant de cette journée.

    Et la reine de Saba, elle arrive d’un pays lointain, elle ne connait pas notre religion, et elle s’est mise en route pour rencontrer la Sagesse, la Sagesse plus grande que celle de Salomon ; je dirai même qu’elle se convertit sans avoir vu de signe !

    Le seigneur nous donne des signes de son amour et de sa miséricorde, et lorsque je relis ma journée, ma semaine, ma vie, j’en vois plusieurs, d’ailleurs, je vous invite à nous exercer à les voir ;
    Mais aujourd’hui, Jésus nous demande d’aimer Dieu non pas pour ce qu’il donne, mais pour ce qu’il est.

    A cette demande de signes qui est faite à Jésus, il nous répond par cet appel :
    - Dans ta prière, ne demande pas que Jésus fasse des signes pour que tu croies en lui
    - Mais dis à Jésus ce que tu vas faire pour vivre l’Évangile, demande-lui sa grâce pour vivre l’Évangile tout au long de cette journée
  • Temps Spirituel

    Evangile du 8 octobre Remy SENANT

    8 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 7 octobre Suzanne THOMAS

    7 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 6 octobre Anne-Marie DURAND

    6 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 5 octobre Chantal OVIGNEUR

    5 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 4 octobre Marc SERIZAY

    4 octobre 2022
  • Temps Spirituel

    Evangile du 3 octobre Yannick CHIRON

    3 octobre 2022

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