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Temps spirituel (Rennes)
Temps Spirituel

Temps spirituel (Rennes) - page 12

Chaque jour, RCF Alpha vous propose un moment hors du temps, un moment pour découvrir la parole de Dieu, un moment pour prier.

Le temps spirituel de RCF Alpha vous offre la chance de vivre un temps de communion en union de prière avec la communauté des auditeurs de RCF Alpha, grâce à la lecture et au commentaire de l'Evangile du jour. Le temps spirituel de RCF Alpha s'adresse à tous, chrétiens ou non et vous permet de vivre quotidiennement un temps de méditation pour démarrer la journée.

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Episodes

  • Temps Spirituel

    Evangile du 17 février Bernadette LE TOUZE

    17 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 16 février Dominique HOUSSAY

    16 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 15 février Christian DABIN

    15 février 2023
    Pour ceux nombreux parmi nous qui sommes affectés de maux aux yeux, nous écoutons et lisons ce passage. avec beaucoup d’attention.
    Il est remarquable que c’est toute une communauté qui, par sa foi, amène l’aveugle à Jésus, un peu comme ceux qui descendirent, à Capharnaüm, à bout de bras, un brancard occupé par un paralysé, par le toit de la maison où se trouvait Jésus, tel un drone intrus en Mc 2,1-12. Jésus le fait sortir du bourg et répond à sa demande pressante de proximité avec la chaleur humaine en le prenant par la main.Le contact, l’intimité même s’intensifient: Jésus lui crache sur les yeux. Curieuse méthode, peu ragoûtante, pour nous les contemporains du Covid, mais pour quel résultat! De plus,il lui impose les mains.
    Curieusement encore la guérison n’est pas immédiate, ce qui est inhabituel dans les évangiles.La vision de l’aveugle d’arbres qui marchent est amusante. Jésus lui touche encore alors les yeux. Ça y est:l’ancien aveugle est devenu voyant, il voit «tout nettement de loin». Résultat extraordinaire, surnaturel, dépassant tout ordre sensible,toute réalité contingente,obtenu par des gestes concrets tout simples, triviaux.
    Curieusement enfin, Jésus ne demande pas à l’aveugle de se montrer aux prêtres, mais le renvoie chez lui, lui interdisant de rentrer dans le bourg.

    Mais si nous ne sommes pas tous atteints de cécité ou d’autres maux aux yeux, nous le sommes tous spirituellement. Ce récit n’est-il pas une magnifique parabole qui nous incite à crier au Seigneur le besoin de sa proximité et de son action de guérison?
    N’hésitons pas à supplier le Seigneur de nous guérir de notre cécité spirituelle, encore plus grave que la corporelle, d’agir à plusieurs reprises pour nous désembourber, nous désembuer de notre mal?
  • Temps Spirituel

    Evangile du 14 février Antoine PELLETIER

    14 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 13 février Xavier GOUX

    13 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 12 février Françoise RAVARY DALIBARD

    12 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 11 février Maryvonne NIVOIT

    11 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 10 février Guy MALBRANCKE

    10 février 2023
    Etonnants ces déplacements de Jésus en dehors des frontières du pays des juifs ; monté au nord dans le territoire de Tyr où il vient de guérir d’un esprit impur la fille d’une païenne, voici qu’il redescend vers le lac de Tibériade, en passant par le territoire païen de la Décapole, situé à l’est du lac ; rappelons-nous que c’est là que Jésus a précédemment délivré un homme de la possession d’un esprit impur, nommé Légion. Les habitants païens, après cette guérison, avaient supplié Jésus de quitter leur territoire ; quant à l’homme remis debout dans sa personne, il avait été invité par Jésus, non à le suivre, mais à annoncer à la population ce que le Seigneur avait fait pour lui dans sa miséricorde. Rude tâche a priori…
    Jésus savait donc ce qu’il faisait en revenant dans ce territoire païen ; comment allait-il être accueilli ? On constate tout de suite que manifestement l’homme délivré par Jésus d’une légion de démons a fait ce que Jésus lui a demandé : en disciple, il a proclamé dans sa région ce que Jésus a fait pour lui ; les gens de ce territoire ont en effet complètement changé d’attitude puisqu’ils supplient désormais Jésus, non de s’en aller, mais de poser la main sur un sourd-muet.
    Comme à son habitude, Jésus s’écarte de la foule pour agir dans la discrétion. Etonnants gestes de Jésus sur ce sourd-muet : ses doigts dans les oreilles, sa salive sur la langue, les yeux levés au ciel pour le lien à Son Père, un soupir, et puis une parole prononcée à un sourd et en plus dans un patois araméen inconnu en monde grec : « Effata » : tout cela semble bizarre, mais c’est drôlement efficace ; en fait, ce ne sont ni les oreilles ni la langue de cet homme que Jésus touche en priorité, mais son cœur. Jésus voit en effet cet homme comme une personne créée à l’image de Dieu, à remettre debout dans tout son être, pacifiée, unifiée, se vivant aimée du Père et appelée à sa ressemblance. Jésus ne cherche donc pas tant la guérison de ce païen mais son retournement complet, sa conversion ; c’est pourquoi il parle à sa personne toute entière, lui donnant cet ordre de s’ouvrir, Effata.
    Effata, « Sois ouvert ». En touchant la langue du sourd-muet et en lui parlant dans sa langue araméenne, c’est comme si Jésus préfigurait la Pentecôte, faisant advenir des langues de feu sur toute la foule puisque tous ces gens sont extrêmement frappés de ce qu’il vient de se passer au point de dire de Jésus « Il a bien fait toutes choses » ; les voilà qui s’ouvrent à un Esprit de louange et d’émerveillement comme ce sera le cas à la Pentecôte.
    Puisse l’Effata que le Christ a prononcé il y a deux mille ans en territoire païen être prononcé à nouveau sur nous tous dont les cœurs sont sourds à la Parole recréatrice de Dieu et qui avons des difficultés à parler de notre foi : que le Christ nous donne un cœur qui L’écoute et qu’il délie nos langues pour y mettre des paroles simples et justes invitant ceux que nous rencontrons à la confiance en Dieu et à marcher à sa suite dans le quotidien de la vie.
  • Temps Spirituel

    Evangile du 9 février, Père André DAVENEL, lu par Bertrand Jardin

    9 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du mercredi 8 février Pierre GIAUME

    8 février 2023
    Mes amis, connaissez-vous la différence entre le pain à la levure et celui au levain ? Dans le premier cas, l’élaboration du pain se fait grâce à des levures présélectionnées – souvent industrielles – qui vont procéder à une fermentation alcoolique efficace et prédictible de la farine mélangée à l’eau et au sel. Dans le 2ième cas, le levain et ses ferments naturels vont orchestrer une fermentation lactique cette fois-ci, certes plus aléatoire mais au résultat bien plus digeste et nutritif. J’avais découvert le mode de fabrication du pain au levain dans une très belle vidéo du boulanger Nicolas Supiot, basé à Maure de Bretagne, entre Rennes et Redon. Je fus fasciné par l’attention qui était la sienne pour gérer méticuleusement chaque détail de la fabrication de son pain, dont les qualités nutritives, gustatives et de conservation étaient louées par tous ses clients. Rien à voir avec une baguette industrielle achetée en supermarché. De la « bonne » et de la « moins bonne » nourriture en quelque sorte.
    Malbouffe, famine, obésité, gâchis alimentaire mais aussi absence de nourriture spirituelle ou encore overdose de vidéos et sollicitations numériques diverses… les parallèles entre les maux « nutritifs » de notre société actuelle et cette page d’évangile qui a bientôt 2 000 ans sont tellement nombreux, ç’en est bluffant !
    Pour autant, Jésus distingue clairement dans son message la nourriture au sens propre du terme et les pensées perverses du cœur de l’homme. Personnellement, en lisant ce texte, je ne peux m’empêcher de penser que les deux sont pourtant intimement liés aujourd’hui, d’autant plus que notre nourriture actuelle est souvent trop riche, à la fois pour le corps et l’esprit. Tout un monde de tentations s’offre à nous sans pour autant nous offrir les meilleurs des nutriments. Or, si nos nourritures quotidiennes ne sont pas saines, alors notre cœur ne le sera pas non plus. J’en suis convaincu.
    “Anima sana in corpore sano”. Un esprit saint dans un corps… saint (mais le « saint » de sainteté, avec un « t » à la fin bien sûr !). Dans une société où tout va trop vite, prendre le temps de nourrir correctement tout notre être est véritablement le socle de notre équilibre de vie. Charité bien ordonnée commence par soi-même, mais la « bonne » nourriture concerne aussi tous ceux qui nous entourent !
    Nourrir sa famille avec de bons produits et de vrais temps familiaux. Nourrir son couple avec des paroles bienveillantes, des moments vrais passés à deux, des temps de prière, sans sollicitation étrangère (par exemple de nos téléphones respectifs). Nourrir ses amis de viandes grasses et de vins capiteux certes, mais aussi de temps d’échange, d’écoute, de Foi. Nourrir ses collègues qui ne sont justement pas toujours dans la Foi. Nourrir l’étranger qui souffre tout près de moi, dans son corps et dans son âme.
    Les occasions de bien faire sont tellement nombreuses.
    Alors tout comme le levain qui met plus de temps que les levures industrielles à fermenter la farine, tout comme la lecture de textes qui nous élèvent demande plus d’effort que le visionnage de vidéos sans intérêt sur nos smartphones, j’ai le sentiment que nous sommes appelés à prendre le temps et de faire les efforts nécessaires afin de nourrir notre corps et notre âme avec douceur, exigence et bienveillance.
    C’est d’autant plus le moment de prendre soin de nous, que le temps de carême approche à grands pas : préparons-nous dès à présent pour ce futur temps de conversion !
    Je vous souhaite une belle journée mes amis.
  • Temps Spirituel

    Evangile du 7 février Reine de KERDANET

    7 février 2023
    Marc 7 ( 1-13)
    Comme dans notre monde actuel où sensibilités et cultures différentes se côtoient, il y a une diversité parmi les disciples de Jésus, quelques-uns ne suivent pas la tradition des anciens. Mais que signifie être fidèle ?
    A qui sommes-nous vraiment fidèles ?
    Dans l’expression « Rendre un culte », le mot « rendre » nous rappelle que l’on donne ce que l’on a reçu. Si on a conscience d’avoir reçu de Dieu un amour vivifiant, c’est de l’amour qu’on donnera. Si on a reçu une loi, ne rendra t’on qu’une observance de préceptes ?
    Jésus est franc en citant l’écriture « ce peuple m’honore des lèvres mais son cœur est loin de moi, il est inutile le culte qu’ils me rendent ».
    A qui le culte est sensé être utile ?
    A Dieu ?
    A tout le peuple ?
    A celui qui offre sa prière ?
    Jésus nous rappelle que Dieu n’a besoin que de notre amour. L’ensemble des hommes le reconnaitra, non dans la magnificence des liturgies et l’observance des rites, mais dans la sainteté, l’humilité et la joie des célébrants.
    Les rites de purification ne sont que des symboles.
    Ce n’est pas paraître pur aux yeux des autres qui importe, mais combattre activement le mal qui est en nous. Seul Dieu peut nous laver et nous purifier.
    Jésus est très concret quand il dénonce l’hypocrisie : Il décrit un acte mauvais, dépouiller ses propres parents sous prétexte d’une offrande sacrée.
    Non seulement le commandement de Dieu est rejeté mais de plus, il est déformé et perverti, transformé en pratiques qui ne respectent plus personne.
    En fait, pour nous, qu’est ce qui est sacré ? Dieu ? l’Homme ? la vie ? l’amour ? une loi qui donne vie? Est sacré, en fait, tout ce qui respecte la vie, pas seulement le souffle de la vie, mais aussi la vie vivante, les relations, tout partage d’amour, toute communion.
    Méfions-nous des lois quand elles croient simplifier la vie en nous libérant de l’effort de réfléchir pour choisir ce qui serait le mieux ou « le moins mal » dans une situation complexe.
    Osons, comme Jésus, remonter à la source de la loi, à l’amour.
    L’éthique de conviction ne suffit pas. Tout n’est pas écrit d’avance, bon ou mauvais. Plutôt que d’agir en pharisien hautain qui se « lave les mains » et qui juge ceux qui ont les mains sales, au risque de ne jamais les rencontrer, nous sommes appelés à dire du bien, à bénir Dieu et les hommes.
    Evitons d’employer les mots « toujours » ou « jamais » car seul Dieu est maître du temps. Lui seul peut nous assurer qu’il nous donnera TOUJOURS la vie.
  • Temps Spirituel

    Evangile du 5 février Jean-Pierre GOUIN

    5 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 4 février Jean-Pierre POMMIER

    4 février 2023
    Bonjour à tous.

    Dès ma première lecture du passage d'Évangile proposé par l'Église aujourd'hui, j'ai retenu la dernière phrase du texte : "Alors, il se mit à les enseigner longuement."
    Avant de méditer ces huit mots, considérons le contexte de l'enseignement de Jésus. Cet épisode intervient après l'envoi et le retour des douze apôtres en mission pour proclamer auprès des Juifs qu'il fallait se convertir. Les Apôtres se réunissent autour de Jésus pour Lui faire leur rapport et Il les emmène se reposer.
    Mais la foule ne l'entend pas de cette oreille et elle les devance : voyant cela, Jésus est saisi de pitié parce qu'ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, dans les versets suivants, Marc nous racontera la première multiplication des pains, qui elle aussi sera accomplie au travers des Apôtres et des disciples.

    Cela me fait penser aux versets 3 et 4 du chapitre 4 de Matthieu, la réponse de Jésus au Diable qui le tente pour la première fois après son jeûne de quarante jours. Je cite:
    03 Le tentateur s’approcha et lui dit : « Si tu es Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains. »
    04 Mais Jésus répondit : « Il est écrit : L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. »
    Nous voyons donc ici Jésus faire ce qu'il a dit : avant de nourrir l'homme avec du pain, Il le nourrit avec la Parole de Dieu.
    À cet instant, Il le fait en direct, sans passer par les Apôtres et les disciples qui n'ont pas encore reçu l'Esprit-Saint.
    Mais aujourd'hui, Jésus n'est plus présent physiquement de la même façon qu'il y a deux mille ans et la Parole nous est transmise et expliquée par l'Église et par les moyens actuels de transmission, je pense évidemment à la radio RCF que vous écoutez en ce moment.
    Mais connaissez-vous toute la richesse des émissions proposées ?
    Je prends l'exemple du dimanche matin : au lieu de vous lever à 6h30, vous dormez jusqu'à 7h42 et vous allumez votre radio pour un premier commentaire national de l'Évangile de ce dimanche. À 8h nous avez une demi-heure d'explications approfondies sur le texte. Après un quart d'heure avec Thierry Lyonnet, vous avez un commentaire local toujours sur le même texte avant que notre évêque nous enseigne pendant un quart d'heure sur un des thèmes du jour. Et nous enchaînons enfin avec des explications sur un psaume.
    Au total, nous pouvons être nourris de la Parole de Dieu pendant une heure et demie avant d'aller à la messe pour être nourri de son Corps, nourri du Pain de Vie.
    Ça, c'est vraiment un dimanche ! Rendez-vous demain ?

    "Alors, il se mit à les enseigner longuement."

    Sur RCF, il y a beaucoup d'autres enseignement mais ces trois minutes ne suffisent pas pour tous les citer. Je vous invite à consulter les programmes de la radio mais aussi les propositions paroissiales, diocésaines ou internet.
    Formez-vous, et allez-vous aussi enseigner vos frères et sœurs !
    Allez dans la Paix du Christ-Jésus.
  • Temps Spirituel

    Evangile du 3 février Marie-Anne FOURNEL

    3 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 2 mars Isabelle LAURENT

    2 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 2 février Alain GARRIC

    2 février 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 31 janvier Joseph BLANCHARD

    31 janvier 2023
  • Temps Spirituel

    Evangile du 30 janvier Isabelle MALBRANCKE

    30 janvier 2023
    La scène décrite par st Marc est digne d’un film d’épouvante. Elle se passe dans une région païenne envahie par les légions romaines ; les envahisseurs font probablement mener la vie dure à la population locale. La réalité des pays en guerre nous rappelle l’immense souffrance d’être envahis et l’énergie nécessaire pour continuer à être chez soi.
    Les détails précis nous permettent d’imaginer un homme pris dans un
    tourbillon de violence dont il ne parvient pas à se libérer .Cet homme côtoie la mort nuit et jour, il vit enchaîné et ne s’appartient plus, il se détruit, envahi par quelque chose de plus fort que lui, comme une addiction dont il n’arrive pas à se libérer seul. Il a essayé de lutter en vain et ceux qui sont venus à son aide n’ont rien pu faire pour lui, la violence a redoublé. Quand il aperçoit Jésus de loin, il court vers lui comme aspiré par la lumière et la vérité et il reconnaît le Fils du Dieu Très Haut, mais le mal et la souffrance si présents le rendent agressif et il crie, il a tellement peur de tout, de tous et de souffrir davantage.
    Jésus qui est venu d’abord pour les malades et les pécheurs l’accueille
    pleinement, mais il ne s’adresse pas à l’homme directement comme il l’a fait pour de nombreux malades, le dialogue s’établit entre lui et cet esprit destructeur qui ôte toute liberté.
    Jésus prononce une parole d’autorité, Il fait le clair, Il nomme le mal qui
    s’est emparé de cet homme, Il le délivre des ténèbres en envoyant le mal dans un troupeau d’animaux impurs, et enfin Il détruit le mal en le jetant à la mer, lieu de mort.
    L’homme oppressé et empêché de vivre malgré lui est libéré par la parole
    de Jésus. Chaque fois que nous disons la prière de Jésus, nous demandons nous aussi au Père, de nous délivrer du mal. L’homme qui vivait dans la mort est revenu à la vie, il a revêtu la paix, c’est une vraie résurrection. La réponse au mal n’est pas l’escalade du mal. Le prophète Zacharie nous indique le chemin :
    « Ni par puissance ni par force mais par l’Esprit du Seigneur ». Le Seigneur, si nous le lui demandons, vient au secours de notre faiblesse.
    « Esprit Saint, éclaire-nous quand nous sommes dans la confusion, inspire nous afin que nous sachions prendre position fermement quand nous percevons en nous que le péché et le mal prennent de la place et nous détournent de la vie. Fais grandir en nous la certitude de ton amour miséricordieux afin qu’à notre tour nous puissions en témoigner. »
  • Temps Spirituel

    Evangile du 29 janvier Philippe NOURRIT

    29 janvier 2023
    Jésus nous enseigne avec les béatitudes ; C’est un enseignement que nous avons déjà entendu de très nombreuses fois ; Comment est-ce que nous pouvons nous laisser toucher aujourd’hui par ce texte ?
    Je vous propose de les prendre aujourd’hui dans leur globalité ; en effet, l’enseignement de Jésus est toujours pour tous les hommes et toutes les femmes ;
    Cette Parole de Dieu met en relation nos manques de la situation présente, et l’abondance de ce que Dieu nous donne
    Cette Parole nous invite à faire la liste des mes « trop », de regarder ce que j’ai en surplus, ce que je garde, par exemple sur le plan de mes économies, sont-elles proportionnées à mes besoins ?
    Mais aussi sur le plan de ma douceur, de mon humilité, de mes pleurs, de la justice, de la miséricorde dans ma vie, …
    Est-ce que je suis dans le trop plein ? ou dans la pauvreté ?
    Quand j’entends ces béatitudes, de quel coté est ce que je me situe ?
    Une personne du réseau Saint Laurent a dit : « même pauvre, on est riche de quelque chose, de la bonté ; Les pauvres de cœur sont ceux qui vont vers les autres qui ont besoin d’être écoutés »
    Le pape François a reçu les personnes du réseau Sant laurent à Rome, en 2016 c’était le pèlerinage SILOÉ ; il leur a dit cette parole, que je vous invite à recevoir aujourd’hui, pour chacun de nous :
    « L’église ne peut être en repos tant qu’elle n’a pas rejoint tous ceux qui connaissent le rejet, l’exclusion et qui ne comptent pour personne. Au cœur de l’église, vous nous permettez de rencontrer Jésus, car vous nous parlez de lui, non pas tant par les mots, mais par toute votre vie. Que cette flame qui vous habite ne s’éteigne pas »
  • Temps Spirituel

    Evangile du 28 janvier Gwenaëlle GARY

    28 janvier 2023

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